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| asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. | |
| Asbjorn Maxwell+ i spend my all life hiding my heart away ≡ messages : 226 ≡ arrivée : 08/04/2015 ≡ célébrité : Colton Haynes
| Sujet: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Mer 8 Avr - 22:46 | |
| AsbjornMaxwell
Haaaave you met Ash? Nom : Maxwell. √ Prénom : Asbjorn Maynard. √ Âge : 26 ans. √ date et lieu de naissance : 13 juillet 1988, Memphis. √ vos origines : Américaines, petit bout d'Irlande, quelques part vers le grand-père paternel. √ Métier : mécanicien. √ Orientation sexuelle : plus qu'hétérosexuel. √ Statut matrimonial : célibataire non-disponible, célibataire épris. √ côté financier : bénis les bons pour les pizzas surgelées gratuites pour une achetée. Caractère : fonceur, travailleur, plus tendre qu'il ne le prétend, obstiné, dur à cuire, susceptible.... √ groupe : coeur de pierre. the last song« Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais... » Skins Asbjorn s'est toujours posé énormément de questions. Des questions lui ayant provoqué une conscience précoce de l'univers qui l'entourait. Aussi propre à sa génération, il a eu tendance à visualiser le monde comme perdu d'avance, un peu fataliste bien que subsiste un maigre bout d'espoir. Il a toujours eu la sensation d'être seul dans son cas, même si la vie lui a prouvé que non, il garde cet étrange sentiment d'être le seul à s'arrêter parfois en se disant « Pourquoi ? » « Comment ? »... Ce trait de caractère est parfois positive mais la plupart du temps lui pourrit la vie plus qu'autrechose. "Je crois en la mort, la destruction, le chaos et la cupidité. » American History X Découlant de cela, Asbjorn a eu tendance pendant longtemps à être fataliste, à ne se bouger le cul que pour lui-même, intimement persuadé que l'univers était pourri, que les gens avaient tous un mauvais fond. Oui, même lui, ce goût pour la destruction, et l’autodestruction avant tout. Asbjorn a peu d'espoir en des choses comme l'amour, la confiance, l'amitié. Sauf avec Hazel où il a réussi à s'illusionner un peu. Illusion vite brisée car lui-même, dans sa peur de l'engagement, a su gâcher sa propre vie inconsciemment. Il a clairement fait partie de ce sentiment « No futur » se dégageant chez la plupart des adolescent, déclamant à qui voulait l'entendre son grand discours sur la pourriture stagnante à l'intérieur de chaque être humain. Lui le premier. « Nous avons tous des moments de profond désespoir, mais lorsque l’on décide d’affronter le problème, on en ressort plus fort. » (Desperate Housewives) Asbjorn est un fonceur et bosseur. S'il sait que le monde et la vie tournent parfois un peu mal, il reste persuadé que notre vie n'est dirigée que par nous même, que c'est à nous d'en faire quelque chose de positif. Très tôt il a eu un job d'étudiant, quitte à nettoyer des voitures toute la journée, il s'est toujours débrouillé pour ne jamais crever de faim mais également pour subvenir aux besoins de sa famille, sa mère n'aidant plus vraiment, ayant sombré dans la dépression et l'alcoolisme suite au décès de son mari d'un cancer. Asbjorn est né dans une famille nombreuse de 5 enfants dont il est le membre du milieu. Mais très tôt, il a un peu pris la place du père étant donné que les autres n'étaient pas dans la même optique de débrouillardise que lui. Asbjorn, aussi blasé soit-il, garde cette grande qualité telle que le courage qui lui a permis de ne jamais devoir finir à la rue. « Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m’est arrivé. Mais c’est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde. Parfois j’ai l’impression qu’elle me submerge, de partout en même temps, mais c’en est trop. Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n’est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez. » ( American Beauty ) Si l'horreur de l'univers lui a très tôt fleuri devant les yeux, Asbjorn a une capacité folle d'y déceler le bon aussi. Cela fait de lui quelqu'un de ni optimiste, ni pessimiste, mais de conscient avant tout. Il serait du genre à s'arrêter parfois juste pour regarder l'horizon, juste parce que le ciel est particulièrement beau ce soir, conscient de la nature éphemère de l'instant. Il est ainsi un peu contre les réseaux sociaux mal gérés. Il préfère boire un verre avec des amis plutôt que communiquer de chez lui. Il aime sortir, respirer, n'a pas peur d'être seul mais aime la compagnie. « J’aurais jamais cru qu’on pouvait se faire du mal en s’aimant trop. Mais peut être que si. » (Gossip Girl) Hazel est l'amour de sa vie. S'il devait limiter son existence à une seule personne, ce serait à elle. Il l'a rencontrée lors de ses études, elle le porte, le supporte, le maintient en vie. Jusqu'à ce qu'il finisse par commettre la plus grosse erreur de sa vie, il la trompe un soir où il est trop déchiré. Et c'est là que tout bascule. Mais aussi : Asbjorn est dépendant à la cigarette, il a su finir par être quitte de la drogue pendant ces 6 derniers mois. Il est mécanicien dans le garage de son oncle qui l'accueille en attendant qu'il puisse avoir son propre garage. Il adore jouer de la guitare, se noierait dans la musique. Il a besoin du contact humain pour vivre. Il ne se supporte que peu, et encore moins depuis qu'il a provoqué la fin de sa relation avec Hazel. Pourtant il sait toujours séduire, et attirer le regard. all the single ladyton pseudo : fing3rprints. √ âge : 23 ans. √ pays : belgique. √ fréquence de connexion : variable selon les cours. √ comment t'es arrivé ici? : on cherchait un endroit où amener notre super couple avec Hazel, celui-ci a été un coup de coeur commun. √ un commentaire? : amour sur vous. |
| | | Asbjorn Maxwell+ i spend my all life hiding my heart away ≡ messages : 226 ≡ arrivée : 08/04/2015 ≡ célébrité : Colton Haynes
| Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Mer 8 Avr - 22:46 | |
| story of my life Ma vie a peut-être le goût d'un vieux rock. Celui dont les désaccords sonnent bien, celui où les fausses notes deviennent chefs d'oeuvres, celui qui pue la clope, la poussière et le cambouis. Oui, définitivement, si je devais expliquer ma vie, je commencerai par parler de ce goût-là. Le goût métallisé d'une blessure qu'on n'a pu que désinfecter avec de la salive, ce côté brute de décoffrage. Ca résonne dans la tête comme une évidence, le père qui, mécanicien, répare les vieilles automobiles devant la maison, les vieilles motos qui ronronnent sous la chaleur insupportable à l'odeur de sueur mêlée savamment à celle de la bière à bas prix, achetée en pack multiples au magasin discount du coin. J'aurais pas voulu d'un palace. J'aurais pas voulu d'une maison toute lisse où on a peur de rentrer dedans parce que l'air qu'on évacuerait risquerait de déposer de la poussière sur un meuble, une oeuvre d'art sans sens, coutant une fortune. Puis les piscines, ces piscines où l'on se baigne à peine parce que de toute façon, on part ailleurs dans le monde la moitié de l'année. Mon monde à moi pue l'essence. On y vit maladroitement, les fins de mois sont dures, on s'y prend des claques si on fait une connerie, et quand on tombe, ça fait vraiment mal. Je ne regrette pas mon enfance bien que j'en parle peu. En réalité, j'en parle peu parce que les rares fois où je l'ai fait, on m'a regardé soit avec un regard de pitié que je ne peux plus supporter, soit avec le regard de celui ou celle qui a l'impression que tu t’apitoies sur ton sort. Mon enfance est remplie de débris de verre, de parents qui s'hurlent dessus et de nous 5, leurs enfants, trouvant chacun moyen de nous réfugier quelque part pendant que les assiettes volaient, que les insultes fusaient et que l'amour se faisait plus vache que tendre. J'aidais mon père dans son travail, si bien que j'appris bien tôt les plaisirs de la mécanique. Et malgré ses fêlures, j'entretenais avec mon paternel une relation privilégiée. Silencieuse mais privilégiée. La vie n'était pas évidente tous les jours, entre les fins de mois difficiles, les relations bancales, la difficulté de communiquer entre nous. Mais dans les coups durs, nous savions tous prendre sur nous et avancer avant tout. Très tôt je ne posais des questions sur les relations humaines, j'étais un cancre à l'école mais je devais pourtant être le plus intelligent de tous ces petits fils de bourges, les culs bordés de nouille. Je me demandais ce qu'était réellement l'amour quand j'entendais mon père rentrer de chez « une de ses putes » comme ma mère aimait tant le répéter. Je me demandais comment cela continuait, comment tous les matins ils pouvaient encore se réveiller l'un à côté de l'autre alors que tous les soirs, ou presque, on avait cette sensation que leur affection se brisait. En réalité, j'étais tellement habitué que cela ne m'avait pas encore effleuré l'esprit jusqu'à ce qu'entende un commentaire d'un petit con de voisin que j'avais fini par tabasser de colère devant son jugement envers mes deux parents que je chérissais malgré tout. Je m'étais pris la branlée du siècle suite à cet incident, et les traces de ceinture avaient cette fois pris plusieurs semaines à disparaître. Mais ça valait la peine. Mon honneur était sauf. Mon père était un connard, c'était sûr, il n'était pas très bien jugé, mais après le temps passé avec lui, à écouter ses conseils, j'ai quand même réussi à devenir un homme. Un bon, je n'en sais rien, mais une homme au moins. Et je crois que ces marques sur mon cul me manquèrent, plus tard, quand plus personne ne fut là pour me punir de mes immenses conneries.
Taylor Maynard Maxwell est mort d'un cancer des poumons alors que j'avais 12 ans.
On aurait pu croire que cela me dissuaderait de fumer comme un pompier, comme lui l'avait fait, mais ce fut au contraire ce qui me poussa à consommer ma première cigarette. Peut-être que je comprenais tellement rien à ce que je foutais là, à tenter de sauver des gens sans y arriver, à tenter de défendre des relations vouées à l'échec, à tenter de croire que l'univers n'est pas qu'une merde. Mon père est mort, et cela restera la pire blessure qu'il aurait plus m'infliger. Alors j'ai commencé à fumer. Cigarette puis joint. Et plus tard, j'ai commencé à boire aussi. Bière puis alcool. Et alors que je suivais un cours sur deux à l'école, je m'exerçais aussi à devenir le pire connard de l'histoire. Vous connaissez tous ce genre d'environnement... Entre les BCBG, les petits intellos, les personnes qui passent inaperçues... Je faisais plutôt partie de ce côté « rebelle » à la fois populaire et à mauvaise réputation. Je noyais ma frustration dans l'univers étendu des femmes qui s'offrait à moi. Ces jeunes filles qui adoraient mon mauvais genre, ça les faisait vibrer. Alors je les enchainais, me créant une réputation exécrable. Ce vilain garçon et pourtant irrésistible. Nous étions les rois, avec ma bande de pote où mon meilleur et moi régnions en maîtres. J'étais le casse-cou, celui qu'on ne pouvait contrôler et qui aimait contrôler tout le monde. Même si je me lassais souvent de ces petits adolescents tentant de survivre dans mon ombre, je leur aurais prié parfois d'un ton condescendant de se trouver une personnalité au lieu de se calquer sur les blessures des gens, mais j'aimais le contrôle. En fait, cela me fascinait, cette petit bande qui fumait parce que c'était cool, qui faisaient du skate la place de leurs devoirs parce que c'était tellement bon d'être pris pour un petit rebelle de temps en temps. En vérité, je les enviais tous. Car quand ils rentraient chez eux, il y avait des parents pour leur crier dessus de ne pas avoir eu un A à tel contrôle, de foutre leurs vies en l'air. Quand je rentrais chez moi, ma mère comatais dans le salon, je devais ramasser les bouteilles de bières, et la porter jusqu'à son lit. Parfois elle m'appelait Taylor, désespérément, et me crachait dessus quand elle se rendait compte que non, c'était juste moi et que je ne pourrais jamais lui rendre l'homme de sa vie.
Mon meilleur ami était le seul à plus ou moins savoir ce qu'il en était réellement. En fait, il savait parce que lui aussi vivait dans la merde aussi, depuis toujours. Et nous avions un peu les mêmes blessures. Alors on se défonçait à deux et on riait, on riait à perdre haleine, parce que nous on savait, parce qu'on était un court instant les dieux de ce vaste monde, et personne ne le savait vraiment.
Mais tout n'était pas noir. Et puis, il y avait Hazel.
Elle était jolie, Hazel. Et moi, j'étais plein de goudron. Puis elle, elle était immaculée. Elle vivait tous les jours devant mes yeux, les yeux pétillants d'une chose que je ne savais déceler. La plupart du temps quand je découvrais ce genre de regard chez une fille, cela me titillait jusqu'à ce que je l'approche suffisamment pour comprendre l'illusion d'optique, que cette coquille n'était que vide et n'avait au final pas plus d'intérêt que toutes les autres. Mais Hazel... Hazel avait une profondeur qui m'attirait inexorablement. Alors je commençais à l'approcher par de petites phrases piquantes parce que je savais qu'elle réagissait au quart de tour. Elle me méprisait. Mais c'était plus que de l'indifférence, alors je continuais, sans cesse... « Ha, Hazel, tes parents font dans l'originalité à c'qu'on voit ! » « Et toi, le junkie, t'as vu ton prénom... » Je me souviens de sa voix, pleine d'assurance malgré son jeune âge et son regard... Ce regard qui transperce. « (rire) Ouuh, la petite prude se rebelle ?! Tes bouquins t'apprennent donc à riposter... ? » « Ecoute Asbjorn, retourne avec tes potes te défoncer la gueule, j'ai d'autres choses à faire que de discuter avec un gars dans ton genre ! » Rien n'y faisait, je la blasais juste, et elle ne m'estimait que comme une merde. Cette merde que j'étais. Alors en moi ça bouillonnait, et comme adepte de la communication, j'étais sans cesse sur la défensive au lieu de l'aborder de meilleure manière : « C'est ça, ouais, tu vas surtout aller pleurer dans les jupes de ta mère. Puis c'est quoi ce grand délire là, tes parents doivent vraiment péter plus haut que leur cul pour avoir appelé leur fille Hazel... » Je mentais, je l'adorais, son prénom. Mais alors que je me retournais, un faux sourire aux lèvres, la rage au ventre de ne pas être capable de l'atteindre, je constatais les têtes de mes acolytes qui blêmissaient et m'indiquait la direction de la jeune fille. Je me retournais, et constatait la fuite d'Hazel qui s'était mise à pleurer. Il ne me fallut pas longtemps pour la rattraper. « Lâche-moi, ok ?! T'es qu'un pauvre mec, un gros connard qui en veut à la terre entière et qui s'en prend à ceux qui n'en ont rien à foutre de sa gueule... Ah mais c'est ça ?! Tu veux qu'on s'occupe de toi parce que t'es tellement seul et malheureux comme mec que tu sais plus quoi faire pour attirer l'attention ! » Si je ne lâchais pas son poignet, je baissais les yeux. En trois secondes seulement, Hazel avait discerné tout le problème de ma vie. Cette tentative effrénée que l'on voit en moi ce que je n'étais pas capable de montrer. J'avais des fourmis dans la tête et l'impression de n'être qu'une merde. « Hazel, je suis désolé, j'ai joué au con et franchement, je voulais pas que tu... » « J'vais pas pleurer à cause de toi, la vie est déjà assez vache comme ça. Et si tu veux que je te dise, je peux pas demander à mes parents s'ils pétaient plus haut que leur cul, comme tu dis, puisqu'ils sont décédés d'un accident de voiture, il y a 8 ans, oK ?! Donc maintenant, barre-toi de mon chemin. » Je lâchais son poignet et la regardais s'éloigner. Peut-être sous le choc. Peut-être m'avait-elle fourni la décharge électrique dont j'avais besoin. Je serrais les poings et shoottait dans une poubelle un peu trop près en lâchant un cri de rage. Je niais mes potes et rentrait chez moi en oubliant le reste des cours, retournant mille fois la conversation dans ma tête.
Hazel devint une obsession. Chaque nuit était un terrain miné d'insomnies et de rêves illusoires. Elle avait envahit mes veines comme une drogue, atteignant le cerveau jusqu'à l'envelopper d'une substance chaude, bouillante, et glaciale à la fois. Et comme pour toutes les drogues, la dépendance se déclara rapidement. Je ne sais pas bien combien de temps notre jeu dura, mais bien qu'ayant toujours des filles avec qui coucher, plus aucune n'eut la saveur d'avant. Je ne jurais que par Hazel et le jour où enfin, elle comprendrait. Ce soir-là fut le meilleur de mon existence, et hante encore mon esprit alors qu'aujourd'hui, une seule chose me manque.
Comme le vieux rock, ma vie ne peut pas se passer sans ces remouds sans cesse, plein d'imperfections qui me caractérisent si bien. Si j'aime comme nul n'a aimé encore, j'aime mal. Je suis toujours ce gamin désappointé devant le départ trop rapide de son père. Ce gosse qui reste à shooter dans les cailloux à côté de chez lui parce qu'il ne comprend pas. Cet enfant qui n'a vu qu'un amour fragile qui se fissure, bien qu'éternel et incassable. Je ne suis que ce gosse qui voit cette mère effondrée lui reprochant d'exister, de lui rappeler que non, il n'est plus là pour se disputer puis l'aimer.
J'étais, il y a six mois, posé à ce bar, faisant tourner la petite boite entre mes mains. Cette petite boite qui contenait la bague qu'il m'avait fallu tant de temps à acheter à force d'économies. La pierre n'est pas bien grande, elle est même pathétique, mais Hazel saurait... Elle saurait la voir telle que je voulais lui offrir : le plus beau bijoux du monde. Elle savait mes moyens, elle savait que je me battrais pour elle. Elle savait. Je me commandais un whisky au vieux Joe, il fallait que je me prépare psychologiquement. J'étais près à l'attendre toute la nuit, j'avais même pris congé le lendemain. Je voulais... Vraiment... Puis j'ai repris un verre, en parlant avec quelqu'un. Puis un autre. Puis ... Puis... J'ai perdu le contrôle. L'angoisse, je revoyais sans cesse ces assiettes se briser, ce regard vide de mon père juste avant la seconde fatale. Et je revoyais les larmes d'Hazel la première fois. J'allais tout gâcher. Si je continuais, j'allais tout gâcher...
Puis tout fut gâché.
Je me réveillais le matin sur le sol de mon appartement . Je tournais la tête vers le côté, il restait un peu de coke sur la table, de la marijuana aussi. Je me tournais de l'autre côté et me levais d'un bond au constat de la présence nue à côté de moi. Je réveillais la fille qui n'était pas Hazel. Je la virais de l'appartement. Et je regardais l'heure. Voyant l'heure tardive, mon sang se glaça après n'avoir fait qu'un tour, je m'habillais en quatrième vitesse et couru jusqu'à perdre haleine jusqu'à l'appartement d'Hazel, je frappais. Plusieurs fois. Je l'appelais, autant de fois que le temps me le permettait.
Et après tout ça, j'ai disparu.
Je devais une trop grosse somme d'argent à un dealer, et le délais était plus qu'écoulé, son fric ne lui importait plus autant que ma tête sur un plateau. Alors je disparus. Longtemps. Trop.
6 longs mois n'ont pas suffit pour effacer ton visage. Ils n'ont pas suffit à me cicatriser de toi. Dans tous les visages de toutes les putains que je me tape, je ne vois que tes yeux qui me hantent. Aujourd'hui, la bande que je craignais s'est faite chopper, je pense pouvoir revenir sans risquer trop ma vie. Alors ça fait deux semaines que je suis là, avec un nouvel emploi, dans un nouvel appartement à peine aménagé, il est trop grand pour moi. Tout est trop grand pour moi. Même cette chemise, trop grande, trop vide. Tout est vide sans toi. Je ne me drogue plus, je ne bois plus non plus. Un bière tout au plus. Je me suis lavé de mes pêchés, je me suis lavé de moi-même pour te retrouver. Toute ma vie se constitue de ton ombre à présent, et je me reconstruis pour te retrouver.
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| | | Hazel Bridgestone+ i spend my all life hiding my heart away ≡ messages : 772 ≡ arrivée : 08/04/2015 ≡ célébrité : Teresa Palmer
| Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Mer 8 Avr - 23:09 | |
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| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Mer 8 Avr - 23:12 | |
| Bienvenue et j'espère que vous allez vous amusez avec votre duo |
| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Mer 8 Avr - 23:14 | |
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| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Jeu 9 Avr - 15:49 | |
| Colton. Hâte d'en savoir plus sur ce fameux duo Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche et n'hésite pas à contacter le staff si tu as besoin. |
| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Ven 10 Avr - 23:04 | |
| Hoyyyyyy ! Je te souhaite la bienvenue sur CCL ! |
| | | Asbjorn Maxwell+ i spend my all life hiding my heart away ≡ messages : 226 ≡ arrivée : 08/04/2015 ≡ célébrité : Colton Haynes
| Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Sam 11 Avr - 14:38 | |
| Merci à tous pour ce bel accueil! En espérant que ce duo sera à la hauteur de vos espérances, alors, haha! Silley: Je n'hésiterai pas! Merci beaucoup! Hazel: LOOOOOVE! J'ai hâte de rp avec toi! Je vais enfin pouvoir me consacrer à ma fiche! |
| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Sam 11 Avr - 21:36 | |
| bravo tu es validé Je dois dire que ton personnage est vraiment intéressant et que j'ai adoré lire ta fiche ! Dommage que tu n'aies pas mis d'image cela dit. Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun. |
| | | Asbjorn Maxwell+ i spend my all life hiding my heart away ≡ messages : 226 ≡ arrivée : 08/04/2015 ≡ célébrité : Colton Haynes
| Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. Sam 11 Avr - 21:43 | |
| Ouah, quelle rapidité! Merci beaucoup pour l'accueil, les compliments et la validation! |
| | | | Sujet: Re: asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. | |
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| | | | asbjorn.m - please let me keep this memory, just this one. | |
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