Nom : Sullivan, le nom de mon père, pur Irlandais. √ Prénom : Anjelinna, une variante d'Angelina, mes parents n'aiment guère la normalité, nous avons donc tous hérités mes frères et sœurs de prénom revisité à leur sauce. √ Âge : je vais bientôt fêter ma 24éme bougies √ date et lieu de naissance : 23 Décembre à Dublin √ vos origines : irlandaise, anglaise √ Métier : fleuriste au grand désespoir de mes parents, j'avais pourtant commencé brillamment mes études de médecine mais j'ai arrêté au bout de la troisième années pour me consacrer aux fleurs . √ Orientation sexuelle : je n'aime que les hommes √ Statut matrimonial : en couple. √ côté financier : grâce à mes parents mon porte monnaie va très bien, je ne manque de rien. Caractère : mes amis me décrive : enfantine, mauvaise perdante, attachante, exigeante, passionné, ouverte d'esprit, rêveuse, aventurière, casse cou, intelligente, amusante, maladroite, jalouse, trop gentille, franche. √ groupe : coeur d'artichaud .
the last songJ’aime les fleurs, les animaux, la nature tout ce qui peut être vivant. je possède donc un magasin de fleurs, je m’éclate à faire des compositions pour les mariages etc …
√ a la maison j’ai six chats, deux européen, Sarafine et Bianca, deux maine coons, Irina et Jak, et deux norvégiens, Mina et Caly, j’aime mes chats plus que tout au monde, j’ai aussi deux chiens, mes amours aussi, un husky de sibérie, Snow, et un beauceron arlequin, Stone. Les deux chiens sont toujours avec moi au magasi.
√ je suis végétalienne, je ne mange pas ce qui a pu être vivant auparavant, je ne supporte pas cela.
√ je joue du piano et du violon, chaque enfants de la fratrie devait savoir jouer d’un instrument ou du moins pratiquer un art, j’ai choisi le piano et le violon, j’en joue encore aujourd’hui.
√ j’aime traîner à la bibliothèque et lire des livres, j’aime énormément l’odeur des vieux livres.
√je ne suis pas douée en cuisine ni en pâtisserie, oubliez moi pour ce genre de chose !
√ j’aime m’amuser et sortir, profiter de la vie avec mes amis.
√ je parle couramment plusieurs langues : anglais, américain, irlandais et scientifique (oui c’est une langue je vous jure, enfin pour moi cela en est une, vue que quand je parle de médecine personne ne me comprend !
√ les walt disney n’ont aucun secret pour moi, je les connais par cœur.
√ si vous voulez me faire plaisir, apportez moi un bon chocolat au lait avec de la chantilly délicatement posé dessus, avec du pain frais finement recouvert de beurre et je vous aimerez toute la vie !
story of my life« on peut toujours compter sur sa famille a défaut de ses amis »
Une grande famille. Une très grande famille. C’est mon univers depuis toute petite. Je suis la septième enfant sur dix. Pour me comprendre et comprendre mon histoire je suis obligée de vous présenter ma famille. Ma fratrie. Je vais commencer par les parents, Monsieur et Madame Sullivan, des parents bien attentionnés, Monsieur riche homme d’affaire quelque peu arrogant et macho, refusant que son épouse travaille, préférant qu’elle élève la progéniture. Un père et une mère très catholique, nous inculquant les bonnes valeurs à leur yeux. Le premier enfant fut Gerremi, leur garçon, leur premier, leur amour de fils, brillant avocat de trente-quatre ans aujourd’hui. Ensuite vint Hinnes, leur première fille, avec ses beaux cheveux roux hérités de papa, à la tête d’une entreprise qui fonctionne parfaite bien à a peine trente-deux ans. Puis les jumeaux Tic et Tac, de leur vrai prénom, Enry et Jams, vingt-neuf ans aujourd’hui, avec de bons diplômes en poche et un excellent boulot qui fait la fierté de tout le monde. Tomyas, cinquième enfants de la fratrie, certainement le plus rebelle de tous, il a décidé de quitter la maison à ses vingt et un ans, ce qu’il fit, depuis la famille n’a plus aucune nouvelle de lui, sauf moi, j’avais une relation spéciale avec mon frère, malgré qu’il soit mon aîné de trois ans, j’ai donc régulièrement des nouvelles de lui. Endrea est le sixième enfant. Je suis la septième enfant.
Mon père a été muté loin de Dublin, j’avais alors que quatre ans. C’est comme cela qu’on mit les pieds ici, dans cette charmante ville. Un an plus tard, Lysabeth est née, huitième enfants. Je commençais vraiment à me demander si ma mère n’était faite que pour cela. Faire des enfants. J’avais l’impression de l’avoir toujours connu avec un gros ventre. Je me demandais malgré mon jeune âge si moi aussi je serais comme maman, toujours avec un gros ventre. Puis enfin vint les jumeaux, Marye et Loyk, neuvième et dixième enfants.
Voilà ma vie, ma vie de famille. Papa est peu présent à la maison, mais pour mettre sa graine pour cela il était là. Maman nous a éduqués dans les traditions catholiques. De parfait enfants sage et bien éduqué. Malgré tout nous étions aussi pas parfois de sacré garnement sans éducation. J’étais la plus maladroite de tous, je n’avais rien pour sortir du lot de tous ces enfants. J’étais tellement banal.
J’ai grandie et j’ai pris mon indépendance. Je n’allais plus au chalet qu’on avait dans les montagnes pour les vacances d’hiver. Pourtant petite j’y avais de bon souvenir. Surtout un, un très rare, avec papa.
Pour une fois il était au chalet, papa était avec nous, c’était magique pour noël. Le plus beau de mes cadeaux. Après le petit déjeuné, maman avait fait des pancakes, je me rappelle encore de l’odeur, avec un chocolat chaud. J’étais allée voir papa. « on va faire un bonhomme de neige dehors ? ». je croyais qu’il allait dire non, comme à son habitude, avec une excuse du style j’ai du boulot, j’ai pas le temps, mais au lieu de cela il m’a répondu « bien sûr mon petit ange blond ! ». j’étais restée bouche bée, surprise devant lui. il a rigolé, j’ai rigolée avec lui. il m’a habillé bien chaud pour ne pas que j’attrape froid. J’avais dix ans à cette époque. On avait passé toute la matinée ensemble dans la neige, à faire des bonhommes de neige, des châteaux de glace, un ange et tellement d’autre chose. Puis on avait mangé tous ensemble. Et papa était repartit travailler. Mais ce temps avec lui restera gravé dans mon cœur pour toujours. Je n’allais plus non plus à la maison secondaire qu’on avait au soleil pour l’été, près d’un lac. Idem j’y avais d’excellent souvenir. Mais quand on grandi on veut changer de notre routine d’enfance. Et mettre à l’écart le chalet d’hiver et la maison d’été en faisait partit, j’avais besoin de me couper de tout cela.
Je me souviens d’une fois je devais avoir seize ans, à la maison d’été. C’est là que j’ai connu mon premier amour. Mon tout premier amour et surement ma plus grande déception. J’étais au bord du lac je m’amusais avec mes frères, Hinnes n’y était pas. On s’amusait comme des fous à se noyer, à se courir après, à se plaquer par terre etc … Mettant en avant notre complicité fraternelle. Puis il est arrivé, lui, Maxime, brun aux yeux noisette. Il m’a tout de suite fait boum boum dans mon cœur. Toutes les vacances on ne s’est pas quitté. On a vécu deux mois d’amour. Et il est partit, il ne m’a plus jamais donné de nouvelle. J’ai eu le cœur brisé. Je me suis dit que l’amour n’avait aucun sens, aucune utilité. Je m’y suis faite une raison. Aujourd’hui je tiens ma boutique de fleur, je fais ce que j’aime, j’ai mon appartement. J’ai voulue essayer. J’ai voulue croire que je pouvais suivre le chemin que mes parents m’avait tracée. Je suis entrée en école de médecine. J’ai tenu trois ans. Trois ans où j’ai appris beaucoup, trois ans où j’ai surtout réalisé que ce n’était pas ce que je voulais. Que je me sentais comme dans une prison où je n’avais plus ma place. J’ai réalisé que mes parents guidés les pas de toute la fratrie. Et j’ai réalisé que Tomyas avait été le plus intelligent de quitter tout cela. De rompre ce lien qui avait été créé. Alors à la fin de ma troisième année de médecine, j’ai tout lâché. J’avais bien économisé et j’ai mis mon projet en place, cela m’a pris des mois, mais j’ai réussie à faire ce que je voulais faire. J’ai ouvert les yeux sur ma vie. Et j’ai su que je ne serais jamais comme ma mère. Voilà un an que je suis fleuriste, que j’ai ma petite entreprise, je m’amuse à créer, à faire ce que j’aime faire le plus au monde. Je me sens tellement plus épanouie. Je ne regrette rien de ma vie. Car j’ai fait de belle rencontre aussi des mauvaises. Je me suis brisée et je me suis reconstruit. La vie continue, toujours. Voilà huit mois que je vis un parfait amour avec Eckzekiel.
Huit mois avant, une de mes sœurs a mis au monde un magnifique bébé. Une ravissante petite fille. Elle m’avait appelée quand les contractions avaient commencés, j’avais tout quittés pour aller la voir. Dans ma précipitation, je n’avais écouté ce qu’avais dit la dame de l’accueil. Je suis rentré dans une salle, où j’ai trouvé un jeune homme avec une jeune femme qui lui tenait la main, le garçon semblait en souffrir, mais tenait bon. Vraisemblablement ce n’était pas ma sœur. J’avais glissé un « désolé ». Et j’avais fini par retrouver ma sœur. Un peu plus tard, j’étais allée voir mon filleul dans la salle où il y avait tous ces petits bébés à la peau si rose. Et je l’avais revu. Alors que je tenais la main de David, j’ai chuchotée à cet étranger juste à côté de moi « Félicitation pour votre bébé ». Mon regard a croisé le sien. « Ce n’est pas le mien, c’est le fils de ma meilleure amie, ma filleule ». J’ai rigolé. « Alors Félicitation parrain ! ». J’ai vu son sourire, d’ange, derrière la noirceur de ses traits. « A vous aussi, tata je suppose ?! ». Un sourire en coin. « Marraine je vous prie ! C’est le fils de ma sœur, c’est mon filleul ! ». Nous avons rigolé ensemble. Ce fut le début d’une histoire. On découvrit qu’il travaillait juste en face de ma boutique de fleur, on devait se croiser tous les jours, sans vraiment se voir. La vie pouvait être vraiment magique parfois. Une vie banale, de fille banale, Tomyas va venir vivre avec moi, je l'ai eu récemment, il a eu quelques soucis de santé, qui font qu'il doit revenir par ici et pour lui hors de question de repartir chez les parents. Alors j'ai décidé de l'accueillir à la maison.
La vie est faite ainsi, comme dirait un grand auteur ;
« Pour leurrer le monde, ressemble au monde ; ressemble à l'innocente fleur, mais sois le serpent qu'elle cache. » W.S
all the single ladyton pseudo : aurélie.
√ âge : 22 ans
√ pays : france
√ fréquence de connexion : alors je serais là le Lundi le Jeudi et le week end.
√ comment t'es arrivé ici? : PRD
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