Nom : Evans. √ Prénom : Archer. √ Âge : 26 ans. √ date et lieu de naissance : 15 novembre, Memphis, Tennessee. √ vos origines : Américain. √ Métier : Artiste & travailleur dans la construction. √ Orientation sexuelle : Hétéro. √ Statut matrimonial : Célibataire. √ côté financier : Trop bien nantie, mais se fou éperdument de l'argent. Caractère : calme, volage, respectueux, simple, pas orgueilleux, drôle, souriant, généreux, aidant √ groupe : haut les coeurs.
the last song√C'était assez évident que mes parents allaient divorcés. Mon père avait une maîtresse et passait peu de temps à la maison. Alors que lui passait ses nuits dehors à coucher avec elle, ma mère pleurait toutes les larmes de son corps chaque soir. Je n'ai jamais osé demander pourquoi cette relation avait dépérit, par respect pour ma mère. Cependant, je me doute que le sang chaud de mon père n'ait pas aidé la cause. Il préférait passer son temps avec des femmes beaucoup plus jeunes que lui alors que sa femme elle... Elle vieillissait. Pas facile d'avoir une femme à son bras avec des rides le vieux ? Je le hais. Je le hais parce qu'il a détruit notre famille et surtout ma mère.
√ Deux ans après le divorce de mes parents, ma mère est décédée d'un cancer des poumons. Elle s'était remise à fumer comme une cheminée. C'était ce qu'elle voulait et moi pour de vrai, ce que je voulais c'était qu'elle soit heureuse. Alors, je ne le lui ai pas enlevé l'envie de fumer. Le cancer était présent avant le divorce et quand ils ont su qu'elle l'avait, il était trop avancé pour revenir en arrière. Les deux poumons étaient touchés et le stress du divorce n'a fait qu'accélérer sa mort. Je m'en suis voulu un temps justement de ne pas l'avoir aidé à arrêter de fumer, j'ai longtemps pensé que c'était comme si c'était moi qui l'avais insisté à se lancer du haut du pont si vous voyez ce que je veux dire, mais on m'a rassuré qu'il n'y aurait rien eu à faire.
√ J'ai hérité de tout l'argent du divorce. Enfin j'avais juste à moi une petite fortune. Je me suis demandé ce que j'allais faire avec tout ça. Puis, je me suis souvenue qu'avant sa mort ma mère m'a dit :
« Fais ce que tu as envie de faire dans la vie mon fils. Vis pour toi et non pour les autres. Si t'as envie de faire le tour du monde fais-le et sois heureux. » Elle m'a serré fort la main puis s'est endormie. Ses paroles mes sont revenues en tête et avec l'argent que j'avais en poche maintenant c'est ce que j'allais faire. Voyager et aider les familles dans le besoin à travers le monde.
√Maintenant, la seule famille qui reste à Archer ici à Memphis c'est sa soeur. Elle s'est récemment mariée et est maman d'une petite fille de trois ans. Archer est le parrain de cet enfant. Il l'adore comme si elle était à lui. Maélie est tout ce qu'il a dans la vie avec sa mère qui est sa soeur, mais il déteste son mari. Va savoir pourquoi, il n'a pas un bon
feeling avec les hommes qui portent une bague à leur doigt. Il ne lui fait pas confiance et pourtant John est tout ce qu'il y a de plus sérieux dans la vie. Il aime sa femme plus que tout et est très fidèle, pour lui sa famille c'est sacré. Cependant, Archer l'a tout de même à l'oeil, il attend de le voir faire un faux pas et hop il dira qu'il avait raison. Evans n'a pas l'habitude de détester les gens, mais John il ne le blaire pas. Il sait qu'on ne choisis pas le partenaire de personne et c'est ce qu'Il arrive avec lui.
√ Archer , ce qu’Il aime c’est ce retrouvé dans un endroit inusité et dessiner. Il adore ça faire de l’art, mais toujours accompagné de musique. Les paysages, la musique c’est ce qu’il l’inspire. C’est donc une des raisons qui le pousse à voyager. Son art c’est important. D’ailleurs, ses dessins s’améliorent d’une fois à l’autre et les acheteurs se font nombreux à travers le monde.
√ En plus de dessiner comme jamais, Archer a appris à jouer de la guitare après la mort de sa mère. Il s’est mis à composer outre les dessins. Ses textes ont de la profondeur, mais personne ne les a vus. Il ne fait qu’écrire la musique et les paroles qu’il garde dans un cahier tout délabré. Il se met à écrire et gratter sa guitare quand il se sent nostalgique et que les sentiments prennent le dessus sur lui. * Il ne part jamais en voyage sans sa guitare.
√ Il est perfectionniste. Il ne lâchera jamais l’affaire tant que cela ne sera pas comme il le veut. Il déteste que ses dessins, ses textes, voir même tout ait l’air tout croche. Calme et posé, un rien de ne le stress. Archer est la sagesse incarnée. Il est dévoué pour tout le monde. Son cœur est assez grand pour qu’il y ait de la place pour tout le monde. Jamais il ne passera à côté de quelqu’un dans le besoin et faire comme s’il ne l’avait pas vu. Il est respectueux et discret. Jamais il ne posera des questions embarrassantes, il garde plutôt ses réflexions pour lui. Il adore rire et la simplicité fait partie de lui. Il déteste les choses compliquées qui ne se termine jamais. Enfin je dis les choses compliquées, ses histoires de cœurs s’est une toute autre histoire.
√ Depuis que sa mère est décédée, il y a huit ans. Archer, il vit avec son frère dans un petit appartement au centre de la ville. Des fois il est là, ou encore il est parti en voyage. Son frère est beaucoup plus jeune que lui et est encore aux études.
√À vingt-six ans, Archer à presque fait le tour du monde. Il retourne souvent aux mêmes endroits pour faire de l’aide humanitaire, construire des bâtiments et surtout faire bénéficier certaines familles dans le besoin de son aide et de son argent.
√Il ne fume pas et Il ne se drogue pas non plus. Il a déjà essayé tout ça plus jeune, mais maintenant à l’âge adulte il en convient que cela ne lui sert à rien. Puis de toute façon on s’entend pour dire que si les douanes doivent trouver des traces de drogues ça ne sera pas de tout repos. Il préfère ne toucher à rien qui soit toxique si on peut dire cela comme ça. Je dirais qu'il s'en tient seulement à la bière, pour ça c'est comme son pêché mignon. Il ne peut pas résister à petite froide. Sans oublier, Archer tient à sa santé, il mange bien et fait du sport.
story of my lifeJ’ai seize ans et tout ce qui est important pour moi c’est de passer du temps avec mes copains. Tout ce qu’il y a de plus normal. Je fuis la maison parce que mes parents sont toujours sur le cas de l’un et l’autre. De les entendre se crier dessus, ce n’est pas de mes affaires et sérieusement ça me fou mal à l’aise. Puis y’a ce soir-là ou je rentre chez moi un peu sous l’effet de l’alcool mais pas saoul. Je suis là, au rez-de-chaussée de la maison, je viens de fermer la porte de la maison et tout ce que e vois en m’avançant dans le hall c’est des vêtements voler. Il y en a partout. Je passe donc une main dans mon visage, puis dans mes cheveux. Je me secoue la tête puis soupire. Je suis découragé d’avoir encore affaire à l’une de leurs nombreuses disputes. J’en ai marre en fais. Ça n’en fini plus, tellement que je suis rendu à un point que je souhaite que le divorce soit prononcé. Je le hais, lui et sa … je ne dois pas dire ce que mère répète sans cesse, mais ce n’est pas l’envie qui me manque. Je veux qu’il quitte la maison et qu’il nous laisse tranquille.
« C’est toujours la même chose Wayde. Tu reviens et tu sens son parfum. T’ose en plus me faire croire que ce n’était qu’un voyage d’affaire ! J'en ai marre de tes excuses bidons. Je le sais que tu en vois une autre. J'ai surpris certaines de vos conversation et sérieusement... Tu me dégoûtes. » Je m’assois au bas des escaliers puis j’entends un vase ce casser.
« Vas te faire foutre Wayde ! » Je me pince les lèvres puis ferme les yeux. Ce n’est pas bon tout ça et je le sens. En fait je ne le sens pas je le sais que ça va dégénérer.
« C’est ça Carolyne tu veux casser des trucs attends de voir. » J’entends un autre bruit sourd puis l’objet en question fracasse le sol.
« Si t’avais pas donné tout temps à n’importe qui, peut-être que j’aurais eut l’impression d’avoir une femme. » Sérieusement ? C’est tout ce qu’il a de travers. Ça ne lui donnait pas le droit d’avoir une maîtresse. Je serre les poings, parce que je sais ses paroles blesseront ma mère et que ce sera moi ensuite qui tenterai de recoller le pot cassé.
« T’as rien fait pour sauver notre mariage. Tout ce que toi t’as trouvé de mieux c’est de t’inventer des voyages d’affaires et de baiser tout ce qui bouge. » Ça part en couille, je peux sentir dans la voix de ma mère qu’elle est déchirée. Toutes les larmes de son corps doivent couler ses joues. Je monte à l’étage voir et je vois sur une table dans le couloir une bouteille d’alcool presque vide. Disons au trois quart. Sa y’est il est saoul. Voilà pourquoi ça encore éclaté. J’arrive dans le cadrage de la porte de la chambre des maîtres puis je vois mon père s’approcher de ma mère, la prendre par le cou et lever la main. Je n’ai pas eut d’autre choix que de l’attraper par le collet de sa chemise et le pousser contre le mur. Il était en train de perde la carte. Alors, que moi je n’ai jamais osé être agressif. Je suis tout autant ébranlé qu’eux, mais je me redresse, fier, je le regarde avec dégout et lui dit :
« Tu devrais sortir d’ici avec ta gueule d’alcoolique fini avant que ce soit moi qui t’en colle une. » Il était en train de prendre son élan et il n’était pas question que sa main claque sur la joue de ma mère. Il aurait regretté son geste probablement toute sa vie. Alors heureusement que je suis arrivé avant que sa main touche sa peau. Jamais je n’aurais imaginé que mon père aurait eut besoin de cette violence pour arrêter de faire parler ma mère, mais de le voir faire ça m’a donné des frissons dans le dos. Sans oublier les yeux qu’il avait. Il était noir de colère, il m’a regardé droit dans les yeux, moi son fils je me suis senti comme une menace pour la première fois de ma vie. J’étais fier, bien qu’en même temps, j’aie peur. Peur du pire. Il m’a attrapé à mon tour pas le collet de mon t-shirt puis m’a dit comme si j’étais son ennemis :
« On va se revoir toi et moi. » J’ai froncé les sourcils puis je me suis retenu de ne pas lui cracher au visage. On appel ça un père après… Non un alcoolique fini qui terminera sa vie seul et triste parmi ses bouteilles.
Suite à ce fameux soir je n’ai pas revu mon père. Ça prit deux bonne années que l’on se croise. Il aura fallu que ma mère décède et qu’il vienne à son tour lui dire au revoir. J’ai fais comme chaque membre de famille ce jours-là. J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Je venais de perdre ma meilleure amie, mais surtout ma mère. Après le divorce nous nous étions beaucoup rapprochés l’un de l’autre et ça m’a fait un mal de fou. C’est le cancer qui l’a eut. Enfin je me tenais là devant la tombe de ma mère et j’écoutais les douces paroles du curé en face de nous. Ça faisait drôle de ce tenir autour d’elle que la vie nous avait enlevée. Nous étions tous habillé de noir et tous en peine. La température était mauvaise, comme si ma mère nous avait fait un signe. Elle allait créer un tempête pour ce qui nous attendait. J’ai maintenant dix-huit ans. Je suis devenu un homme, j’ai maturé et autant que je suis heureux dans la vie, j’ai de la rancune en moi. Je le hais toujours autant pour tout ce qu’il lui a subir. Il s’approche de moi, avec un regard que je perçois de toutes les façons sauf triste et compatissant. Il dépose une main sur mon épaule et me dit :
« Je suis vraiment désolé Archer. » Je me suis mis à rire. Je l’ai regardé droit dans les yeux et j’ai dit :
« Désolé ? Sérieusement, t’as du culot. » Perplexe, il hausse les épaules. Il a peut-être oublié ce qui c’est passé cette nuit-là parce qu’il était bourré mais pas moi.
« Comment ça du culot. Elle a été ma femme durant presque vingt ans. J'ai le droit de venir lui dire adieux. » Je pousse sa main de mon épaule, me met face à lui et ajoute :
« T’en a strictement rien à foutre. On le sait tous. Je ne peux pas croire que tu pointes ici comme si d’un rien n’était. Maintenant qu’on la met en terre tu viens nous offrir tes plates excuses. Bien laisses-moi te dire comme elle t’as déjà dis. Vas te faire foutre. » Mes yeux fixent les siens. Je n’ai jamais eu une once de méchanceté, mais pour mon père j’ai cette colère qui reste ancrée en moi. Elle ne veut pas me lâcher. Je lui en veux d’avoir détruit notre famille. Je lui en veux aussi d’avoir fait du mal à notre mère. Encore heureux qu’il n’ait pas osé venir avec sa connasse. Du coup il se sent mal et me rattrape, il me prend le bras entre ses doigts puis ajoute :
« Je sais que tu m’en veux Archer, mais tu resteras toujours mon fils. T’es mon sang ma chaire. » Je frissonne.
« Non, t’es plus rien pour moi depuis longtemps. » J’ai poussé sa main puis je suis parti. Mon frère et ma sœur m’ont raconté la suite et on dit que je l’avais sincèrement blessé. C’est tout ce qu’il méritait selon moi. Ils ne comprendront jamais à quel point cette haine fait partie de moi, ils n’étaient pas là ce soir-là et c’est mieux comme cela. J’ai fais un voyage de trois mois après le décès de ma mère. J’avais besoin de temps à moi et je voulais voir ce que c’était que de voir du pays. Je me suis donc promené un peu partout en Europe puis je suis revenue. En sortant de l’avion j’ai vu que ma sœur m’avait envoyé un sms. Je l’ai ouvert et je me suis rendu compte qu’elle avait accouché. Une jolie petite fille dont j’allais être le parrain. Je suis heureux pour elle, bien qu’elle ait un père que je soupçonne de ne pas être aussi droit. Peut-importe, je me suis diriger vers chez elle et je fus très content de savoir que l’accouchement avait bien été. Cependant, les médecins ont dit que la petite n’était pas si en forme. Elle devra passer des tests, mais ils soupçonne une malformation au cœur. C’est dommage, elle ne pourrait probablement jamais faire du sport avec ses amis plus tard, sont cœur ne supporterait pas un tel entrainement.
Y’a un soir, Toni est arrivé chez moi comme ça. Comme un cheveu sur la soupe. Juste à la façon dont elle pouvait agir, je savais qu’Il y avait un truc qui n’allait pas. Je passe peut-être beaucoup moins de temps avec elle à cause de mes voyages, mais je la connais. Je connais sa façon d’agir, de parler, je connais tout d’elle. Elle est la petite amie de mon meilleur ami et plus le temps passe, malgré la distance je sais que nous nous sommes rapproché. C’est comment dire, difficile à expliquer. Je l’ai laissé entrer dans mon appartement comme s’il était le sien, puis je lui ai laissé prendre du temps. Elle s’est levé d’une traite puis m’a regardé avec sourire. Définitivement, elle avait trouvé ce qu’elle cherchait et ça me désolait. Le sourire bête accroché à mes lèvres je l’ai regardé et j’ai dis :
« tu devrais peut-être attendre, toni. tu peux toujours rester ici, en attendant ou même tout le temps que tu veux. je suis pratiquement jamais là et mathys, il toujours chez hope. » La dessus je ne pouvais pas dire que je mentais. Je ne suis jamais là, disons que quelques fois par années et c’est tout. Mes séjours à travers le monde ne se font pas rares et l’appartement est vide. Elle n’aurait rien eut à payer puis elle aurait été chez elle. Au moins elle aurait été dans un endroit que je connais et que je sais qui est sûre. Je joue avec la petite balle de tennis que j’ai trouvé par terre dans le salon baisse les yeux puis attend sa réponse. J’ai l’impression de déjà connaitre la réponse. J’ai aussi l’impression qu’elle me fuit. Je ne sais pas pourquoi j’ai cette sensation qui me traverse le corps, mais bon je sens la situation dangereuse. Est-ce seulement le fait qu’elle soit, ou qu’elle était la coloc de Devon. Je me le demande. Elle pourrait aussi être juste moins à l’aise de rester ici… Arrêtes de te poser des questions Archer, tu vas te rendre malade.
« c’est vraiment gentil archer, mais je crois que je vais tenter ma chance là-bas et si jamais ça colle pas, je songerai peut-être à revenir ici. » Je me raidis. Je le savais que sa réponse serait négative. Pourquoi elle cherche toujours à des endroits que je ne connais pas. Pourquoi elle a ce besoin de toujours sortir de sa zone de confort. Je me sens impuissant. Sa décision est prise et je sais qu’elle ne reviendra pas en arrière. Son téléphone portable entre les mains, je la vois signaler le numéro de cet inconnu. Bon sang, elle va finir par me rendre malade. Je ne sais plus quoi faire pour la garder près de moi. Du moins l’avoir un minimum à l’œil. Elle me fuit peut-être … ? Pourquoi l’inconnu ne lui fais pas peur, alors qu’à moi il me fait peur pour elle.
Ça fait maintenant trois heures que je suis sous le soleil en Afrique. Je suis au bord de la déshydrations, mais ma motivation n’en n’est pas moins. J’ai soif, mais je ne m’arrête pas. Je suis là pour aider les gens du coin et non pour m’asseoir. Je suis comme ça, j’ai le cœur gros comme la terre et je ne peux pas rester là assis à ne rien faire. L’armée américaine est présente. Ils ont demandé de l’aide et heureusement qu’ils sont là. Quatre heures et je n’ai toujours pas bu d’eau. Je me sens faible. Mon t-shirt est trempe, mes cheveux décoiffés, mouillés et beaucoup trop long pour cette chaleur, sans oublier mon visage qui est presque noircis par la couleur du sable. Je suis sale, j’ai chaud et qu’est-ce que je ne donnerais pas pour prendre une douche. Enin, j’eus à peine le temps de reprendre mon souffle qu’une main se dépose sur mon épaule. Quand je me retourne, je la vois. Ses yeux sont clair et son sourire est magnifique. J’en reste même saisis, mais je souris tout de même. Je me souviens pas avoir une vu aussi jolie femme dans le coin. Je ne suis pas fais en bois, croyez-moi. J’aime cette fille. Toni je l’aime, mais je vois clair tout de même. Bref, je lui adresse un sourire puis je prends la bouteille d’eau qu’elle m’a tendue.
« Merci.» Dis-je avant de la terminer au complet comme si ma vie en dépendait.
« Faut boire, avec cette chaleur c’est dangereux. Ton corps a besoin d’hydratation. »Elle me sourit puis se retourne. Apparemment, il n’y a pas que moi qui est assoiffé, mais hypnotisé par elle, peut-être. La journée terminée, j’ai décidé de me promener dans le village à moitié reconstruit le soir même puis je l’Ai croisé. Encore, elle était encore aussi jolie, de jour comme de soir quoi ! Elle s’approche de moi et ce met à rire. J’hausse les sourcils puis la regarde.
« Bah dis donc un petit brin de toilette ça n’a pas fait de tord. » Elle me regarde de la tête aux pieds, puis m’invite à aller sous la tente plus loin. On n’a prit une bière ce soir-là puis on n’est retourné chacun de notre côté. C’était bien et ça faisait longtemps que je n’avais pas eut une conversion comme celle-là avec une personne qui me ressemble, ici en Afrique.
all the single ladyton pseudo : The Fantasy.
√ âge : 23 ans.
√ pays : Canada.
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√ comment t'es arrivé ici? : Facedelivre, pub.
√ un commentaire? : Yevousn'aime.
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je suis impatiente de voir tout le personnage 
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en passant, t'es beau ![EVANS + pour le meilleur & pour le pire. [terminé.] 2395261302](/users/1116/40/11/18/smiles/2395261302.gif)
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