lewis - même la Joconde subit les outrages du temps

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abraham lewis

je te le rembourserai pas.
je le considère comme un impôt sur la connerie.

Nom : Lewis, héritage familiale qu'on traine comme un vulgaire boulet. Il ne fait pas vraiment office de patrimoine qu'on aime vanter, la preuve il est juste devenu un usuel que l'on prononce comme un simple pseudonyme dénué d'empathie et d'identité. √ Prénom : Abraham. Pas évident et sans intérêt notoire de s'arrêter sur ce prénom datant du siècle dernier, il n'est qu'une désillusion parfaite de la mère qui voulait se prétendre snobinarde à pleins souhaits. Erreur, Lewis le renie cordialement. √ Âge : Vingt-neuf années de pure errance. √ date et lieu de naissance : Lewis est né à Pasadena, petite ville du Texas. Sa carte d'identité prouve que c'était un 5 avril. √ vos origines : Américaines, depuis sûrement quelques générations déjà, bien qu'il se serait volontairement vanté d'être aztèques ou sioux... On ne peut pas tout avoir, 'y parait ! √ Métier : Ayant quitté le refuge familiale - que dis-je la villa au milliard de dollars de papa - il y a maintenant une dizaine d'années, des études arrêtées trop tôt, Lewis a choisi de parcourir le continent en enchaînant toutes sortes de petits boulots. S'il se passionne rapidement pour la mécanique et les voitures anciennes qui feront souvent son butin afin qu'il puisse prétendre à subvenir à ses besoin et à garder son cul en vie, il a posé ses valises à Memphis depuis deux ans maintenant et travaille dans le garage de Rick. Rick a quarente-sept ballets et il l'aime bien ce p'tit con de Lewis alors il le laisse envahir son espace pour qu'il joue avec ses babioles dans un coin du garage. La façade parfaite pour cacher un atelier de ferronnerie d'art, là-bas, derrière la puanteur du cambouis. √ Orientation sexuelle : Hétéro à plein temps. √ Statut matrimonial : Le truc de la pièce montée, c'est pas vraiment mon domaine, dude. √ côté financier : Forcément, elle suit la question mariage... Bande de véreux. J'ai été déshérité alors évitons ce sujet épineux. Caractère : Lewis n'a jamais vraiment eu la langue nouée, il aime bien frapper fort et foncer dans le lard, son côté franc et impulsif lui a même valu quelques embrouilles dans sa vie. Globe-trotteur, ce n'est pas le mec stable en qui on peut avoir confiance, la liberté est sa seconde peau et pour rien au monde il ne voudra se fixer des responsabilités, la vie est bien trop courte, bien trop chienne pour la laisser emprunter la prison de la routine. Ce penchant pour la fugue et de la lâcheté trompeuse peuvent le rendre associable et même inaccessible, sûrement une de ses carapaces vieilles comme le monde qui vous pousse à rebrousser chemin devant une telle arrogance. Sarcastique, les palabres du je-m'en-foutiste par excellence, elle vous blesse, elle le creuse dans ses tunnels les plus obscures. Doté d'une excellente répartie, Lewis aime faire mal quand il se sent menacé ou bien tout simplement parce qu'il adore ça, il aime faire mal, il aime jouer et sentir frémir autrui quand les punchlines atteignent ses adversaires. S'il vous regarde de haut, avec ce rictus amer et caustique, ne vous méprenez pas, au fond ce n'est qu'un petit garçon sauvage qui a tout de même peur du noir. Taciturne, même son père n'a pas réussi à le faire changer d'avis, Lewis a raison même quand il a tort, il fonce, la réflexion viendra plus tard mais en attendant laissons-le imaginer que ses objectifs sont les seuls dignes d'intérêts, habileté d'un autodidacte. Débrouillard depuis toujours, il sait se servir de ses dix doigts. Bien qu'il ne l'a pas toujours fait à bon escient, je vous conseille de le laisser entreprendre les réparations ou seulement de le laisser partir avec un sac-à-dos et une chupa chup's dans la bouche, il vous étonnera car rien n'est insurmontable. Lewis ne sait pas comment, il ne sait pas pourquoi mais sa vision du monde diffère trop souvent des gens qui daignent le côtoyer, il a cette chose en lui qui le pousse à se lever en plein milieu de la nuit pour aller se salir les mains dans la peinture, le cambouis ou le métal rouillé et fabriquer des formes sculptées sorties tout droit d'une imagination débordante. Il n'est pas sûr d'expliquer lui-même ce qu'il fait, tout ce qu'il semble remarquer c'est que ses mains savent pertinemment faire ressortir ce qu'il n'arrivera jamais à formuler par des mots. √ groupe : arnacœur.

the last song
Pratiquement deux ans qu'il est installé à Memphis, première fois que Lewis reste aussi longtemps sédentaire dans une ville. √ Il garde un souvenir, un gri-gri ou une babiole symbolisant chaque coin où il est allé. Ayant parcouru la presque totalité des états américains, le Canada et l'Amérique Centrale en une dizaine d'années. √ Il est fou amoureux de Mollie. Mollie, elle est belle, elle a son grognement qui fait vibrer, des sièges en cuir rafistolé et des jantes en alu qui brillent aussi fort que des firmaments. Mollie est une Mustang coupé de 1967 qui ne roulait plus il y a quatre ans. Aujourd'hui, elle a subit pas mal de transformation et domine les routes comme autrefois. Bon elle a la peinture noire qui s'écaille mais pour Lewis c'est l'épouse parfaite. √ Raffole de snickers, de guacamole et de twinkies. Mais si vous lui offrez du fromage en bombe "EasyCheese" alors là, vous vous garantissez ses faveurs. √ C'est un fan inconditionnel de Ray Charles. √ Il a commencé à lire 50 nuances de Grey, parce que ça le rendait curieux de voir glapir les demoiselles à ce sujet, jusqu'à se rendre compte que ce n'était qu'un livre de cuisine. √ Il a déjà passé quelques jours en cellule au Nouveau-Mexique, après avoir franchi la frontière mexicaine en toute illégalité. Enfin, il avait surtout trop bu pour se souvenir qu'il lui fallait des papiers d'identité pour passer la ligne rouge. Foutu pari avec une jolie demoiselle ! √ S'il a toujours eut cette créativité qui le persécutait, son goût pour la sculpture alliée à la ferraille ne s'est pas faite si facilement. Lewis n'a jamais eu vraiment l'occasion de s’intéresser à la Venus de Milo ou à un chef-d'oeuvre de Michelange. Et pourtant, un coup de pouce lui a suffit. Lorsqu'il était en vadrouille en Amérique Centrale, il s'est fait hébergé par une riche milliardaire un peu désœuvrée et surtout amatrice de beaux jeunes hommes tout frais. Elle l'entretenait clairement alors qu'il lui offrait d'autres services en contrepartie. Cette femme avait aussi un goût très prononcé pour l'art contemporain ainsi que des contacts dans le milieu, elle a vu son potentiel et lui a permit de se lancer. √ Les femmes de sa vie ? Il rigole là pendant que vous posez la question. Connaissez-vous ces palabres parfaites : "No woman, No cry" ? √ Sûrement dû à sa famille, il exècre au plus haut point ces enfants de bourges qui se croient tout permis. Ironique lorsqu'on sait que lui-même en a fait partie, dans une autre vie, il y a longtemps.

all the single lady
ton pseudo : coco. √ âge : Plus de vingt. √ pays : Douce France... √ fréquence de connexion : 5/7. √ comment t'es arrivé ici? : Sur la route de Memphis... lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3900437405

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√ un commentaire? : lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 684174188

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story of my life

Paroles rapportées, connaissances tracées,
chemins décroisés, vie éparpillée...

TEXAS, Pasadena, mai 2003.
"Abi... Ah Abi...Mi chiquito... *moue attendrie* Il a toujours été différent de ses frères et sœurs. Il y avait cette lueur en lui, ce besoin de voir au-delà du mur de marbre de la villa Lewis. Je le connais depuis qu'il est naît, enfin je le connaissais puisqu'il est parti il y un mois maintenant. C'est pratiquement moi qui l'ai élevé, ses parents l'avaient déjà mis de côté, il y en avait trois autres à gérer. Il a quitté la maison à ses dix-huit ans, ce n'était pas vraiment une nouvelle, il parlait tellement souvent de partir. No le gusta su casa, no. Il ne voulait pas rester dans ces murs froids, pero estaba muy triste quand il est parti. La lumière et la joie de vivre s'était envolé, j'espère qu'un jour il reviendra me voir para que lo dijo que es stupido de quedar su mamita sola ! *air faussement en colère* C'est un bon p'tit gars, il a trop souffert avec Monsieur Lewis. Cette homme, brrrr... Il n'est pas bien de parler mal de ses employeurs mais si un jour je pouvais lui rendre ses coups de ceinture ! Dios mio je le ferais !
Rosita Vargas, gouvernante de la demeure Lewis.

LOUISIANE, Bâton Rouge, août 2003.
"Lewis ? Ouais, je me souviens de lui. Un blondinet grain galet aux bonnes manières, c'est ça ? Il n'est pas resté longtemps mais il faisait son boulot, comme nous tous ici. Il n'avait pas vraiment le profil du gars qui reste à trimer toute sa vie en trimbalant des fûts de gaz. Quand il est arrivé à l'usine, on voyait qu'il avait les mains douces comme la peau d'un bébé, il devait sûrement faire la guerre à sa famille bourgeoise avant de retourner dans son patelin. Il a du y retourner d'ailleurs depuis le temps, trop fatiguant comme taff pour un bambin de son acabit. *rires* Son air hautain en disait long sur le passé de ce gosse, je pense. Mais on ne parle pas de nos vies personnelles ici, on fait nos heures et on prend la paye à la fin de la semaine. Tant mieux pour lui s'il a trouvé mieux ailleurs. Je ne veux pas être impoli, mais j'ai une femme et trois gosses à nourrir alors je vous laisse."
George Leclerc, employé d'une raffinerie de pétrole.

OKLAHOMA, dans une région de l'Arkansas River , mars 2005.
"Lewis est resté une bonne saison avec nous, il nous a été d'un grand secours cette année-là. Mon père était malade, ce foutu cancer le gagnait déjà depuis un moment alors on manquait d'monde pour faire fructifier la terre et s'occuper du bétail ! Heureus'ment, il est tombé là par hasard et avait b'soin de travailler. En plus, il nous coûtait pas grand chose, il voulait juste un coin où pieuter et bouffer donc m'man l'a accueillit à la maison. Un bon p'tit mec volontaire même s'il était quand même un peu lent au départ. On les voit de suite les gens d'la ville, ils ont trop vite la sueur au front et des ampoules aux mains après une journée de pioche haha ! En tout cas, sans ses bras, j'suis pas sûr qu'on n'aurait pu avoir grand chose pour finir l'année. Il est parti après la saison, vers le nord qu'il a dit... Enfin j'crois, il ne parlait pas vraiment de lui ou d'sa famille, je pense qu'il doit plus en avoir. Pauv' gars, si j'perdais la mienne, je n'aurais plus rien croyez-moi !"
Tyler Torton, agriculteur et éleveur au ranch Torton.

SOUTH DAKOTA, Sioux Falls, janvier 2006.
"Il m'a pas rappelé cet enfoiré ! Du jour au lendemain plus aucun signe de lui, je me suis retrouvée sans barman, pas fringuant pour le business ! En plus de ça, il manquait des billets dans la caisse quand j'ai ouvert après son départ, je sais qu'il ne faut pas faire de conclusions hâtives, ce n'était pas le pactole, mais si j'avais su j'aurais fermé mes cuisses... Enfin, je veux dire... Rhaaa ça m'emmerde quoi, c'était super, on a passé un bon moment et il s'est barré sans que j'ai pu lui mettre une claque dans la gueule à ce p'tit con. Qu'il ne repasse pas dans le coin celui-là, les assiettes risquent de voler ! Bref, quoiqu'il en soit, tout ce que je peux en tirer c'est que ce n'est pas un mec avec qui on peut nouer une confiance, que ce soit dans le travail ou dans une relation. C'est un morveux qui devait avoir envie de tirer son coup avant de suivre son chemin. Ils courent les rues 'façon !"
Holly Walker, gérante du bar WaterSioux.

MONTANA, sur la route entre Billings et Missoula, mai 2006.
"Maman a arrêté la voiture en plein milieu de la route alors qu'un monsieur marchait à pied. Son énorme sac à dos devait être trop lourd pour lui et il fallait l'aider le pauvre. Puis chez nous, on a l'habitude d'aider quelqu'un dans le besoin. Quand il est monté dans la voiture, il a dit qu'il s'appelait Lewis. Bizarre comme prénom, mais comme je suis poli, je lui ai dit le mien aussi et maman m'a dit de ne pas l'embêter parce que j'avais commencé mes questions. Pourtant Lewis a été cool, il a dit qu'il venait du Texas ! C'est loin le Texas, surtout s'il est venu à pied. Il a dit qu'il aimait voyagé et que demain il serait peut-être ailleurs, dans un bois en train de camper peut-être ! Il a trop de chance, je ferais comme lui plus tard, par contre je prendrais le fusil de papa si je vais dans la montagne car il y a des ours et des loups ! Lewis a dormi à la maison, il est resté quelques jours, a aidé papa a réparé la camionnette et est parti. Mais avant il m'a fabriqué un arc avec des flèches, parce qu'il sait que je veux aussi aller dans la forêt quand je serais grand. J'espère que je le retrouverais et on fera du stop en ensemble. Lewis c'est mon ami."
Chuck Applefield, jeune habitant de Missoula.

CANADA, Calgary, juillet 2006.
"Il faisait le cake quand je lui ai dit qu'il fallait être entraîné pour le Calgary Stampede. Il ne m'a pas cru, c'est fou ce que les hommes peuvent être prétentieux et macho ! Depuis des générations, ma famille participe à cette fête et à cette compétition reconnue dans tout le pays, et chaque année nous terminons dans le top ten alors bien qu'il ne m'est pas cru, il fut forcer de l'admettre après sa chute au bout de... Allez soyons gentils... Trois secondes ! *rires* Oui, j'ai bien rigolé, heureusement rien de grave en blessure mais j'étais fière qu'il m'applaudisse quand je lui ai montré de quoi j'étais capable. C'est un petit misogyne mais j'l'aime bien ce grand bêta, j'ai l'habitude des hommes, étant la seule fille d'une ribambelle de garçons. Du peu, qu'il m'en a dit, il partait pour Vancouver le lendemain car il avait été embauché comme livreur de marchandises devant arriver à bon port. On a passé la soirée ensemble, n'allez pas imaginer quoique ce soit, nous n'étions pas nus et nous n'avons pas arrosés nos têtes de dépravés. C'était juste une belle rencontre comme ça, sur l'instant, sur le moment, sur le qui-vive, ce sont les meilleures rencontres quelquefois."
Milani Kreuk, participante au rodéo de Calgary.

NEVADA, Las Vegas, printemps 2007.
"Oui je me souviens de ce gars, mais il n'était pas tout seul. Il est venu à notre table avec un autre, ils ont fait semblants de ne pas se connaître au début pour récolter le fric et partager ensuite après avoir gagné la partie. Ils m'ont dépouillés ! Je suis sûr qu'ils ont triché, on ne peut pas gagner aussi facilement le grand Sam. Si je les croise à nouveau dans ce casino, je jure dans faire de la charpie, je connais du monde qui serait prêt à me ramener leurs têtes sur un plateau d'argent du moment qu'on leur glisse une bonne liasse de billets. D'ailleurs, j'avais lancé deux mecs à leur poursuite mais ils ont perdus leurs traces quand ils ont passé l'Arizona, puis la frontière ! Enfoirés ! J'espère qu'au moins ils s'éclatent bien ces deux merdes mais dîtes-leur bien qu'ils sont fichés à Vegas maintenant. *se tourne vers ses joueurs* Check !"
Sam Westorth, joueur de poker.

COSTA RICA, Manuel Antonio, fin 2007.
"Lewis... Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi il ne voulait pas qu'on l'appelle Abraham. Ce prénom lui va si bien. Ce jeune homme est incroyable, il m'a été réellement précieux pendant cette année-là. Toujours au petit soin pour moi, prêt à me rendre service pour toutes les réparations à faire dans la maison. Puis... Il avait des mains... *yeux brillants* Des mains tellement viriles, tellement expertes, habiles, sexuelles... Oups, il semblerait que je m'égare. Lorsque j'ai deviné son potentiel, Lewis avait tellement de mal à ce contenter de cette vérité. Cette émotion qu'il n'arrivait à exprimer que par cette créativité, ce besoin d'expression artistique dont seuls ses doigts semblaient en reconnaître le moyen communicant pour y arriver. Puis, il est parti, il me manque c'est vrai. Son remplaçant n'a rien à voir avec lui même j'ai un cuisinier hors-pair maintenant, mais Lewis c'est le vent, c'est la brise dans ce pays tropical, celle qu'on ne peut pas attraper, juste profiter pendant quelques temps et après elle s'évapore. Peut-être qu'un jour nos chemins se recroiseront."
Sofia Kellerman-Smith, Veuve milliardaire et amatrice d'art.

MEXIQUE, Acapulco, juillet 2008.
"Madre mia ! Claro que si ! C'est le petit gringo avec la jolie morenita ! Oui, elle était vraiment très belle la señora. Ils étaient des jeunes mariés très amoureux qui avait l'une des plus belles suites de l'hôtel. Ils étaient beaux tous les deux et ne se détachaient pas d'une semelle. Croyez-moi que si un hombre me regarde comme cela, pienso que soy une princesa. Ils ont du restés une semaine au moins, ils disaient être en lune de miel, la réception organise tellement bien ce genre d’événements. Cadeaux, frutas, flores, chocolates, todo ! Tout pour passer le plus beau des moments, ils ont du en profiter. Par contre, il y a un bruit qui court comme quoi ils n'aurait pas régler entièrement la note. Mais ça ne me regarde pas, je suis juste là pour nettoyer les chambres. Nous on aime les bruits de couloirs ça nous fait faire une petite pause entre nous. Vous ne le direz pas au directeur hein ? J'ai votre parole ? Ah... et je pense que la gringa était enceinte, j'ai retrouvé l'une de ses choses-là... Vous savez... Ahah no puedo decir en ingles... Pour savoir s'il y a le bébé ou pas, vous savez ? Et bien je l'ai retrouvé dans la poubelle de la salle de bain. Que le seigneur les garde et que ce petit grandisse dans l'amour de leurs deux parents !"
Grasiella Rodriguez, femme de ménage à l'hôtel Quinta Real.

CUBA, un bateau vers la Floride, mai 2010.
"Je ne sais pas ce qu'il foutait dans cette embarcation ce gringo, il était citoyen américain en plus il pouvait rentrer tranquillement ! Mais il nous a bien aidé pour rejoindre la côte des Etats-Unis je dois dire. Je l'ai rencontrais à la Havane, il était là en vacances, mais je ne l'ai pas cru. Les américains sont trop présents sur l'île et parfois trop enclin à se foutre dans de drôle de guêpiers. Il avait l'air fuyant, absent. Comme si quelque chose le perturbait. Quand je lui ai dit que j'avais un cargo, il a de suite été intéressé alors en échange de quelques dollars je lui ai permis de rentrer en Floride. Je pense qu'il a fait quelque chose de pas nette. Ce n'est que quelques jours plus tard que j'ai compris. Il était dans une affaire sordide d'objets d'art de contrefaçons, ne me demandez pas plus je ne comprends rien à ces choses-là. En tout cas, il devrait faire plus attention, la mafia cubaine ne rigole pas tout le temps avec les gringos. Surtout avec eux !"
José Velasquez, transporteur clandestin.

TENNESSEE, Memphis, mi-2012.
"Lewis, c'est un petit con. Ne vous fiez pas à sa belle gueule, il pourrait vous en faire voir de toutes les couleurs. Je pourrais vous dire que ce n'est pas un mec fréquentable, il est mystérieux et il est pratiquement impossible de savoir à quoi il pense, mais je ne vous le dirais pas car on dit la même chose de moi. Ce gosse, je l'ai pris sous mon aile, et même si j'ai encore des doutes sur son passé et ses objectifs, il me plait bien et me donne un sacré coup de main avec les voitures. J'ai l'impression de me voir en lui, au même âge, sauf qu'il a eu la chance de pouvoir contempler d'autres endroits à l'inverse de moi qui croupit dans cet entrepôt depuis toujours. Ouais, ça me fait pas d'mal d'avoir un peu de compagnie, j'suis qu'un vieillard alcoolo et aigri, voilà comment il m'appelle, ça m'plait, il ne fait pas de courbettes. Par contre, je crois qu'il m'a embobiné avec ses belles paroles, il fait un bruit monstrueux là-bas derrières avec ses poteaux en fer. Etrange garçon oui, il se cache derrières ses airs hautains mais il n'est pas méchant, enfin pas plus que moi ! *rires* "
Rick Grahams, propriétaire d'un garage.

fondatrice

Bienvenue, par contre le pseudo Maynard est déjà utilisé par un autre. J'pense que ca serait bien de changer silent

Théo est un superbe choix. :crush:

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bienvenuuuuuue lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 1757477713

bonne chance pour ta fiche I love you

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Quel choix et surtout quel pseudo. lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3848817537

Bienvenue parmi nous et n'hésites pas si tu as des questions. I love you

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Bienvenue parmi nous avec ce sexy Théo lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2395261302

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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3229025741

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Oh merci à tous pour ce bel accueil, première fois que je tente le bellâtre lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2303963680

Merdouille, j'avais pas fait gaffe que ce prénom était déjà utilisé, il me paraissait tellement inutilisable x) Je vais changer ça

fondatrice

J'avoue que c'est pas commun silent

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Theo james lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 1524610190

bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3059421078

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Camryn, comme j'aime ce prénom lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 247030707

Merci beaucoup et Emilia est tellement lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 8919369

≡ messages : 2178 ≡ arrivée : 09/12/2014 ≡ célébrité : nina dobrev

bienvenue ici scratch

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Bienvenue parmi nous !
J'adore le pseudo lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3848817537

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Bienvenue

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Merci à vous trois lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3070487526

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bienvenue lewis I love you

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AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH Théooooo lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3070487526

lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3079596329

Bienvenue sur le forum lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3555259597

bon courage pour ta fiche lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 3555259597

Invité Invité

Je l'aime, ce pseudo. Il a la classe, on dirait un monsieur distingué jusqu'à ce que l'on découvre Theo James lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2925365648

lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2925365648

quoique, il est bien lui-même, on s'entend là-dessus.

Bienvenue sur le forum, copain, et bon courage pour la rédaction de ta fiche. Tu verras, y'a d'la femme dans le coin, on est pas à plaindre. Au plaisir de découvrir ton personnage au fil de tes proses I love you

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Wes Rothschild a écrit:: Je l'aime, ce pseudo. Il a la classe, on dirait un monsieur distingué jusqu'à ce que l'on découvre Theo James quoique, il est bien lui-même, on s'entend là-dessus.

Ahahah ton commentaire me flatte, vraiment ! C'était tout à fait l'effet que je voulais donner lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2395261302

Merci à tous pour ces petits mots ! lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2056804181

Allez, je retourne à ma fiche !

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bravo tu es validé

Parfait! J'adore ton histoire et ta façon de la raconter! Je te valide sur le champ :) Bienvenue sur CCL :)

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.

Invité Invité

Merci beaucoup lewis - même la Joconde subit les outrages du temps 2056804181

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