| | | i'm following the map that leads to you (liv) |  |
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 | | Sujet: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:29 | |
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liv webster
baby we're the new romantics Nom : webster, le nom de jeune fille de sa mère qu'elle a commencé à utiliser après le divorce de ses parents. elle n'a pas pardonné à son père ce qui est arrivé il y a douze ans. √ Prénom : olivia, mais rares sont ceux qui emploient son prénom en entier. elle se fait d'ailleurs appeler liv un peu partout et se présente comme telle. √ Âge : selon sa carte d'identité, vingt-huit ans mais lorsqu'on lui pose la question, elle répond vingt-deux. elle a arrêté de compter à cet âge-là et elle est complètement terrifiée par la trentaine qui arrive. √ date et lieu de naissance : le 15/08/1986 à memphis, une date qu'elle avait l'habitude de fêter en grandes pompes jusqu'à ses seize ans, époque à laquelle la justice a rattrapé les affaires de son père. √ vos origines : françaises par elise, sa mère, originaire de bordeaux. américaines donc a priori européennes par son père, issu d'une vieille famille de memphis. √ Métier : secrétaire dans une agence immobilière, un job qu'elle a trouvé il y a un an à peu près. elle savait très bien dans quoi elle s'engageait quand elle a postulé. √ Orientation sexuelle : totalement hétérosexuelle, bien qu'elle ait découvert deux ou trois choses avec une fille, à l'époque du lycée. √ Statut matrimonial : célibataire répond-t-elle quand on lui demande mais la vérité, c'est que son cœur ne lui appartient plus depuis bien longtemps. √ côté financier : elle est née dans le luxe, elle a grandi dans un confort extrême et jusqu'à l'âge de seize ans, elle n'avait que demander quelque chose pour l'obtenir dans la demi-heure qui suivait. puis son père a eu de gros problèmes avec la justice, ses parents ont divorcé et elle s'est retrouvée à vivre dans un petit deux-pièces avec sa mère, de l'autre côté de memphis. ça lui a permis d'apprendre la vraie valeur de l'argent et le sens du mot travailler. toutefois, ça ne l'empêche pas d'avoir de grosses difficultés pour boucler les fins de mois. elle se débrouille, elle se serre la ceinture mais ça n'est pas toujours suffisant. Caractère : fière, très fière, voire même trop. avec le temps, elle a appris à mettre son orgueil de côté pour certaines choses mais l'argent, par exemple, reste un sujet sensible. ce n'est même pas la peine d'évoquer l'idée de lui en prêter, bien qu'elle en aurait bien besoin. énergique, elle ne tient pas en place. ses parents ont longtemps pensé qu'elle était hyperactive mais il s'est avéré qu'elle est déborde simplement d'énergie. elle a toujours un truc à faire, une chose ou une autre à régler et l'avantage, c'est qu'elle a rarement la flemme de s'en occuper. ouverte d'esprit, elle aimerait tout savoir sur tout. non pas pour s'en vanter ou reprendre autrui, non, pas du tout mais parce qu'elle a toujours soif d'en apprendre plus. petite, elle a ainsi voulu découvrir la musique en apprenant le piano et le violo, et le sport en pratiquant la danse et le soccer. elle aurait aimé faire du foot mais le fait que les joueurs doivent porter un casque a toujours beaucoup effrayé sa mère. toujours est-il que liv n'a que très peu de préjugés, malgré le milieu duquel elle vient. dure, un trait qu'elle a hérité de son père. il n'a jamais fait montré le moindre signe de faiblesse, même lorsque la justice l'a jeté face contre terre, il y a douze ans, et s'il y a bien une chose que liv a retenu de son paternel, c'est ça, cette dureté, ce sang-froid à toute épreuve. pourtant dieu sait combien elle aurait voulu éclater en larmes devant sa mère ou ses copines du lycée, après le divorce, mais elle s'est toujours retenue. elle a appris à ravaler ses émotions et à attendre d'être seule entre quatre murs pour ouvrir les vannes. battante, elle ne s'avoue jamais vaincue, jamais. elle a décidé, après avoir obtenu son diplôme de fin d'année au prix d'un redoublement et de beaucoup d'acharnement et d'efforts, qu'elle finirait par vivre seule et elle l'a fait. chaque mois, elle s'efforce de joindre les bouts et malgré les difficultés, elle y parvient à chaque fois. là où d'autres s'effondreraient en laissant leurs proches régler leurs soucis, liv reste droite dans ses bottes et ne détourne pas les yeux de son but. elle a trébuché plusieurs fois, elle est tombée une ou deux fois mais elle s'est toujours relevée. franche, même si ça s'est avéré n'être pas toujours une qualité. elle a toujours été très directe, avec tout le monde, ce qui lui a valu de nombreuses inimitiés, surtout au lycée, royaume de l'hypocrisie et des rumeurs. mais liv ne supporte pas les non dits, les zones d'ombres et les sous-entendus. elle voit les choses clairement et elle le dit comme elle le pense. avec le temps, elle a appris à faire preuve d'un peu de tact mais ça reste encore maladroit. souriante, parce que malgré tout ce qui a pu lui arriver, elle reste très optimiste et ne se départit jamais de son sourire. même lorsque les choses vont vraiment mal, elle sourit. ses yeux ne sont pas forcément raccords mais elle est partisane du "fake it until you feel it". ses proches savent qu'elle a plusieurs sourires : celui qu'elle réserve aux inconnus, aux étrangers, un sourire un peu gêné quand même mais qui reste poli ; le sourire discret mais rayonnant, qu'elle affiche seulement lorsqu'elle est vraiment heureuse ; le sourire froid, qu'elle offre à quelqu'un qu'elle vient de remettre à sa place, parce qu'elle reste affable en toute situation ; et le sourire de sawyer, le sourire amoureux, admiratif, le sourire tendre qui se joue au coin de sa bouche, qu'elle n'assume pas entièrement parce qu'il lui ferait trop mal aux joues. débrouillarde, il a bien fallu qu'elle apprenne à faire certaines choses par elle-même. elle est née avec une cuillère en argent dans la bouche mais la vie l'a forcée à se débrouiller par elle-même. elle a ainsi appris à faire cuire des pâtes et à laver elle-même son linge sale à dix-sept ans, âge auquel on est sensé être presque tout à fait autonome. mais elle s'en est sortie, elle a appris, elle a retenu des trucs, elle a compris toute seule des astuces et au final, elle a réalisé qu'elle était capable de se débrouiller sans personne. rancunière, elle a du mal à pardonner et à oublier une fois qu'on l'a déçue ou blessée. elle a compris avec le temps que tendre l'autre joue était le meilleur moyen de se laisser marcher sur les pieds. entêtée, voire butée, il est inutile de chercher à lui enlever une idée qu'elle s'est mise en tête. elle atteindra son but, d'une manière ou d'une autre, quitte à faire des sacrifices.√ groupe : cœur d'artichaut. the last songc'est une grande rêveuse. pas juste une fille qui s'imagine héroïne aux multiples talents, pourfendant dragons et sorcières, non une fille qui a longtemps rêvé sa vie. le retour à la réalité a été brutal et depuis, cette tendance à la rêverie s'est muée en une nostalgie chronique. sa vie d'avant lui manque terriblement et elle se prend parfois à repenser pendant des heures, des jours même. elle revoit la grande maison, la cuisinière embauchée par son père (parce que sa mère, toute française qu'elle était, était incapable de faire bouillir de l'eau sans se mettre en danger) et le jardinier, les deux femmes de ménage, aussi bavardes que compétentes. elle réentend la musique et elle peut presque sentir les touches du piano sous ses doigts. mais le piano a été vendu, comme son violon d'ailleurs, et le reste des meubles. même la maison. elle repasse régulièrement devant, comme si elle s'y attendait à voir sa mère ou son père en sortir. c'est une époque révolue mais elle y repense encore, beaucoup. √ malgré une envie évidente d'apprendre, de nombreuses heures de travail et d'excellentes méthodes, liv n'a pas pu aller à l'université. le divorce de ses parents l'a bouleversée et elle a traversé une période très difficile qui a causé son redoublement. elle aurait sans doute pu décrocher une bourse dans n'importe quelle université, même une fac de l'ivy league, mais elle ne s'est pas donnée la peine d'essayer. pourquoi ? parce que laisser sa mère pour aller étudier n'aurait pas été possible financièrement. dès leur emménagement, elle a mis la main à la pâte pour aider et mettre un peu de beurre dans les épinards, alors perdre son salaire aurait été très compliqué pour sa mère. alors elle a renoncé à la fac et à ses rêves de grandeur. elle s'était longtemps rêvée avocate, procureur ou politicienne, mais on ne fait pas ce qu'on veut dans la vie. √ malgré beaucoup de rigueur et un amour ardent de l'ordre, liv est terriblement maladroite. elle parvient à se contrôler au boulot et en public en général, mais une fois chez elle, c'est une vraie catastrophe ambulante. elle bute dans son porte-manteau chaque fois qu'elle passe devant, elle se cogne ou trébuche à peu près trente fois par jour et elle ne compte plus les verres qu'elle a déjà cassé. il arrive même qu'elle soit un peu dangereuse pour autrui, sawyer peut en témoigner, il s'en est pris des coups de coudes depuis qu'il la connaît. ceci dit, mettez-la sur une paire d'escarpins et elle n'aura aucun problème pour marcher avec assurance. √ elle est devenue très bonne cuisinière avec le temps et elle a élevé la cuisine pour trois fois rien au rang d'art. elle a toujours été plutôt ingénieuse et elle trouve toujours de bonnes idées. enfin, avant, quand elle vivait avec sa mère, il n'y avait pas de souci. maintenant qu'elle vit seule, elle a plus ou moins perdu l'envie de cuisiner. elle a perdu pas mal de poids d'ailleurs, elle qui n'était d'ailleurs pas bien épaisse, et le fait qu'elle vive à cent à l'heure n'arrange rien. elle court toute la journée, monte et descend les escaliers de neuf heures à dix-sept heures trente tous les jours, et lorsqu'elle rentre, elle a à peine le temps de prendre une douche qu'il lui faut déjà repartir pour passer la soirée avec sawyer. ce n'est bien sûr pas une obligation, c'est vrai, mais sawyer, c'est sa bouffée d'air frais. si elle est complètement vidée quand elle rentre chez elle, la simple idée de passer la soirée à ses côtés la remet d'aplomb. alors évidemment, ça ne nourrit pas, c'est vrai, et il a sans doute remarqué qu'elle a perdu du poids et qu'elle est de plus en plus fatiguée, mais ça n'est pas grave. elle est en forme, elle se nourrit de pommes et de cafés, sawyer est là, elle est heureuse. √ elle n'est pas très branchée réseaux sociaux, sans doute à cause des années qu'elle a passé à raser les murs chaque fois qu'elle sortait du petit appartement partagé avec sa mère, angoissée à l'idée d'être reconnue par d'anciennes copines de classe. pour elle, la vie privée doit rester privée et non pas exposer aux yeux du monde entier. elle a bien un compte facebook mais elle ne le consulte jamais, ou presque. à l'heure où les filles de son âge postaient leurs premières photos de soirée et stalkaient le profil de leur crush, elle pesait des pink lady et remplissait les sacs de courses des clients d'une supérette du coin. peut-être aurait-elle été accro à ce genre de trucs si son père n'avait pas été finalement confondu par la justice. mais qui sait. √ curieuse et réfléchie de nature, elle s'est posée énormément de questions à l'adolescence. sur elle, sur les autres, sur les filles, sur les garçons, sur les genres. c'est à cette époque qu'elle a fait la connaissance d'une fille qui devait devenir, par la suite, sa meilleure amie. kendall a été son premier et son dernier coup de foudre, tant amoureux qu'amical. liv a toujours eu du mal à se l'expliquer. elle ne saurait expliquer quand, exactement, elle est tombée amoureuse de sawyer parce qu'elle a souvent l'impression de l'avoir toujours connu. ces douze dernières années ont été difficiles sans lui et même s'ils étaient séparés, il est resté une constante dans sa vie. il a toujours été là. kendall est, elle, arrivée dans son existence comme un boulet de canon, comme une tuile qui tombe par hasard. pas cinq minutes plus tôt, pas cinq minutes plus tard, juste au bon moment. les deux filles se sont liées très vite. liv était une gamine désorientée et kendall savait l'effet que ça faisait, elles sont comprises immédiatement. elles se sont découvertes en apprenant à se connaître. c'est grâce à ken que liv a compris qu'elle était bien hétérosexuelle. embrasser kendall n'a pas été spécialement désagréable mais ce n'était pas exceptionnel. ça n'a jamais fait trembler ses jambes ou battre son cœur plus vite qu'à l'ordinaire. elle n'a pas détesté, elle n'a juste pas aimé. elles en ont beaucoup reparlé, notamment parce que kendall a mis plus de temps à se trouver, mais ça n'a jamais été bizarre ou gênant. √ elle est tétanisée à l'idée de tomber enceinte, surtout depuis qu'elle a retrouvé sawyer. ce n'est pas le moment, que ce soit professionnellement, financièrement ou sentimentalement. elle ne pourrait pas assumer les dépenses qu'engendreraient pareil événement et si elle sait que sawyer l'épaulerait, elle est consciente que ce serait pour lui l'excuse parfaite pour la forcer à accepter son soutien financier. d'aucuns diraient qu'elle est complètement paranoïaque et c'est vrai qu'il y a un peu de ça, mais elle prend religieusement sa pilule, à heure fixe, tous les jours et ne manque aucun de ses rendez-vous médicaux. c'est une obsession, d'éviter un accident. elle aime sawyer, elle l'aime de tout son cœur, toutes ses forces mais elle tient trop à son indépendance. et qui dit qu'elle saurait s'occuper d'un enfant ? sa mère a fait du très bon travail avec elle mais liv n'a pas tellement la fibre maternelle. s'imaginer avec des enfants n'est pas exactement un rêve pour elle et rien que l'idée de se voir entretenir par sawyer la fait frissonner. alors oui, elle ne manque jamais l'heure pour prendre sa pilule, quitte à se montrer impolie envers ses proches et à se lever de table ou à écourter une conversation pour s'occuper de ça. √ la déconvenue de sa famille a définitivement mis un terme à ses habitudes de jeune fille coquette. pendant un long moment, elle a dû arrêter d'aller chez le coiffeur et elle a dû dire au revoir à une bonne partie de sa garde-robe. avec le recul qu'elle a aujourd'hui, elle sait à quel point c'était futile mais à l'époque, ça a été très difficile. c'est le changement qui l'a le plus marquée, lorsqu'elle y pense. pas la maison, pas son père, non, ses petites manières de fashionista. la transition a été ô combien compliqué mais elle s'est muée en vraie chercheuse de trésors, à force de fouiner dans les friperies. elle a arrêté de porter du dior mais elle a appris à apprécier les petites pièces et les vieux trucs. √ elle a une culture musicale très vaste et elle est toujours à l'affût de nouveaux morceaux à écouter. la radio a longtemps été sa meilleure amie avant que sa mère ne lui offre un ipod qu'elle a depuis rempli de tout ce qui l'a un jour fait vibrer. all the single ladyton pseudo : julia. √ âge : dix-huit ans. √ pays : france. √ fréquence de connexion : tous les jours, voire tous les deux jours en cas d'emploi du temps lourd, d'une masse de travail importante ou whatever. √ comment t'es arrivé ici? : j'ai vu un post à propos de ce scénario sur je suis rpgiste et j'assume v2 alors que je m'apprêtais à poster ma propre annonce. √ un commentaire? :  |
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| story of my life
Étrangement, Liv ne gardait du jour de l'arrestation de son père qu'un souvenir très vague, seulement des détails. Le cliquetis des menottes qu'on referme sur les poignets de son père, sa voix calme et mesuré alors qu'il rassure sa mère, le trop-plein d'uniformes dans son champ de vision. Des détails. « Liv, chérie, ta tarte est en train de brûler ! » La voix de sa mère la ramena brusquement à la réalité, lui arrachant un sursaut et un cri bref. Posant une main sur son cœur qui battait la chamade, elle ferma les yeux. Elle devait arrêter de penser à ce jour-là, il appartenait au passé, comme son père, leur maison et tout cet argent dont ils avaient profité durant des années sans savoir qu'il provenait d'un commerce aussi abject que mortel. Difficile, toutefois, d'effacer cette partie de sa vie de sa mémoire, c'était tout ce qu'elle avait connu jusqu'à ses seize ans. Et cette terrible journée qui avait vu la vérité éclater au grand jour sur son père resterait probablement gravée dans son esprit jusqu'à la fin de ses jours. Mais il ne fallait pas, non il ne fallait pas y repenser. Elle devait tourner la page. L'époque où elles menaient la grande vie, sa mère et elle, était révolue. Liv le savait et elle s'appliquait chaque jour, depuis plus de dix ans à l'accepter. Elle se répétait, encore et encore, qu'il était inutile de ressasser le passé. Aujourd'hui si elle n'avait pas pu s'empêcher de replonger dans ses souvenirs, c'était pour une raison toute particulière. Elle devait encore l'annoncer à sa mère mais comme toute grande nouvelle dont on doute du bien fondé, les mots lui faisaient défaut. « Olivia, bon sang ! Je pensais que tu l'aurais sortie du four ! » s'exclama sa mère en pénétrant dans la minuscule cuisine de l'appartement qu'elles partageaient. Elle extirpa la tarte du four en toussant. « Oui, pardon » murmura Liv, distraite. Elle évita soigneusement de regarder sa mère qui s'affairait dans la pièce, refermant les placards d'un coup de hanche après avoir déniché ce qu'elle cherchait, un torchon sur l'épaule. Quelques années en arrière, elle aurait été bien incapable de trouver quoi que ce soit dans la grande cuisine de leur villa mais elle aussi, elle s'était adaptée. « Allez, vide ton sac » dit-elle alors que Liv avait finalement trouvé le courage de lui jeter un coup d’œil. « Mh ? » « Liv, crois-moi, je te connais, je t'ai faite, souviens-toi » reprit-elle lorsque la jeune femme tenta de feindre l'innocence. Son instinct maternel avait toujours été redoutable, Liv aurait dû se douter qu'elle ne pourrait pas lui cacher quoi que ce soit bien longtemps. Elle le savait déjà d'ailleurs, sa mère flairait tout, du moindre boniment innocent au gros mensonge lourd de conséquences. Elle savait que quelque chose était arrivé avant même que Liv n'ait eu à ouvrir la bouche et si c'était généralement réconfortant, c'était ici particulièrement agaçant. La petite brune aurait aimé avoir un peu plus de temps pour se préparer, pour trouver ses mots.
La détresse mais surtout le silence de sa fille alarmèrent immédiatement Elise Webster. « Liv, tu as des ennuis ? Tu peux m'en parler tu sais » tenta-t-elle dans l'idée de la rassurer. Un sourire furtif passa sur le visage de la jeune femme. Elle avait encore l'impression d'être une gamine de douze ans quand on lui parlait comme ça. Elle n'était toutefois plus une môme et il n'était pas question d'une bête dispute entre camarades de classe. « Non, non... ne t'inquiète pas » Incapable d'en dire plus, elle tendit à sa mère une enveloppe qui avait jusque-là pesé très lourd dans la poche arrière de son jean. La gorge serrée, le cœur cognant contre sa cage thoracique, elle eut l'impression que le temps s'était arrêté en regardant sa mère, sa chère et tendre maman, parcourir la lettre. Lorsqu'elle écarquilla, Liv se mordit la lèvre inférieure. C'était le moment qu'elle avait redouté depuis qu'elle était allée au courrier un peu plus tôt dans la journée. Elle savait que ça allait arriver, c'était inévitable. « Caldwell... je me souviens de ce nom, fit Elise, se redressant, et je ne vais pas mentir, je suis un peu, disons blessée que tu ne m'en aies pas parlé avant. Tu me mets devant le fait accompli, Livvie, et je n'aime pas ça, tu le sais » Elle en était tout à fait consciente, oui, et elle avait volontairement agi dans le dos de sa mère parce qu'elle savait très bien ce qu'elle en dirait. « Non, chérie, laisse-moi finir, demanda sa mère lorsqu'elle ouvrit la bouche pour expliquer ce choix délibéré de ne rien dire, c'est ta vie, tu es adulte ma chérie, et il est de mon devoir de te soutenir, que je pense que tu fasses une erreur ou pas » Ce n'était pas exactement ce que Liv s'était attendue à entendre mais ce n'était pas non plus les mots qu'elle aurait voulu voir sortir de la bouche de sa mère. C'était un début. Sans doute devait-elle s'estimer heureuse. Avec les années, elle avait appris à se contenter de peu et ce soutien-là ferait l'affaire. « Quand commences-tu ? » Pas assez tôt, eut envie de répondre Liv mais ce n’était pas le moment de faire preuve d’impatience. Sa mère imaginerait qu’elle n’avait pas assez réfléchi avant de postuler pour ce job. Mais elle avait été prise après tout. « La semaine prochaine » répondit-elle, aussi calme que possible. Intérieurement, elle bouillonnait. Cette annonce, dans le journal, avait complètement bouleversé ses plans. Liv avait bien sûr immédiatement reconnu le nom de la firme et son coeur avait raté un battement. Jusqu’au dernier moment, elle avait espéré être prise sans se faire trop de films. Elle était d’ordinaire de ces filles qui attendent le meilleur sans imaginer pouvoir être déçues mais elle avait été prudente cette fois. L’envie de revoir Sawyer, envie qu’elle avait enfoui au fond de son coeur durant des années, ne s’était faite que plus forte mais elle avait gardé en tête qu’il y avait d’énormes risques que cette envie ne soit jamais réalisable. Cette fois pourtant, elle allait pouvoir réaliser ce doux rêve qui avait habité ses nuits durant des années. Elle avait encore du mal à y croire mais c’était bel et bien sur le point d’arriver.
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Malgré les heures passées dans son dressing tout au long de la semaine passée et les multiples vidéos regardées sur Youtube au cours de ses recherches, Liv n’était toujours pas convaincue d’être vraiment présentable. Elle avait opté pour une jolie robe achetée l’année dernière, dans l’une de ses friperies préférées, sur les bons conseils de Kendall. C’était la pièce parfaite : une taille haute qui mettait en valeur sa taille de guêpe et un jupon évasé qui ne dévoilait rien d’indécent, une couleur vive mais pas agressive, bref ça avait longtemps été la robe de ses rêves mais elle regrettait soudainement de l’avoir mise. Et si ses collègues trouvaient ça trop osé ? Sans parler de Sawyer. C’était son patron, bon sang. « Secouez-vous mon p’tit, lança une femme d’une cinquantaine d’années dont elle ne connaissait que trop bien le visage, mon fils ne va tout de même pas aller chercher son café lui-même ! » Évidemment pas, non. Malgré des années passées à prendre les commandes des uns et des autres dans les cafés et autres fast-foods dans lesquels elle avait pu travailler, Liv ne s’était naïvement pas préparée au fait qu’elle allait devoir s’occuper de Sawyer. Pas comme une fille s’occupe du garçon dont elle est amoureuse, non, comme une employée s’occupe de son patron. Comment était-elle sensée faire ?
Se sentant nauséeuse, elle parvint malgré tout à se lever et gagna la cuisine des employés, bien plus grande que l’appartement qu’elle occupait avec sa mère. Ses mains tremblaient mais elle réussit à faire fonctionner la machine à café dernier cri qui coûtait probablement plus cher que sa vieille voiture. C’était là des considérations qui lui passaient bien au-dessus de la tête à l’époque où Sawyer l’avait connue et elle réalisait soudain qu’elle avait peut-être bien agi sur un coup de tête, comme l’avait insinué sa mère. Elle avait disparu, onze ans plus tôt et Dieu seul savait ce qu’il savait des causes de son départ. Comment diable pourrait-il réagir en la voyant lui apporter son café ? Il allait la mettre dehors à coup sûr et il aurait raison. Quel genre d’amie, de petite-amie, abandonne l’un des êtres les plus chers à ses yeux sans rien dire ?
Le coeur au bord des lèvres, elle frappa faiblement à la porte de son bureau, caressant du regard son nom, gravé en lettres dorées sur le bois. « Bonjour monsieur Caldwell, articula-t-elle avec plus de calme qu’elle n’en se serait cru capable, je vous apporte votre café » Il se redressa et lorsque leurs regards se croisèrent, Liv sentit son estomac glisser jusque dans ses escarpins bon marché. Elle frissonna, sentant plus qu’elle ne le vit son regard perçant la parcourir. « Livvie... » murmura-t-il. Pas Olivia, pas Liv, non, son surnom. Sans qu’elle ait jamais très bien compris, Sawyer était l’une des rares personnes à avoir continuer à l’appeler comme ça passé douze ans. Même sa mère avait progressivement arrêté, conservant ce surnom pour leurs rares moments de tendresse. « Salut Sawyer » répondit-elle, un sourire au coin des lèvres. Il ne la jetterait pas dehors, bien sûr que non. Au fond, elle le savait très bien mais elle n’avait pas pu s’empêcher d’imaginer qu’il lui en voudrait, peut-être parce qu’elle avait du mal à se pardonner de n’avoir pas eu le courage de lui faire signe plus tôt.
Bientôt, ses bras l’encerclèrent et il lui coupa presque le souffle tant il la serrait fort. Plus heureuse qu’elle n’aurait su le dire, Liv éclata de rire. Le noeud, dans son ventre, avait disparu en un instant, alors qu’elle acceptait sans résister l’étreinte de son vieil ami. « Attention ! Ton café ! » fit-elle finalement, sentant ses bras trembler à nouveau. Lorsqu’ils étaient adolescents, il avait le don de la faire vibrer au point qu’elle n’en contrôlait plus ses mouvements et ça, Liv l’avait presque oublié. Elle n’avait pas vraiment eu le loisir de se remémorer ses premières amours et elle avait de toute manière repoussé la seule idée de penser à lui chaque fois que l’envie lui était venue. Mais force était d’admettre que Sawyer avait toujours le même pouvoir sur elle. « Tu ne voudrais pas tâcher la moquette de ton employeur » dit-il après lui avoir pris la tasse qu’elle avait tant de mal à tenir. Ils éclatèrent de rire de concert, comme autrefois lorsqu’il leur suffisait d’un regard pour comprendre une mauvaise blague. Elle en aurait presque eu les larmes aux yeux tant elle était heureuse de voir qu’ils étaient toujours aussi complices. « Ça me fait plaisir de te revoir » Liv laissa fleurir le sourire qu’elle avait jusque-là tenté de réprimer. Son coeur n’allait pas tarder à exploser s’il continuait à battre si fort. Mais toutes les bonnes ont eu une fin et elle le savait mieux que quiconque. « Qu’est-ce que tu es devenue ? demanda naturellement Sawyer. Tu as disparu du jour au lendemain. Ma mère m’a dit que vous étiez partis en Europe ou je ne sais pas quoi » Oh si seulement il savait, oui, s’il savait, il ne se montrerait probablement pas aussi insistant. Peut-être même ne lui adresserait-il même pas la parole. En un clin d’oeil, le visage de la jeune femme s’assombrit. Ce n’était pas une bonne idée, vraiment pas. Pourquoi diable avait-elle cru qu’il serait bon pour elle de revenir dans sa vie ? Quand il apprendrait ce qui lui était arrivé, elle lirait le dégoût dans son regard. D’ailleurs, ça ne lui semblait pas étrange qu’elle soit sa secrétaire ? Il ne s’était pas dit une seule seconde qu’il y avait quelque chose de louche ? La fille qu’il avait connu ne se serait jamais abaissé à postuler pour un job pareil. « Qu’est-ce qu’il y a ? » s’enquit le jeune homme, ayant probablement senti que quelque chose n’allait pas. Liv secoua la tête, les lèvres frémissantes. Elle ne devait rien dire, elle ne pouvait rien dire. « Je… je vais retourner à mon bureau » finit-elle par dire avec grand mal. Avant qu’elle ait eu la chance d’atteindre la porte, Sawyer l’avait rattrapée. Sa peau, sous la poigne de ses doigts, picotait. Focus Liv, focus. Elle ne pouvait pas se laisser aller à ce genre de sensations. « Non ! s’exclama son ami d’enfance, impérieux. Parlons ce soir. On a tellement de choses à rattraper. Accompagne moi au gala » Le gala ? Oh. Oui, elle en avait vaguement entendu parler en arrivant. Dans l'ascenseur, deux types qui se donnaient l’air important avaient discuté durant tout leur trajet de cette merveilleuse opportunité qui s’offrait à eux, la soirée parfaite pour serrer, avaient-ils dit. Liv avait retenu un haut-le-cœur dégoûté devant tant de vulgarité, d’autant plus qu’ils lui avaient tout deux souri à sa sortie. C’était ce gala-là à n’en pas douter. Mais elle ne pouvait pas y aller… n’est-ce pas ? Si, si tu peux, hurlait une petite voix qu’elle soupçonnait d’être la plus mauvaise partie d’elle-même, la plus faible aussi. Après tout, que risquait-elle ? Peut-être rencontrerait-elle quelques visages connus mais les gens n’oseraient pas poser de question. Bien sûr, tout Memphis avait suivi avec passion l’affaire et le procès de son père mais les gens les avaient vite oubliées, sa mère et elle, alors elle n’avait aucune crainte à avoir… n’est-ce pas ? Doucement, presque à contrecœur, Liv hocha la tête, acceptant ainsi la proposition de son vieil ami. « Je t’envoie mon chauffeur à dix huit heures » lança alors Sawyer, visiblement heureux. Son coeur, ce traître, reprit de plus belle contre ses côtes, lui faisant presque mal. Ses joues aussi étaient douloureuses, la faute à ce maudit sourire qu’elle avait laissé grandir, mais il y avait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie aussi bien, aussi heureuse malgré la panique. Et Dieu quelle panique ! Qu’allait-elle donc bien pouvoir porter ce soir ?
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« Quelle sale tête ! Il te laisse pas dormir, ton minet des beaux quartiers ? » ricana Kendall tandis que Liv prenait place à leur table, sur la terrasse du petit café où elles avaient pris l’habitude de se retrouver pour déjeuner depuis que la petite brune travaillait pour Sawyer. Elle ne répondit pas, préférant ne pas relever l’insinuation, et se plongea dans la contemplation du menu qu’elle connaissait pourtant par coeur. « Tu as décidé de faire la gueule ? D’accord, d’accord. Je vais donc en déduire qu’il ne te comble pas. Et moi qui croyais que ta vie sexuelle s’épanouissait enfin. Tu veux que je lui apprenne à se servir de sa langue ? » Du coin de l’oeil, Liv apercevait le sourire espiègle de sa meilleure amie et elle se sentait elle-même cédé à l’hilarité. « Ken ! » s’écria-t-elle lorsque celle-ci commença à poser des questions un peu trop intimes à son goût. Elles avaient partagé certaines choses, certes, mais Liv considérait cet aspect-là de son existence comme totalement privé. La seule personne que ça regardait était son partenaire et, en l’occurrence, il s’agissait de Sawyer. « Quoi ? Excuse-moi de m’inquièter ! répliqua la jeune femme, feignant d’être offensée. Plus sérieusement, qu’est-ce qu’il y a ? Tu as l’air ailleurs ? Vous vous êtes disputés ? » Depuis que Liv était retombée dans les bras de son premier amour, Kendall s’était révélée être d’un soutien précieux. Jusque-là, elle avait toujours refusé d’apprendre à connaître les garçons que Liv avait pu fréquenté mais elle s’était montrée plus qu’optimiste et enthousiaste lorsqu’elle avait appris que ce qui se passait avec Sawyer. « Tout va bien » éluda Liv, évitant soigneusement de croiser le regard de Kendall. Ce n’était pas chose aisée parce qu’elles se connaissaient, l’une et l’autre, par coeur. « A d’autres Olivia ! rigola Kendall, imitant à la perfection la mère de Liv. Ca va bientôt faire un an que je te retrouve ici le midi, trois fois par semaines et chaque fois tu as quelque chose à me raconter. Soit Sawyer a été encore incroyablement romantique, soit il s’est montré incroyablement stupide — elle insista lourdement sur ce mot-ci comme pour montrer à quel point elle n’était pas d’accord — en te proposant, je sais pas moi, de t’emmener en week-end à Paris ou de t’acheter une robe de chez Elie Saab pour la Saint-Valentin, et oui ne fais pas cette tête, je sais qui est Elie Saab, j’ai vu ta chambre ! » Elle pointa sur Liv un index accusateur avec un air presque dingue, comme chaque fois qu’elle partait dans l’une de ses grandes tirades qui pouvaient durer des heures. « Sérieusement, ce mec est une perle et d’après ce que j’en sais, il est sacrément amoureux de toi. Et je parie que comme d’habitude, tu te dis qu’il se mêle de ce qui ne le regarde pas, et patati et patata… ah ! Tu vois ! J’ai raison ! » cria-t-elle presque lorsque Liv leva les yeux au ciel, ce qui attira l’attention des quelques autres clients. Agacée, Liv se redressa et lui jeta un regard peu amène. « Je sais très bien ce que tu es en train d’insinuer, articula-t-elle avec hauteur, seulement Sawyer ne sait pas tout et il… il me prend déjà en pitié. Je n’imagine même pas ce qu’il ferait s’il savait dans quelles conditions vit ma mère. Ou même moi. Tu ne comprends pas » Ce n’était pas tout à fait vrai mais quand il s’agissait de Sawyer, Liv ne réfléchissait pas tout à fait rationnellement. « Liv, ce mec, il... il peut te sortir de ton trou ! » « Je n’ai pas besoin de lui ! » Le ton était sec, tranchant et Liv le regretta aussitôt. Fermant les yeux, elle s’appliqua à respirer profondément. Face à elle, Kendall restait silencieuse. « Je ne veux pas de son aide, je n’ai pas besoin de lui, répéta Liv, une fois qu’elle fut certaine qu’elle pouvait parler calmement, et il ne comprend pas. Je ne veux pas de son aide. Je m’en suis sortie jusque-là, je peux continuer » Peu importait qu’il lui faille se serrer la ceinture, c’était là le prix de son indépendance. Elle avait déjà dû se battre pour quitter le petit appartement qu’elle avait longtemps partagé avec sa mère alors il était hors de question de laisser Sawyer lui prêter de l’argent, aussi adorable était-il avec elle. Elle l’aimait, oui, même si elle refusait encore de le lui dire ou même de l’avouer à Kendall, mais ça ne voulait pas dire pour autant qu’elle comptait le laisser l’emprisonner. Oh non.
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| | | | Embry Sheeranfondateur + love the way you lie ≡ messages : 4823
≡ arrivée : 02/12/2014
≡ célébrité : michiel huisman.
| | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:30 | |
| Il à de la chance  Bienvenue sur CCL. |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:36 | |
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| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:40 | |
| Merci beaucoup à vous deux  |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:44 | |
| Ce scénario, le duo et puis ton titre.  Bienvenue parmi nous et n'hésites pas si tu as des questions. |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 22:49 | |
| Très bon choix de scénario Bienvenue parmi nous avec la belle Leighton  |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Ven 2 Jan - 23:31 | |
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| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 2:16 | |
|  J'aime déjà beaucoup ce que tu as écrit, tu as une très belle plume. Et le prénom ahhh j'adore. Par contre, peut-être j'ai pas bien expliqué ce passage dans le scénario mais Liv n'est pas partie vivre en France après la chute de sa famille. C'est assez important qu'elle soit restée à Memphis, se cachant un peu pour éviter d'être la risée de la ville. Tu aurais aimé discuter de ce détail? |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 9:52 | |
| J'adore le duo, qui ne les a pas aimé en même temps BIENVENUE  |
| | | | Chloe Sheeranadmin + Offer me that deathless death ≡ messages : 2178
≡ arrivée : 09/12/2014
≡ célébrité : nina dobrev
| | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 10:32 | |
| bienvenue ma belle |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 10:36 | |
| Bienvenue sur le forum |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 11:24 | |
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| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 11:38 | |
| Oh mais oui c'est moi, maintenant que je vois ton pseudo, j'atterris, ça me fait trop plaisir de te voir ici. |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 14:48 | |
| - Sawyer Caldwell a écrit:
J'aime déjà beaucoup ce que tu as écrit, tu as une très belle plume. Et le prénom ahhh j'adore. Par contre, peut-être j'ai pas bien expliqué ce passage dans le scénario mais Liv n'est pas partie vivre en France après la chute de sa famille. C'est assez important qu'elle soit restée à Memphis, se cachant un peu pour éviter d'être la risée de la ville. Tu aurais aimé discuter de ce détail?
Je t'avoue que j'étais pas certaine d'avoir bien compris, j'ai encore du mal à me remettre de Nouvel An et j'avais pas spécialement les yeux en face des trous  je savais pas vraiment du coup, malgré plusieurs lectures du scénario et de ta fiche. Personnellement, ça ne me dérange pas et je trouve même que ça peut être plus intéressant pour le développement et le caractère de Liv, donc ça me va parfaitement j'ai hâte que tu lises la suite, parce que j'ai eu plein, plein d'idées et l'inspiration m'est tombée sur le coin de la gueule (mais je bossais ce matin, haha). BREF, je m'y mets vite, vite, vite, et merci beaucoup pour les jolis compliments  hésites pas à me dire si quelque chose d'autre ne va pas ! - Josh Ackerman a écrit:
je ne sais pas si j'ai le droit de parler ici maaais Julia... JULIA ? 
on craque décidément pour les mêmes forums  (si c'est bien toi et que je ne fais pas de boulettes  ) ici Mina BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE en tout cas et quel bon choix  ça me fait penser à notre premier duo   MINAAAAAA BABY  hiiiii, c'est cool qu'on se retrouve là ! Il nous faudra un lien, et gosh, oui, babiiiiiies - Silley Grimaldi a écrit:
- Oh mais oui c'est moi, maintenant que je vois ton pseudo, j'atterris, ça me fait trop plaisir de te voir ici.
Il me semblait bien que je me trompais pas, j'ai une très bonne mémoire en ce qui concerne les pseudos et les prénoms c'est cool en tout cas et ce forum est tout mignon, bravo pour le boulot ! MERCI A TOUT LE MONDE, c'est adorable de prendre le temps de poster un bienvenue (ça se fait de moins en moins je trouve), alors merci tout plein |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 18:36 | |
| Bienvenue Liv Excellent choix de prénom, bonne chance à toi pour le rôle |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 19:08 | |
| Je comprends que trop bien l'engouement pour ce scénario, le ship est de la tuerie et puis la relation entre les deux personnages, elle est top comment leighton est crow belle.Bienvenue sur le forum, mademoiselle, bon courage pour la suite parce que ça avance plutôt bien - on sent là tout l'inspiration induite par un scénario qui nous convient - et puis au plaisir de te lire et de dévorer l'histoire comme il en a été de ce que t'a déjà rédigé |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 21:01 | |
| ce scéna, cet avatar, ce titre je suis déjà fan de toi :red: bienvenue parmi nous |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Sam 3 Jan - 21:05 | |
| Oh merci, vous êtes vraiment gentils  je me sens rougir comme une gourde et je vous parle même pas de mon sourire à la lecture de vos compliments, parce qu'ils ont vraiment ravi la gourdasse que je suis merci beaucoup ! Inutile de dire que tout ça n'est pas pour relâcher la pression enfin bon, bref, je repars à ma fiiiiche. Merci encore à vous trois |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Dim 4 Jan - 15:13 | |
| Bienvenue parmi nous ! Le duo de folie, le scénario, le début de ta fiche, j'adhère ! |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Dim 4 Jan - 15:58 | |
| Merci beaucoup et en tant que grande amoureuse de crackships, je ne peux qu'admirer ta signature, ces gifs sont très beaux, très bien faits  |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Dim 4 Jan - 17:21 | |
| ce titre = ma chanson préférée toi = ma leighton préférée  bienvenue ici |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Dim 4 Jan - 18:55 | |
| Comme c'est gentil merci beaucoup ! |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Lun 5 Jan - 19:59 | |
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| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) Lun 5 Jan - 20:00 | |
| Merci beaucouuuup |
| | | | | | Sujet: Re: i'm following the map that leads to you (liv) | |
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| | | | | | i'm following the map that leads to you (liv) | |
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(enfin je crois haha, tu es bien Daenerys sur TMA ?)