Nom : reid √ Prénom : noa √ Âge : 20 ans √ date et lieu de naissance : le 24.12.1994 à Durban, Afrique du Sud √ vos origines : néo-zélandais et sudafricain √ Métier : pas de boulot fixe, je prends tout ce qui est à prendre √ Orientation sexuelle : j'aime les deux, ça laisse plus de choix √ Statut matrimonial : célibataire √ côté financier : c'est la loose et j'ai un trou dans ma chaussette :( Caractère : Noa est la bonté et la gentillesse incarné, il n'a déjà pas grand chose, mais il serait capable de donner sa chemise s'il sent que quelqu'un en a plus besoin de que lui. Extrêmement sensible, il ne supporte pas l'injustice, la trahison ou le mensonge, mais plus que tout, il déteste les dégonflés qui se laissent abattre facilement. Il n'est pas du genre à baisser les bras, capable de se sortir de bien des situations, il a une capacité d'adaptation assez exceptionnelle. Il aime se sentir entouré et aimé, mais la réciproque n'est pas aussi simple, c'est certainement pour cela qu'il préfère la solitude, ayant décidé que son coeur a assez subi jusqu'aujourd'hui. Il aime qu'on lui prouve qu'il est assez bien mais également qu'on lui prouve qu'il a raison de donner sa confiance. C'est quelqu'un d'exigeant envers lui même et les autres, il ne pardonne pas aux autres ce qu'ils ne se pardonneraient pas. Il n'a pas toujours sa langue dans sa poche, assez franc, il dit ce qu'il a à dire mais il reste quelqu'un d'agréable à côtoyer de par son humour et sa bonne humeur quotidienne.√ groupe : haut les coeurs
the last song je n'ai jamais touché une seule goute d'alcool de ma vie
√ malgré mes finances bien maigres, je me suis achetée un smartphone dernier cri que je ne quitte jamais puisque je suis en contact par mail avec l'infirmière qui s'occupe quotidiennement de ma maman
√ même si la faim me tiraille le ventre, je serai incapable de vendre ma guitare, seul souvenir que j'ai de mon père
√ je suis accro au cheetos
√ si j'ai déjà connu des histoires avec des hommes, je n'ai jamais couché avec l'un d'entre eux
√ grand vadrouilleur, je suis rarement dans la pièce qui me sert d'appartement, souvent à la recherche d'un job
√ je crois profondément en l'amour, mais je dois bien avouer que c'est le dernier de mes soucis en ce moment
√ mon plus grand rêve serait de retourner vivre à Durban pour retrouver mes racines qui me manquent tant
√ j'aimerai y construire un foyer chaleureux et pourquoi pas y fonder ma propre famille
√ faute de moyen, je mange souvent dans des fast-food mais ne prends jamais un gramme
√ je n'ai jamais dis "je t'aime" à quelqu'un
√ plus que de pouvoir manger, ma liberté de mouvement est une chose à laquelle je tiens particulièrement
√ j'aime beaucoup lire mais je n'en ai que très rarement l'occasion
√ je déteste que les gens me plaignent ou ai pitié de moi
√ très peu de personnes sont au courant pour mes parents
√ je fumais mais j'ai dû arrêter pour tenter de sauver un peu d'argent
√ il m'arrive de vendre des objets à la sauvette dans la rue
√ tous les tatouages que j'ai m'ont aidé à couvrir les cicatrices laissées par l'accident avec mon père
story of my life Parfois quand je regarde en arrière, je me dis que j’avais vraiment tout pour être heureux dans la vie, tout semblait me sourire. Je suis né dans la plus belle ville du monde, rien ni personne ne me fera jamais changer d’avis à ce sujet. Durban est un petit bijou dans lequel je suis bien décidé à retourner quand les choses s’arrangeront pour moi. Mes parents, bien qu’un peu dans leur monde, étaient la perfection incarnée à mes yeux. Terriblement amoureux l’un de l’autre, vivre d’amour et d’eau fraiche leur correspond tellement bien qu’il arrivait très souvent que le frigidaire soit vide mais que ça n’inquiétait personne. Ma mère était du genre bohème, toujours dans son monde, elle était belle à sa manière. Mon père ne vivait que pour trois choses : sa femme, son fils et la musique. C’est d’ailleurs lui qui m’a acheté ma première guitare et qui a passé des heures pour m’apprendre à en jouer. Mon enfance a donc été plus ou moins banale, j’étais un petit garçon vif d’esprit, tout le temps en train de poser des questions pour tenter de comprendre le monde qui m’entoure. Ma phase « pourquoi » a particulièrement dû être pénible pour mes parents, mais je crois que quelque part, ils étaient fiers de voir que leur fils s’intéressait à autre chose qu’à son nombril.
J’ai souvent accompagné mon père lors de ses représentations, son groupe commençait à se faire pas mal connaitre dans la région. Les yeux brillants, je regardais toujours mon père jouer au premier rang, me moquant bien de devoir rester des heures debout, je m’en moquais royalement, j’avais la chance de voir mon dieu sur terre se produire devant mes yeux. Je rêvais d’atteindre ne serait-ce que la moitié de son talent, j’avais tellement envie de vivre ce qu’il vivait sous mes yeux que je ne cessais de répété à ma mère que je voulais arrêter l’école pour me consacrer à la musique. Je n’avais que dix ans mais je crois qu’elle aurait fini par accepter si le pire n’était pas arrivé. Je ne me souviens plus très bien de ce jour, j’avais tout juste dix ans, je devais accompagner mon père pour un nouveau concert tandis que ma mère, enceinte, avait prévu de nous attendre sagement à la maison. Le choc a été terrible, une camionnette lancée à toute vitesse nous a percuté de plein fouet. Je suis resté conscient pendant que mon père agonisait à côté de moi, les bruits qu’il émettait étaient terribles, je les entends encore parfois lors de mes pires cauchemars. Les secours sont arrivés bien trop tard, le cœur de mon père avait lâché avant qu’ils n’arrivent. Cependant ce soir-là, je n’ai pas uniquement perdu mon père, c’est ma vie toute entière qui est partie en fumée car ma mère, apprenant le drame, a fait une crise de panique qui lui a fait perdre son bébé. A partir de cet instant, elle n’a plus été que l’ombre d’elle-même, son joli sourire avait disparu, elle passait ses journées assises devant l’une des fenêtres de la maison, le regard perdu dans le vide. J’étais seul, terriblement seul face à la misère de cette vie qui semblait vouloir s’acharner sur moi.
Des membres de ma famille ont finalement décidé d’intervenir, faisant interner ma mère dans un centre spécialisé avant de m’obliger à quitter l’Afrique du Sud pour venir vivre avec eux à Los Angeles. Etre séparé de ma mère était la dernière chose à faire pour m’achever, et c’était encore pire de savoir que je ne pourrai pas aller la voir régulièrement. J’étais en colère contre cet oncle dont je ne savais presque rien qui osait me dicter ma vie, je n’ai pas décoché un mot pendant des semaines avant de me rendre compte que cela ne changerait rien à la situation.
La vie aux Etats-Unis n’étaient pas meilleure, j’avais le mal du pays, et je n’arrivais pas à trouver ma place au sein de ma propre famille, alors, j’ai fini par m’émanciper, préférant galérer par mes moyens que de dépendre de personnes qui n’en ont rien à faire de moi. J’ai pris tout ce que j’avais et j’ai tracé ma route à travers le pays, n’ayant pas encore les moyens de revenir chez moi. Je vivais, et vis malheureusement encore de petit boulot que je trouve à droite à gauche, tantôt serveur, tantôt modèle pour une classe d’art ou en train de faire des heures en usine. J’ai besoin de manger, alors je ne suis guère difficile, je prends ce que je trouve, et quand il n’y a vraiment rien, je prends ma guitare et n’hésite pas à aller faire la manche dans la rue. Ce n’est pas vraiment quelque chose dont je suis fier mais quand on n’a pas le choix…
Mes pas ont fini par me porter jusqu’à Memphis où j’ai rencontré un homme qui m’a promis monts et merveilles, m’assurant qu’avec le talent que j’ai à la guitare, je ne pouvais que percer dans le monde de la musique. Je lui ai donné une partie des économies que j’avais réussi à mettre de côté, misant sur cette occasion pour avoir l’occasion de faire ce qui me plait et gagner de l’argent pour retourner auprès de ma mère. Au final, je me suis carrément fait arnaquer, je n’ai quasiment plus un sou en poche et je vis au jour le jour sans pouvoir prévoir quoi que ce soit, mais je ne perds pas l’espoir de m’en sortir, je ne baisserai pas les bras parce que ce n’est pas comme ça que j’ai été élevé et que je meurs d’envie de revoir un visage familier ou même cette ville qui m’a vu grandir.
all the single lady ton pseudo : lexis
√ âge : 24 ans
√ pays : france
√ fréquence de connexion : quasiment tous les jours
√ comment t'es arrivé ici? : par un forum mais je ne me souviens plus si c'est bazzart ou PRD... ^^
√ un commentaire? : j'ai hâte de pouvoir RP avec vous