Nom : McLaughlin √ Prénom : Alois√ Âge : 27 ans √ date et lieu de naissance : 20 février — Atlanta √ vos origines : Américaine √ Métier : Scénariste multimédia √ Orientation sexuelle : Hétérosexuel √ Statut matrimonial : Célibataire √ côté financier : Salaire moyen
Caractère : Un brin rentre dedans, il n'en a que faire du physique peu accueillant ou du caractère grinçant de ses interlocuteurs. Lorsqu'il décide de vous dire merde, il aura le cran de vous le dire en face peu importe les circonstances. Certains auront tendances à craindre de se tortiller près d'une montagne de pectoraux, lui ira volontiers se frotter à plus massif que lui. Les échos crieraient au masochisme, d'autres mettraient la témérité sur la table.
Peu prudent dans ses relations sociales, Alois n'y va pas par quatre chemins car les secrets cachés l'ennuie. Il aime le vrai et enterre le mensonge. Tout est dit, tout est claire, mais sa rudesse diabolise ses propos. Souriant, il l'est la plupart de temps, pourtant insulter quelqu'un de sale con avec un sourire éblouissant ne le rendra pas plus appréciable... Vulgaire dans chaque instant de sa vie, il passe souvent pour le gosse mal élevé qui n'a pas reçu une bonne normale. Imaginatif avec des idées à s'arracher les cheveux, il est aussi compréhensible qu'un script présenter à l'envers. Aussi expressif qu'inexpressif, il peut passer d'une humeur à l'autre si quelques choses de plutôt bon ou mauvais lui traverse l'esprit. Conscience qui a l'air de fonctionner à cent à l'heure à chaque seconde de sa vie. On le qualifierait d'ailleurs aisément de bipolaire et d'instable.
Alois a tendance à se faire un avis sur une personne en une minute et il est quasiment impossible de le faire changer d'avis. Le temps n'a aucune incidence sur ses premières impressions, et il aura tendance à ne voir que les défauts chez une personne qu'il perçoit négativement. Facilement distrait, il pourrait s'évader d'une conversation plus ou moins intéressante si quelque chose d'attrayant se passe ailleurs. Alois se plaint souvent, trop souvent, le moindre brin de poivre dans la soupe fait hérisser ses cheveux. Râler est l'une de ses spécialités.
Cette montagne de défaut n'en fait pourtant pas quelqu'un d'insupportable et d'invivable. Sa curiosité et son tempérament peut être apprécié par ses congénères. D'ailleurs, sa créativité est plutôt prisée dans son milieu. Alois est aussi quelqu'un sur qui on peut compter lorsqu'on fait partie de la bonne liste. Fidèle et dévoué, il pourrait traverser tout le pays pour réconforter un ami.
À l'écoute, il saura vous laisser causer durant des heures avant de vous donner finalement son avis. Il ne faudra juste pas avoir peur de ses écarts, dans le sens où ses moments d'absences pourront être plus ou moins long. S'il est franche, il reste une bonne armoire à secret. Peu friand des potins à partager, Alois aura tendance à garder pour lui ce qu'on lui aura partagé. Pourtant, cela ne fait pas de lui un livre ouvert puisqu'il ne partage absolument rien sur sa personne. Il faudra être patient et prendre le temps de gratter la pierre.
Son assurance et son aisance avec la parole font de lui quelqu'un de relativement sociable et d'abordable.
√ groupe : Coeur de pierre
the last song√Lorsqu'il vous sourit, ce n'est pas obligatoirement bon signe.
√ Il a une sainte horreur des fils et filles à papa.
√ Il est incapable de monter dans l'ascenseur lorsqu'il se retrouve seul avec une fille.
√ Il a économisé cinq dollars par jour pendant un an pour les donner à un sans-abri avec qui il est devenu ami.
√ Il peut passer des heures dans un café pour trouver l'inspiration simplement en regardant la rue.
√ Il n'aime pas les personnes qui planifient leur vie et les maniaco-dépressifs.
√ Les gens statiques ne l'intéressent pas, ils préfèrent celles qui prennent le temps de sortir et de profiter des rayons du soleil.
√ Il a la capacité à se faire détester en un quart de seconde et a pris l'habitude de rire lorsqu'on lui dit que c'est un connard.
√ Il mange beaucoup de fruits, du plus basique au plus exotique. Il est du genre à vouloir tout essayer.
√ Il n'a jamais été réellement doué dans ses relations amoureuses mais à tendance à s'accrocher longtemps à une personne.
√ Il lit beaucoup de bouquins, mais ne les termine pas toujours.
√ Il peut changer de vêtements trois fois en un jour s'il ne s'y sent pas à l'aise.
√ Il a tendance à défendre la veuve et l'orphelin pour un rien et n'a jamais eu peur de se retrouver à l'hôpital qu'il connait d'ailleurs par coeur.
√ Il a renversé du sucre et de l'eau dans les cheveux d'un ex à sa meilleure amie en public, dans un café bondé.
√ Il a scotché plusieurs fois la bouche de filles qui parlaient trop, notamment dans le métro. Oui, il se trimballe avec du scotch.
√ Ses poches et son sac sont blindées de choses qu'il ramasse un peu partout et qu'on qualifierait d'inutiles.
√ On lui donne souvent cinq ans de moins.
√ Il n'aime pas les fauteuils roulants.
√ Il passe souvent pour un psycho-dépressif.
√ Etc...
story of my lifeAtlanta avait ce petit goût amère, un mélange de crasse et de métal. Un goût qui vous reste dans la gorge encore longtemps même des années après que vous l'aillez quitter. Il vous arrive de vous réveiller la nuit, tout en sueur, sans savoir où votre inconscient vous avez mené. Alois n'a jamais aimé son prénom, son nom, sa famille, ses relations, la ville, le chien du voisin, son ex, les barrières de l'école, la salle de classe, les graffitis sur les murs, la cité, les adolescents, les morceaux de forêt, le trottoir, les voitures.
Changer d'air semble toujours la solution miracle, un brin d'espoir qui se cache et attend son heure. Ses yeux taillaient les ouvrages qu'il achetait au compte goutte lorsque son père décidait de lui donner de l'argent.
Puis il est mort, comme ça. Il aurait pu mourir après ses sorties spéciales alcools, il aurait pu se tirer une balle, il aurait pu se faire renverser ou se faire encastrer dans une voiture. Au lieu de tout ceci, il s'était tué en tombant du toit de la voisine. Qu'il était bon, à toujours vouloir filer des coups de main à tout va. Juste après, sa mère est descendue très bas. Il aurait pu simplement arrêter les cours pour prendre le temps de s'occuper d'elle et de trouver un petit boulot, le temps qu'elle sorte de sa léthargie. Mais il fit les trois, jusqu'au moment où elle péta un plomb et qu'elle se retrouva dans une chaise roulante.
Emma, c'était sa copine depuis quelques années. Il en avait 16. Elle était jolie, elle était intelligente, elle avait concrètement tout pour plaire. Le problème, c'est que plus les années passaient, plus la meilleure amie de cette dernière devenait bien plus attractive. Elle cherchait constamment son regard. Le caractère superficielle de sa petite amie n'y était concrètement pour rien, elle était juste elle et il arrivait que les gens soient incapables de maîtriser leurs émotions. Tout bascula, comme dans chaque désolantes histoires. Le poison s'était écoulé de ses lèvres et en quelques jours à peine, la petite histoire montée de toute pièce avait fait fureur dans son lycée.
— C'est quoi ces conneries ? Qu'est-ce que t'as été raconter que j'ai tenter de te toucher dans l'ascenseur de l'école ? Ton cerveau a complètement grillé putain ! C'est quoi ton problème en ce moment ? Dit le moi en face au lieu de refaire l'histoire des gens !Elle restait là, à le regarder, les yeux brillants, les lèvres pincées. Mais il y avait dans son regard quelque chose d'autres, comme une intense satisfaction, un pincement d'amusement, une joie secrète. Jamais il n'aurait cru pouvoir haïr une personne en un quart de seconde. Il s'était approché d'elle, réclamant des réponses qui ne semblaient pas arriver. Puis elle avait gueuler, comme ça, alors qu'il avait à peine frôler ses épaules, alertant les personnes dans les alentours. Mais elle avait eu le temps de lui dire :
— T'as jamais été amoureux de moi. Ça t'amusait bien de la regarder elle, mais moi dans tout ça ?Le soir même, sa mère se tenait debout dans la pièce principale comme si de rien était. Debout. La chaise roulante perdue dans un coin de la pièce, abandonnée, comme si elle avait pris la poussière de la journée. Sa mère marchait comme si de rien était, s'occupant de replacer quelques cadres, d'admirer quelques unes de fleurs de l'entrée. Elle s'était figée, honteuse, tournant dans sa direction un regard apeuré.
— Attends. Je-Je peux t'expliquer.Un aimant à femmes toxiques. Parfait. Lorsqu'il termina sa dernière année lycée, il obtient une bourse suffisante pour quitter la ville et reprendre le cours de sa vie ailleurs. Memphis entre autre. Il n'a repris contact avec sa mère que cinq ans plus tard, lorsqu'il avait trouvé un emploi stable.
all the single ladyton pseudo : Surijun
√ âge : 24 ans
√ pays : la France
√ fréquence de connexion : 4/7
√ comment t'es arrivé ici? : Jo-Jo-Jo, tu es si belle '^'
√ un commentaire? : Comment ça un commentaire ? J'aime les chats.