Nom : Winter, le "W" se prononce "v" √ Prénom : Jonathan, mais il faut l’appeler John √ Âge : 23 ans √ date et lieu de naissance : 25 Septembre 1992 à New-York √ vos origines : Allemandes √ Métier : Il est fleuriste, parce que sa petite sœur à toujours aimée les fleurs √ Orientation sexuelle : Il aime un peu tout ce qui bouge... à part les animaux... √ Statut matrimonial : Célibataire, il ne se préoccupe pas vraiment de ça √ côté financier : Stable Caractère : Intelligent - Charismatique - Déterminé - Lucide - Poli - Impulsif - Colérique - Menteur - Orgueilleux - Rancunier √ groupe : cœur de pierre
the last songSa mère est morte peu de temps après la naissance de sa sœur
√ Il a tendance à chantonner des airs de comptines pour enfants quand il cherche à se concentrer ou à faire quelque chose en particulier, quoique ça arrive aussi qu'il chantonne par pure envie
√ Il vit par et pour sa sœur, il fait toujours tout ce qu'il faut pour qu'elle soit heureuse, à tel point de très souvent parler d'elle. Autant qu'il prend soin d'elle.
√ Lorsqu'il avait 17 ans, il a été diagnostiqué Psychopathe et Psychotique
√ Il se montre très protecteur avec sa petite sœur qui ressemble beaucoup à leur mère, la personne qui lui fera du mal le regrettera
√ Il parle couramment l'anglais et l'allemand, son père étant originaire de ce pays d’Europe, il a apprit cette langue dès son plus jeune âge
√ il sait parfaitement jouer du piano.
√ Il a été interné dans un hôpital psychiatrique quand il avait 19 ans, il en est sortit deux après pour bonne conduite
√ des médicaments lui ont été prescrits, des médicaments qui sont supposés le rendre zen, mais il ne les prends pas, il fait semblant de les avaler et les recrache aussitôt
√ Il a beaucoup de talent en dessin, d'ailleurs, il a un carnet remplit de différents dessins, il a ce carnet depuis 2 ans
√ C'est à cause de la mort de son père qu'il a été envoyé dans un hôpital psychiatrique
story of my life"Félicitation, c'est un petit garçon !"Les pleures et les cris perçants du nouveau né résonnait dans cette chambre d’hôpital. Une femme tient enfin son premier enfant dans ses bras. Le sourire aux lèvres, les yeux humides, elle ne pouvait détourner son regard ce cette petite bouille ronde qu'elle avait dans ses bras. Son fils, son cher et tendre petit garçon.
"Jonathan... My little John..." Elle avait déjà décidée du diminutif, ça aurait pu être Joe mais non, c'était John. John, john, john, ce diminutif, il l'entendra souvent, tellement souvent qu'un jour, ce diminutif deviendra beaucoup plus...
Âgé de quinze ans, le jeune Jonathan n'arrivait pas a s'y faire. Vivre sans mère, ne plus voir le visage, ne plus entendre la voix de cette qui vous a élevé et aimé... Depuis la mort de sa mère, c'est à dire peu de temps avant ses quinze ans, il ne parlait plus, ne sortait plus de sa chambre... la seule personne avec laquelle il parlait était sa petite sœur ayant trois ans de moins que lui, sa petite sœur qui ressemblait tellement à sa chère mère, sa petite sœur qu'il aime tellement... Mais sinon, il restait enfermé dans sa chambre, allongé dans son lit. Parfois, son père venait le voir et essayait de lui parler...
"Jonathan..." disait son père, en voulant lancer une conversation. Mais son fils, allongé dans son lit, dos à lui, ne lui donnait qu'une seule réponse.
"John..." Bien que son père lui répétait que ce n'était pas son vrai prénom, que ce n'était qu'un diminutif, le jeune rouquin ne voulait pas être appelé Jonathan, pour lui, le prénom jonathan ne lui a jamais été donné, pour lui, le diminutif que lui donnait sa mère était son prénom... john...
Assit à table, en face du voisin, un homme d'une quarantaine d'année, faisant partit de la police de New-York, un homme que John connait bien. Ce dernier est entré chez les Winter en entendant un cris et des bruits. Et où cela l'a mené ? Et bien il se trouve ligoté à une chaise, assit devant un gamin de 17 ans, les mains en sang, le regard perdu.
'jonathan...""john..." dit le jeune homme d'une voix rauque, le visage dans ses mains.
'john..." reprit alors le policier avec une voix tremblante.
'dit moi ce qui c'est passé... qu'est-ce qui est arrivé à ton...père." En prononçant ses mots, le policer posa son regard sur le cadavre de père Winter, si il s'agissait bien de lui... comme ça, ce n'était pas possible d'identifier la victime avec son visage en bouillit... John se mit à lâcher un petit rire, puis un plus prononcé pour finalement rire à plein poumons à la plus grande incompréhension de l'homme assit en face de lui. Puis, il s'arrêta d'un coup avant de poser son regard sur le policier.
"c'est une histoire très très intéressante..." Il se leva et sans dire un mot, il alla devant une fenêtre et regarda à l'extérieur.
"j'étais dans ma chambre en train de lire, maman me disait toujours qu'il fallait lire, que ça apprenait de nouvelles choses, ma sœur me dit aussi ça parfois..." il renifla avant de reprendre.
"et puis... j'ai entendu mon père crier, et j'aime pas quand papa cri, ça me déconcentre..." Il alla ensuite au lavabo et se rinça les mains, l'eau qui tombait alors dans le lavabo devenait rouge...
"il continuait de crier, et ça m'énervait, alors je me suis levé, et je me suis servit un verre d'eau, maman me disait toujours que boire un verre d'eau et prendre une grande inspiration me calmerais, et ça marchais... mais..." il secoua alors ses mains au dessus du lavabo avant de les essuyer. Il enjamba ensuite le cadavre de son père pour revenir s'asseoir.
"il criait fort, très fort sur ma sœur à cause de ses notes et il l'a même giflée parce qu'elle avait répondu, et ma sœur... " il lâcha un ricanement
"on ne touche pas à ma sœur...Alors, j'ai prit une bouteille en verre et je l'ai explosé sur la tête de papa avant de lui planter un gros bout de verre dans la gorge, mais papa est un homme fort, et même avec ça, il était encore vivant..." le policier regardait le jeune homme avec peur, tout le monde aurait pu voir dans son regard qu'il était choqué...
"alors, j'ai arraché le micro-onde et je l'ai frappé au visage avec... Bam... bam... bam !!" dit-il en imitant les gestes. Il frappa alors violemment la table d'un coup de poing, il s'avança légèrement et tout en fixant le policier. Un léger sourire apparut sur ses lèvres et il ajouta
"personne ne touche à ma sœur...""il faut que tu changes pour sortir d'ici, c'est le seul moyen..." ses mots qu'avait prononcée sa sœur lors de sa dernière visite se répétait sans cesse dans sa tête. Il n'en pouvait de cette hôpital psychiatrique, de tout ses murs blancs et de tout les fous qui l'entoure... Lui ? Il n'est pas fou, non non non, il est juste... il n'est pas fou, pas comme les autres. il faut qu'il change, qu'il devienne plus sociable, qu'il montre qu'il est capable d'avoir des "ami" au sein de cet asile... Et c'est ce qu'il fit. Il se rapprocha de quelques personnes, les personnes les moins tarés, ainsi que d'une femme, une jolie petite blonde avec un tête d'ange... Il se forçait à leur sourire, à leur parler, à rigoler avec eux, et puis, quoi de mieux de montrer qu'on est amoureux pour se faire croire sociable ? Alors, il flirtait avec la jolie petite blonde, tout cela dura des mois avant qu'ils n'échangent leur premier baiser. Peut-être que elle, elle ressentait quelque chose mais pour lui, ce n'était rien du tout, c'était juste son ticket pour sortir de ce trou... Et enfin, au bout de deux ans de fausse relation, il était libre, avait eu une bonne conduite et "était devenu sociable", mais la dernière chose qu'il voulait, c'est que la petite blonde ne sorte aussi et le suive. Alors, avant de partir, il lui dit toute la vérité, qu'il ne l'avait jamais aimé, qu'il c'était juste servit d'elle pour sortir d'ici, que leurs parties de jambes en l'air avaient été très agréable mais qu'il n'y a jamais eu et n'aura jamais rien entre eux... Alors, celle-ci craqua et fit une crise, John se laissa frapper pour faire croire aux gardiens qu'elle était encore folle, et cela porta ses fruits, elle ne pu sortir de cette prison blanche. Une fois dehors, devant l’hôpital, libre, il regarda l'établissement quelques secondes avant de tourner le talons. Et quelques mètres plus loin, il commença à rire...
Cela fait maintenant un ans qu'il est libre, qu'il peut vivre sa vie, un ans qu'il est partit vivre à Memphis, la ville où sa mère et sa sœur sont nées. Son métier ? Fleuriste, parce que sa sœur aime les fleurs. D'ailleurs, il vit en colocation avec sa sœur, juste au dessus de sa boutique de fleurs. Elle avait insisté pour vivre avec lui, elle voulait prendre soin de lui, être là pour lui après tout ce qu'il a vécu, l'aimant tellement, il ne pouvait refuser... Et comme ça, lui aussi pourra prendre soin d'elle... Des médicaments ? Il est sensé en prendre oui, mais il n'aime pas ça, ça le rend abrutit et mou, il fait semblant de les prendre et les crachent aussitôt, en plus, il se contrôle maintenant... plus ou moins...
all the single ladyton pseudo : scruvs
√ âge :
√ pays : france
√ fréquence de connexion : 2 jours sur 7
√ comment t'es arrivé ici? : vive les partenariats
√ un commentaire? :