Nom : llewelyn, pour te jouer un tour, parce que c'est chiant à épeler et que ça fait toujours sourire de te voir l'écorcher. √Prénom : tuesday bonnie, ça sonne comme une vaste blague, y'a comme du foutage de gueule dans l'air, et pourtant c'est la réalité, la vraie. √Âge : vingt-cinq ans qu'elle n'aspire qu'à vivre et pas juste pour de faux. √date et lieu de naissance : 29 mars 1989 à leighton, pays de galles, le beau, le pluvieux, le lointain. √vos origines : galloises pures, sans mélange, sans fantaisie. √Métier : vendeuse dans une boutique de vêtements, rien d'original, pas si loin des paillettes quand on y réfléchir, si seulement on pense à celles qui sont collées sur les fringues. √Orientation sexuelle : hétérosexuelle, pas fermée pour autant, pas ouverte pour autant. √Statut matrimonial : dingue du grizzly, rhodri, espèce de crétin d'amour. √côté financier : fauchée comme un champ de blé, pas besoin de richesse quand on peut vivre de façon intéressante. Caractère : sensible & généreuse, caractérielle & franche, coquette & polissonne, impulsive & déraisonnable, douce & sociable, abîmée & accro, feignasse & gloutonne. √groupe : cœur d’artichaut, aucun doute.
the last song le côté insouciant ressort parfois, elle te rit au nez, elle est peut-être un peu irresponsable, elle s'en fout, elle veut vivre comme ça lui chante. et ce qu'elle veut, c'est vivre à contre-courant. √ elle aime l'extérieur, vivre avec le minimum vital. l'enfermement c'est son pire cauchemar, courir les routes, voir les plus beaux paysages, ça a toujours été son plus grand rêve. un rêve qui a été fichu en l'air y'a trois ans et des poussières. √ elle est folle amoureuse de son rhodri depuis des années, elle l'aime de tout son cœur, de toute son âme mais elle lui en veut. elle lui en veut d'avoir fini en prison à cause d'elle. alors elle s'en veut aussi. elle l'a mal vécu et elle le vit toujours mal. √ elle supporte mal la solitude. elle n'a pas besoin de beaucoup de monde pour lui tenir compagnie. juste une personne, c'est déjà énorme, c'est tout ce qui lui faut. √ la clope, l'alcool, elle s'est accoutumée à ça, elle y est accro, elle est de ces minables menteuses qui boivent en cachette à défaut de vivre le bonheur parfait. à défaut d'avoir su le garder, plutôt. √ elle collectionne les vêtements, elle achète tout dans des friperies. elle arrange et customise, et elle s'en tape si c'est pas au goût de tout le monde. √ elle aime prendre soin de son apparence, elle se maquille et entretient sa chevelure pour être belle pour son amoureux, parce qu'elle sait que ça lui met des étoiles dans les yeux quand elle se pomponne. mais elle sait s'en passer si nécessaire, ça fait pas partie de ses irrépressibles addictions. √ elle bouffe comme un ogre, tout, absolument tout ce qui lui fait envie, et pourtant son IMC reste désespérément bas. prendre quelques rondeurs lui plairait, faut croire que c'est tintin pour les belles courbes. √ mine de rien, c'est une froussarde sur certains plans. les films d'horreur la font flipper. et les bruits chelou dans l'appart' la nuit aussi. dehors c'est pas pareil. c'est pas pareil du tout. √ elle est trop bonne, parfois trop conne, elle fait partie de ces pigeons qui filent une chance à chaque personne en croyant qu'il y a du bon chez tout l'monde.
letter never sent
PASSENGER ► DEFTONES FT. MAYNARD JAMES KEENAN Here I lay Still and breathless, Just like always Still I want some more. Mirrors sideways, Who cares what's behind ? Just like always, Still your passenger. Chrome buttons, buckles and leather surfaces. These and other lucky witnesses Now to calm me, This time won't you please... Drive faster ! Roll the windows down, This cool night air is curious, Let the whole world look in, Who cares who sees anything ?
I'm your passenger, I'm your passenger.
Drop these down and Put them on me, Nice cool seats There to cushion your knees. Now to calm me, Take me around again. Just don't pull over, This time would you please... Drive faster ! Roll the windows down, This cool night air is curious, Let the whole world look in, Who cares who sees what tonight ? Roll these misty windows down To catch my breath. And then go and go and go just drive me Home and back again. Here I lay just like always. Don't let me go. Take me to the edge.
j'en reviens pas. trois ans. trois longues années d'emprisonnement. quand le jugement est tombé, c'était comme si ma vie s'était mise en hiatus. et pourtant, c'est pas moi qui aller finir en prison. c'est pas moi, c'est toi, rhodri.
tout ça parce que t'as fait une connerie. une énorme connerie, même, il faut bien dire les choses exactement comme elles sont. je me demande encore pourquoi tu n'as pas su m'écouter quand je te demandais de conserver ton calme. je me demande encore pourquoi tu n'as pas su entendre raison alors que moi, pour une fois, j'étais la nana la plus raisonnable du monde. je t'avais demandé d'arrêter, je t'avais demandé de ne pas frapper, de ne pas t'acharner. cette histoire n'était pas si grave, c'était que dalle, notre histoire en pleine écriture passait au premier plan, non ? toi et moi. juste toi et moi, et les autres on s'en tapait. mais voilà, t'as pété les plombs et moi j'ai pas su trouver les bons mots pour que ta colère ne fasse pas ravage. Et tu sais, pour la première fois dans l'histoire de l'univers, j'ai eu peur de toi. Tu m'as fait froid dans le dos, je ne t'avais jamais vu dans un tel état alors que ce mec, il en avait fait si peu, au fond.
je t'en veux de ne pas avoir écouté. je m'en veux parce que tout est de ma faute à la base. Tout ça parce que j'ai pas su me débrouiller tout seule. Tout ça parce que je compte plus sur toi que sur moi-même. Comment je vais faire sans toi ? Comment je vais m'en sortir toute seule ?
Je me souviens encore de notre rencontre. Je m'en rappellerai toute ma vie, de ces flammes qui nous réchauffaient. Le feu de joie, la joie d'être rassemblés. Les potes pour qui j'avais bravé l'interdit, j'avais fait le mur pour les rejoindre et t'étais là toi aussi. La première fois que j'ai posé mon regard chez toi, j'ai vu un mec un peu solitaire à l'air maladroit. Un type qui vit dans un monde toujours bien trop petit, bien trop étroit pour lui. Un type qui a toujours besoin d'un peu plus, de beaucoup plus, un type qui a besoin de se libérer. Et tu sais quoi ? Je t'ai trouvé beau Rhodri. Je t'ai trouvé magnifique et j'ai gravé cette image au fond de ma mémoire. C'était comme ça : à l'instant où je t'ai vu, je savais qu'entre toi et moi, ça ne pourrait que coller et j'ai eu le merveilleux bonheur de ne pas m'être trompée.
Toi et moi, on en a fait des choses. On a fait front face à mon père, on a résisté, on a fait tous les efforts du monde pour rassembler quelques moyens et puis on est partis. Juste toi et moi. Nous contre tout le reste du monde, et attention à quiconque voudrait nous séparer l'un de l'autre ! Tu m'as arrachée à ce que j'avais toujours connu pour me montrer de nouveaux paysages, une nouvelle vie, celle à laquelle je rêvais depuis des années. Depuis toujours même. Tu m'as offert mon rêve sur un plateau d'argent et tu me rendais heureuse, je ne me suis jamais inquiétée de ce qu'on a pu tenter de me dire ou de me faire croire à propos de toi.
J'étais jeune et t'étais devenu mon mentor. Je t'aimais et ma vie tournait autour de toi.
J'ai nourri pour toi une confiance aveugle et je t'ai suivi, les yeux fermés. Avant toi, ma vie elle était juste pourrie. Elle était terne et en nuances de gris. Tu m'as sortie de cette triste existence sans autre saveur que l'amertume et la fadeur d'un monde sans horizon. On avait des projets toi et moi. On avait une vie, une vraie, on avançait au gré du vent et de nos envies. Et je suis devenu dépendante, dépendante de toi et de tes foutus ronchonnements quand je te taquinais plus que tu n'appréciais. Et tu n'appréciais pas beaucoup. Comment je vais faire le matin, pour me mettre debout sans t'entendre râler ? Comment je vais faire la nuit, pour dormir dans un lit sans ton corps pour réchauffer et froisser les draps ? Comment je vais faire pour vivre avec le manque de toi ?
Mais rassure toi, malgré tout. Envers et contre tout, je t'attendrai. Trois longues années, c'est rien si ensuite tu me promets l'éternité.
lettre jamais envoyée
all the single lady ton pseudo : hierophant. √âge : vingt-deux ans. √pays : france. √fréquence de connexion : tous les jours ou presque, pour le rp, j'essaye de répondre le plus vite possible. √comment t'es arrivé ici? : rhodri m'a montré le chemin, je l'ai suivi. √un commentaire? : je vous aime déjà, vous êtes sublimes.
COMATOSE ► SKILLET I hate feeling like this, I'm so tired of trying to fight this. I'm asleep and all I dream of Is waking to you. Tell me that you will listen, Your touch is what I'm missing And the more I hide I realize I'm slowly losing you. Comatose, I'll never wake up without an overdose of you. I don't wanna live, I don't wanna breathe 'Less I feel you next to me, You take the pain I feel. Waking up to you never felt so real. I don't wanna sleep, I don't wanna dream 'Cause my dreams don't comfort me The way you make me feel. Waking up to you never felt so real. I hate living without you Did wrong to ever doubt you But my demons lay in waiting Tempting me away. Oh, how I adore you, Oh, how I thirst for you, Oh, how I need you. Comatose, I'll never wake up without an overdose of you. I don't wanna live, I don't wanna breathe 'Less I feel you next to me, You take the pain I feel. Waking up to you never felt so real. I don't wanna sleep, I don't wanna dream 'Cause my dreams don't comfort me The way you make me feel. Waking up to you never felt so real. Breathing life, waking up, My eyes open up. Comatose, I'll never wake up without an overdose of you. I don't wanna live, I don't wanna breathe 'Less I feel you next to me, You take the pain I feel. Waking up to you never felt so real. I don't wanna sleep, I don't wanna dream 'Cause my dreams don't comfort me The way you make me feel. Waking up to you never felt so real. Oh, how I adore you. Waking up to you never felt so real. Oh, how I thirst for you. Waking up to you never felt so real. Oh, how I adore you. The way you make me feel, Waking up to you never felt so real.
Si tu faisais une petite rétrospective sur ta vie, si tu regardais un peu en arrière... Tu détestes ça, t'as toujours détesté ça. Regarder en arrière quand t'essayes d'avancer, c'est bon pour se prendre un poteau dans la gueule parce qu'on regarde pas où on va. Certes. Mais parfois c'est un peu nécessaire, tu peux pas oublier d'où tu viens ni de quoi t'es partie.
Tu cracherais bien volontiers sur les vieux souvenirs, les plus anciens que tu as. T'as vu le jour au Pays de Galles et c'est là-bas que t'as grandi. La vie était plutôt pas mal au début, tu as toujours été fille unique et bien que tes parents ne roulaient pas sur l'or, tu n'avais jamais manqué de rien. Puis quand t'avais dix ans, ta mère vous à quittés toi et ton père. Accident de voiture, issue fatale, morte sur le coup à ce qui paraît. Il ne vous restait plus qu'à être forts après ça, à être courageux et continuer votre vie. Et si toi, t'as toujours tout fait pour être forte, ton père ne s'est absolument jamais remis de ce décès si soudain et il t'a semblé devenir de plus en plus fou au fil des années qui passaient.
Tu disais que c'était un connard, puis tu lui pardonnais juste après. Tu le traitais d'enfoiré, puis tu le défendais. C'était pas sa faute après tout. Il était malheureux, il se sentait seul, il avait peur que tu saches pas t'en sortir dans la vie. Il avait peur de te perdre alors il t'étouffait. Il te rabaisser pour que t'en sortes plus forte. Et parfois il t'insultait, ses paroles étaient comme des dizaines de poignards qui s'enfonçaient dans ta chair et qui se retournaient encore et encore, à chaque fois qu'il insistait. Peut-être bien que tu le méritais. Peut-être bien qu'il savait plus trop ce qu'il faisait. Il a au moins eu le mérite de ne jamais lever la main sur toi malgré tout ça. C'est déjà mieux que rien, pas vrai ? Il était faible ton père, terriblement faible. Mais toi t'étais assez forte pour deux. T'avais pas le choix après tout, il fallait continuer à vivre, même si c'était avec ce père qu'était devenu rien de plus qu'une loque aux mots brûlants comme des jets d'acide. T'étais jeune, tu devais te construire, tu devais re-construire les bases sans ta mère aussi, et tu devais te débrouiller à rafistoler la vie de ta seule et unique famille, et ce même s'il ne donnait pas du sien.
Il t'a appris l'autodestruction. Il t'a appris à te détester.
Il te voulait rien que pour lui. Rien dans le sens incestueux du terme. Mais il aimait que tu rentres directement après les cours, il aimait savoir où tu te trouvais, à chaque heure, à chaque minute, à chaque seconde. Il te fliquait, toujours sur ton dos, à surveiller tes faits et gestes, à contrôler tes fréquentations.
T'avais pas beaucoup d'amis mais t'avais réussi à t'en faire quelques uns malgré tes refus à leurs invitations pour les sorties et autres soirées prévues. Mais une nuit, ils sont venus en bas de chez toi, ils sont venus te chercher, tu ne pouvais pas refuser. Ils t'ont amené dans un coin, en plein milieu des collines, dans un coin totalement paumé où y'avait une foule inhabituelle. Des jeunes, pas mal de jeunes. Et dans ce lot d'inconnus, y'avait ce mec. C'était Rhodri. Un véritable coup de cœur. Ça t'est tombé dessus soudainement. Et vous vous êtes rapprochés. Et pendant quelques temps, vous vous êtes tournés autour l'un de l'autre comme deux jeunes gamins qui se cherchent. Et puis vous êtes tombés l'un dans les bras de l'autres. Tu l'aimais. Et par chance, il t'aimait aussi. Rhodri, c'est devenu ta plus belle histoire. Il te faisait oublier ta peine, ton père, les mots que tu te prenais dans la gueule. Tu bravais l'autorité pour lui, il était devenu ton oxygène.
Il t'a réappris à te sentir en vie. Il t'a appris à t'aimer. Il t'a aimé pour deux. Pour mille.
Rhodri t'a fait sortir de ta coquille, il a guéri tes peines et t'a poussé vers l'avant. Il t'a fait connaître le bonheur et t'es devenue accro à lui. Et ton père a essayé de vous séparer. Il a essayé de vous briser, de te faire croire que les intentions de ton petit-ami étaient malsaines, que c'était pas un type bien. Mais ça fonctionnait pas, il ne pouvait plus te manipuler à sa guise. Alors il a tenté la brutalité. Et ça n'a pas marché non plus. Avec Rhodri, vous avez bossé dur, vous avez fait de votre mieux pour économiser de l'argent pendant environs deux longues années, puis un jour vous êtes partis. Tant pis pour ton père. Tant pis s'il sombre sans toi.
A partir de là, t'as vécu une vie idéale. Elle était pas à l'image que peuvent se faire bien d'autres personnes. Il n'y avait ni richesse, ni mariage, ni belle maison. Pas de conte de fée. Juste Rhodri et toi, et les routes. Et les paysages. La nature, le recul, la distance. Le plus de distance possible entre le cauchemar et toi. Il y avait des soirées en compagnie d'autres personnes aussi, vous étiez comme deux fugitifs fuyant leur passé. C'était la liberté, la vraie.
Ça a duré un temps, pas assez longtemps pour toi. Ça a duré jusqu'à l'incident, celui qui a envoyé ton petit-ami derrière les barreaux une fois le verdict trois ans. T'allais rester trois ans toute seule, livrée à toi-même, sans la protection de ses bras de grizzly. T'allais rester trois ans toute seule, laissée dans une ville que tu ne connaissais pas, dans laquelle tu n'avais pas le moindre repère. Memphis, the river city. Memphis, ton enfer sur Terre.
Et là, c'est ton présent. Celui dans lequel tu t'es démenée pour avoir un petit logement tout pourri avec le peu d'économie qui te restait. Celui dans lequel t'as du te résoudre à trouver un emploi stable. Celui dans lequel t'as été contrainte de vivre seule en attendant le retour de ton bien-aimé. Dieu sait que ça a été dur. Dieu sait comme tu t'es mise à foutre ta vie en l'air entre les moments où tu bossais et ceux où tu noircissais des tonnes de pages pour les envoyer à Rhodri, pour lui donner l'impression qu'il avait au moins un peu de compagnie. Pendant trois ans, t'as toujours acheté le même parfum, celui que tu as porté avant qu'il soit enlevé à toi. T'as fait des tas d'efforts pour lui. T'as évité de te laisser mourir, tout ça parce que tu devais l'attendre. Tout ça parce que, même si tu craignais son retour, même si t'avais peur, tu devais l'attendre. Tu devais le retrouver.
Alcool, cigarette, névrose. Sorties, larmes, insomnies. Essayer de tenir et puis... Lâcher prise. Lâcher prise. Lâcher prise.
bienvenue ici idem, je ne connais pas ton ava (enfin, peut-être de nom seulement) mais ça fait du bien des nouvelles têtes elle a l'air toute belle, en plus
Rhodri + Baloo-chou, tu me flattes. ♥ Everybody + Merci pour votre accueil, c'est vraiment trop gentil de vos parts ! Puis merci pour les quelques petits compliments aussi, ça fait plaisir et pis en plus vous êtes tous beaux ! ♥
j'aime beaucoup ta fiche, j'ai très hâte de vous voir en jeu
Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. Pense à mettre ton quartier de résidence dans ton profil si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Ici tu trouveras des codes de signatures qui collent avec le forum. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de liens à ta disposition, pour suivre les couleurs du forum (si tu ne l'utilises pas, veille à ne pas déformer le forum ou jurer avec des couleurs inadaptées), c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si tu mets des cadres et autres, attention à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Plusieurs fiches son à ta disposition : fiches pour les posts rp . Et surtout. Have fun.
Accueil 
et bon courage pour la suite de ta fiche !
elle a l'air toute belle, en plus 
