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| vrytchkenkov Ω no one's here to sleep | |
| | Sujet: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 15:26 | |
| viktor alexeï rytchenkovI trip to feel alive and die to forget Nom : rytchenkov, un nom que je porte avec extrême fierté et qui me provient de mes pères. Un nom autoritaire qui inspire le respect. √ Prénom : Viktor, certains diront que ça sonne sévère et que rien qu'à la vue de mon prénom, j'ai l'air d'un type pas net, ils ont raison. Alexeï, parce que ce prénom a une place inestimable dans la longue lignée des Rytchenkov. √ Âge : 35 ans, encore 5 ans avant que j'décide de me taper la crise de la quarantaine et que je devienne complètement insoutenable. √ date et lieu de naissance : un 25 décembre hasardeux, accompagné d'une tempête violente et des cris à s'en crever les tympans, un putain de cadeau de Noël, tiens. √ vos origines : la principale est russe, les autres varient entre slave et le nouveau-continent, mais n'en reste pas moins qu'étant donné que j'ai jamais pris le temps de les retracer, je m'en tape pas mal. √ Métier : lorsqu'on exerce son métier de rêve, on a l'impression que tout le reste pâlit à l'inverse de ce qu'on est et de ce qu'on fait. Passer d'un agent du service secret russe à une paumé qui s'occupe d'une galerie d'art à traficoter des toiles russes, bah c'est la merde. √ Orientation sexuelle : ces créatures sauvages, bien mises et foutrement castratrices qu'on appelle les femmes. √ Statut matrimonial : Sienna, la femme pour qui je me suis battu et pour qui j'suis allé envers et contre tous, à qui j'ai promis l'éternité. Sienna, celle que j'ai dû laisser dépérir à la Mère patrie... Ici, je me retrouve avec des étrangères américaines auxquelles je dois mentir et dire que je suis libre comme l'air. √ côté financier : le gouvernement américain me subventionne généreusement pour les services rendus à mon pays, puis le fait que j'aie toujours su comment gérer mon argent m'a permis de vivre à mes aises. Caractère : coriace, froid, futé, impitoyable, impulsif, intransigeant, joueur, manipulateur, possessif, séducteur, stratégique, taquin, violent. √ groupe : arnacoeur. the last song « Viktor c’est le connard à qui on ne se frotte pas par peur de se faire déglinguer. » Que les gens disaient. J’vois vraiment pas de quoi ils parlent, j’ai une gueule de beau gosse et quand je souris, j’ai presque l’air gentil. C’est pas de ma faute si on supporte pas mes expressions faciales. Quoique, être doté d’un regard qui tue – manière de parler, si j’pouvais tuer en regardant quelqu’un, on me traquerait en tant que serial killer – me donne un avantage dans plusieurs situations. C’était beaucoup plus utile en Russie; ici, les Américains sont facilement dupés et un peu trop niais, ce qui m’oblige à faire preuve de ce qu’ils appellent : compassion. Un mot et une manière de faire que j’ai dû instaurer dans mes habitudes étant donné qu’avant Memphis, il m’était carrément inconnu. √ Chez les Russes, on vit, on boit, on mange, on baise et on se reproduit. Mes parents à eux seuls comptent 13 enfants. Pas tous vivants, les circonstances de la vie font que quelques-uns ont été perdus dans des situations plutôt louches que mes parents ont toujours sévèrement refusé de nous expliquer. Je m’en soucie plus trop, y’a rien que je puisse y faire de toute façon. J’me contente de m’acharner à les rendre fiers, histoire qu’ils oublient jamais qu’ils ont élevé des militants, pas des tapettes à gogo. √ J’ai une large cicatrice dans le bas du dos, souvenir de ma première mission. Même après des mois d’entraînement acharné, j’ai dû utiliser une technique que j’avais pas complètement maîtrisée, ce qui m’a valu un accrochage lors d’un saut en parachute, qui représentait ma première vraie expérience aviaire. Sienna avait l’habitude de laisser filer ses longs doigts dessus, me susurrant à l’oreille à quel point mes imperfections l’excitaient et que… Hm, bref. Cette cicatrice est un rappel quotidien de pourquoi je faisais ce que j’faisais. √ J’ai grave le mal du pays, je fais passer mes rages en m’entraînant souvent, en essayant de contingenter la rage intérieure qui m'habite vivement jour et nuit, mais ça vaut pas vraiment ce que ça valait auparavant. J’ai perdu certaines habitudes que je m’étais ancrées parce que j’en avais besoin. C’était mon mécanisme de fonctionnement, maintenant, je sais plus trop où je m’en vais. Je me fais chier à en crever dans ce pays à deux balles, l’art est littéralement le pire domaine que j’aurais pu choisir, et pourtant ça me rapporte monétairelement parlant et côté femmes, j’ai pas à me plaindre. Elles sont toutes impressionnées par cet accent Russe que je traînasse et le fait que je puisse leur décrire en spécificité d’où viennent les produits, comment et quand ils ont été peints. √ Trois ans que je suis "Américain". Je déteste ce personnage que j’ai dû me créer en immigrant ici. Je déteste cet endroit futile et fade où je suis contraint de vivre une existence dénudée de sens. Ces cons d’Américains voient que dalle, ils savent rien de ce qui se passe vraiment à l'extérieur, on dirait que tout le monde est niché dans son trou de cul et qu’il croit à toutes les merdes que le gouvernement laisse passer aux nouvelles. C’est pitoyable de faire passer cette nation comme l’une des forces internationales les plus puissantes mondialement. M’enfin, qui suis-je pour faire de telles remarques ? On m’a réduit à marchandeur de toiles russes, mon opinion j'peux bien me la foutre où j'pense. √ Je suis marié, je me suis marié à mes 27 ans et jusqu’à mes 32 ans, je vivais la vie à 1000 km/h et j’avais quelqu’un avec qui partager mes pensées, partager ma vie, partager tout ce qui faisait de moi Viktor Rytchenkov. Sienna est la meilleure chose qui me soit arrivée, même si je la considérais tout d’abord comme un prix, elle s’est avérée révolutionner ma vision des femmes modernes et est allée à l’encontre de toutes les attentes que je m’étais fixées par rapport à la femme russe en général, principalement soumise et sans opinion fixe. La quitter a été une des décisions la plus difficile que j’aie eu à prendre de ma vie, et normalement, j’me casse pas la tête quand il s’agit de quelque chose de personnel. On peut même plus garder contact, et après ces trois longues années je sais plus comment faire pour garder cette image et cette sensation qu’elle animait autrefois en moi. J’ai pas la foi de m'admettre que je sais plus si on va survivre à ça étant donné que j'ai pas l'audace de remettre les pieds au pays. Je préfère de loin me cacher sous mon masque indélébile d’homme orgueilleux et taciturne. √ En coupant les liens avec ma famille, j’ai perdu tout sens de moi-même. Les gens oublient ce que sont les vraies valeurs, celles qui font de nous une personne avec une colonne vertébrale, en mesure de se défendre et de s’assumer. Être un étranger dans un endroit qu’on supporte pas, y’a rien de pire, y’a pas pire torture que de savoir qu’on peut rien changer à notre sort, outre le fait d’expérimenter en tentant d’ajouter quelques étincelles dangereuses dans notre quotidien. all the single lady ton pseudo : oc. √ âge : 22 ans. √ pays : mon pays, c'est l'hiver. √ fréquence de connexion : aussi souvent que possible. √ comment t'es arrivé ici? : sparta la maudite . √ un commentaire? : . |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 15:26 | |
| story of my life 3 years ago.
Des halètements, son regard ancré dans le mien alors que ses ongles s’enfoncent dans ma chair. Ses jambes sont enroulées autour de ma taille et ma main agrippe l’arrière de son genou, le tenant fermement contre ma hanche. Je bouge lentement, méticuleusement, le souffle de Sienna s’effare dans mon cou, puis sur mon épaule où elle marque mon corps de ses dents, comme pour me proclamer sien, ce que je suis déjà, par intérim de l’alliance maritale que je porte depuis cinq ans maintenant. Mes lèvres contre les siennes, elle soupire mon nom et me supplie de ne pas arrêter, je souris contre sa bouche, mordillant sa lèvre inférieure. On se rapproche de ce qu’on considère l’extase infinie, aussi limitée soit-elle. Mes coups de bassin altèrent entre doux et plus secs, histoire de jouer un peu avec la cadence et de l’entendre soupirer tantôt plus fort, tantôt plus subtilement. Elle décide de prendre les devants en me poussant sur le dos et en commençant à me chevaucher. Je la dévore d’un regard rempli d’affection et de luxure alors que mes mains déferlent le long de son dos et se posent sur ses hanches, afin de l’aider dans son mouvement. « Viktor… » Qu’elle murmure avec une douceur infinie. Si près, si… Un grognement m’échappe alors que je me libère en elle et qu’elle penche la tête par en arrière. Ça, c’est ce qu’on appelle de la symbiose et du talent, jouir en même temps n’est pas donné à tous le couples – les mecs, prenez note. Je me redresse pour me lover contre sa poitrine, elle m’enserre dans ses bras, je dépose une rafale de baisers chauds du lobe de son oreille à son omoplate. Détendus, nos corps se séparent et sans plus attendre, on sombre dans un sommeil lourd. Comme si un mauvais pré-sentiment s’emparait de moi, je me réveille en sursaut. Les yeux grands ouverts alors que Sienna est toujours allongée à mes côtés, je sors de mon lit et me procure rapidement l’arme cachée sous ma table de chevet, en me dirigeant tout de suite vers le salon, où je viens d’entendre un bruit louche. « Non, pas la femme, elle est innocente. Faut pas la toucher, putain, c’est pas elle notre cible ! » Que j’entends un homme dire à un autre. En entraînement, on nous apprend que dans ce genre de situation, il faut user de son intelligence et sauver la personne faible dans la situation. Ma femme est ma priorité, je me rue vers elle sans le silence complet, la réveille et lui explique qu’on est sur le point de se faire prendre si on agit pas instantanément. « J’ai mis les clefs de la Bentley dans l’armoire derrière le passage de la chambre. Rends-toi-y et suis les instructions déjà inscrites sur l’armoire. T’inquiète pas pour moi, j’viendrais te rejoindre après. » Elle disparaît, la peur profondément apparente dans ses yeux. Quant à moi, je tente de me faufiler vers mon armoire à armes, histoire de leur passer le message de me foutre la paix. J’enfile un pantalon et le premier chandail que j’aperçois, les intrus approchent, j’les entends analyser leur tactique. Quatre minutes se sont écoulées depuis que j’les ai entendus parler la première fois. Je me mets en position pour attaquer celui que j’ai dans mon champ de mire. « Hey ! » Il se retourne et alors que je me m’apprête à le frapper avec le coin de mon arme, je… « ARGH ! » me fais assommer par son partenaire. Je préfère garder le reste de l’histoire pour moi. Ça a jamais été un sujet sur lequel j’aime revenir. Cette nuit-là, j’ai compris l’étendue des conséquences et la dangerosité des actions commises durant mes missions. Les deux salopards qui se sont infiltrés chez moi avaient été engagés par le parti avec qui j’devais boucler un contrat dans la semaine qui suivait. J’avais été autorisé à revenir chez moi pour rassembler mes informations parce que j’allais devoir partir pendant 6 mois. C’est jamais arrivé, au lieu de ça mon supérieur m’a réduit au programme des réfugiés politiques. Ils ont inventé une raison bidon pour que j’puisse entrer au pays sans souci. Quand la Russie envoie un agent des services secrets dans un autre pays, c’est toujours sous prétexte d’un « conflit politique », étant donné que les États-Unis ne peuvent pas refuser, sous risque de perdre son alliance avec le KGB russe.
« Voici vos papiers, Mr. Rytchenkov. Un taxi vous attend à la sortie 15F pour vous emmener à votre nouveau logement. L’adresse figure parmi les documents remis, ainsi que les coordonnées de vos appareils de communication et l’adresse des galeries avec lesquelles vous ferez affaire en tant que master d’œuvres russes. » Je lui souris ironiquement, la pauvre blonde ne fait que faire son boulot, mais je la déteste. Je déteste déjà l’endroit et rien qu’à sentir l’air des États-Unis me pourrit les organes. Une fois sorti avec mes bagages et ayant repéré le taxi, j’lui fais signe d’attendre alors que j’sors la dernière clope de mon paquet typiquement originaire de la mère Patrie et que j’la pince entre mes lèvres, l’allume et la savoure lentement. Je commence à tousser, ce qui me surprend et arrive jamais normalement. Faut croire que treize heures d’avion et des escales vous foutent vraiment le système à l’envers, connerie. Je lance ma clope parterre et bourre le coffre du taxi de mes bagages, sans dire mot, le chauffeur m’emmène dans ce qui me semble être un quartier huppé et une maison énorme clairement calculée au millimètre carré et me donnant déjà l’envie de gerber. « Merci. » Que je dis au chauffeur de taxi qui m’a aidé à emmener le peu de ce qui me reste de mon ancienne vie dans la nouvelle, chaleureusement assignée par le gouvernement américain. Quelle merde, que l’ennui commence !
Now.
La musique joue fort, beaucoup trop fort, ou peut-être que c’est seulement moi qui suis intensément bourré. Enfin, c’est la seule solution pas mal que j’ai trouvé à l’ennui éphémère que me cause ma situation sociale. Les différentes femmes que je ramène chez moi me plaisant pendant un court instant, avant que je me remémore Sienna et sa fâcheuse manie de me contredire et de me pousser à bout. Aucun challenge mental, absolument rien. C’est à croire que rien que mon accent soit à applaudir pour la filée de gourdes que je m’enfile depuis maintenant trois longues années. « Hey, un autre bourbon à sec s’te-plait, ma jolie. » Accompagné d’un clin d’œil. La barmaid et moi, ce soir, ça va brasser. J’vais la baiser comme elle a jamais été prise avant et j’vais lui faire… Euh, à quoi j’pensais déjà ? « Vous croyez pas que vous avez assez bu, Monsieur ? Si vous voulez, j’vous appelle un taxi. » Et voilà, le spécial américano, ils pensent tous que je sais pas boire. « En Russie, on boit l’alcool comme vous buvez l’eau, ou des boissons gazeuses, ça revient au même. » Elle me regarde, offensée et me sert quand même mon verre. Connasse va, mêles-toi de tes affaires ! Je cale mon énième verre et décide qu’il est temps pour moi de rentrer, donc j’fais ma révérence à Miss Connasse derrière le bar et m’apprête à filer tandis qu’un homme à l’air désespéré – pour ne pas dire meurtrier – s’approche du bar et s’assoit à quelques bancs d’où j’me tiens. « Un bourbon pour lui, Mademoiselle. » Pour une fois, j’commande pas pour moi. Peut-être que s’il a l’air aussi meurtri c’est à cause de ce pays gouverné par Satan, qui sait. « Merci. » Que je l’entends me dire. Cinq, six, sept verres plus tard, l’étranger m’explique son désarroi. Son ex-femme l’a lâchement quitté, citant différences irréconciliables. Il sait pas sur quel pied danser, elle est l’amour de sa vie, bla bla bla. Toute cette merde m’intéresse peu, jusqu’à ce qu’il fasse allusion à quelque chose de plus complexe. « Vous voulez que je quoi ? » J’crois pas avoir bien compris. Mr. Moran – il m’a dit son nom et j’m’en suis souvenu, étonnamment – veut m’engager pour, et je cite : briser le cœur de son ex-femme et lui faire regretter de l’avoir quitté. C’est un nouveau jeu ça, chez les Américains ? Eh bien bordel, la poisse d’être eux. « Écoutez, je sais que vous et moi ne nous connaissons pas, mais ça pourrait être l’un de vos nouveaux passe-temps, vous avez l’air de déprimer à longueur de temps et vous êtes clairement un régulier ici, donc j’imagine que vous avez beaucoup de temps à votre disposition. Qui plus est, vous travaillez dans le même domaine qu’elle. Considérez-le comme… Une partie de chasse. Vous êtes le prédateur, elle est la proie, si elle sombre, vous gagnez. Elle ne verra rien venir et vous… Bah, vous aurez fait une faveur à un pauvre type comme moi. » Je sais pas si c’est parce que l’alcool commence à faire dégénérer mon foie, qui envoie une alarme à mon cerveau, mais son offre me fait cliquer un peu. Je secoue ma tête, comme pour me débarrasser de ce sentiment inconnu qu’on appelle : intérêt pour un truc banal qui rapportera rien. « Après l’avoir séduite, j’suis sensée faire quoi avec elle ? » Il hausse les épaules en me disant qu’il me donne carte-blanche et que ce qui se passe entre nous le dérange pas. Le seul résultat qu’il veut, c’est de la voir démolie. Il est vile, le pépère, mais j’peux comprendre d’où sa rage vient. Jamais j’aurais accepté que Sienna me quitte sur un coup de tête du jour au lendemain. Je relate pas, parce que personnellement, c’est son problème, pas le mien, mais en même temps… Hm. « J’vais y réfléchir. » Il me donne son nom, l’adresse de la galerie qu’elle possède et me montre sa photo, histoire de me familiariser. « Sullivan Moran, on la surnomme Sully et pour tout vous dire, je sais pas pourquoi elle a gardé mon nom. M’enfin, qu’importe. Vous allez le faire ? » Le côté arnaqueur en moi s’excite un peu. « Combien ? » Mes services sont pas gratuits. Même avec les subventions du gouvernement et mes économies, je vis bien, mais un peu plus fait pas de mal. Et puis comme ça, j’reprends un peu du poil de la bête. « Cent mille dollars. » Un virement s’effectuera sur mon compte dans exactement 2 semaines. « Deal. » Je serre sa main, entre ses coordonnées dans mon portable et me casse du bar pour de bon.
Je l’ai rencontrée, Sullivan. Elle est… Hm, je sais pas ce qu’elle est. Elle m’inspire la haine, le désir et la violence. Tout ça en même temps. Elle est sexy, elle dégage ce truc, cette indépendance et cette fierté d’elle, comme si elle était enfin libérée de tout fardeau et qu’elle pouvait enfin être elle-même. Ça me fait rire, et ça me rappelle ma propre femme, Sienna. Un caractère bouillant et une tête de mule comme j’en avais jamais vu avant. Qu’est-ce que j’ai hâte d’explorer mon nouveau terrain de jeu ! |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 15:27 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 15:28 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 15:31 | |
| bienvenue par ici |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 16:02 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 16:06 | |
| Retourne dans ton continent |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 16:14 | |
| Ce choix, mais ce choix. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 16:21 | |
| luuuuuke bienvenuuuuue bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 16:48 | |
| Grand méchant loup Mords moi quand tu veux, et moi aussi, j'fais courir la pulpe de mes phalanges dans le bas de ton dos si tu veux Dépêche toi d'avancer cette fiche là qu'on s'envoie en l'air fasse plus ample connaissance, qu'on se tape discussion sur l'art et tout ça, tout ce qu'il y a de plus chaste et pur quoi. Je suis comme ça, posée, raisonnable et réfléchie T'es beau. Te lire m'avait manqué, espèce de pétasse. Allez, sinon je sors le fouet Et alors des cicatrices, sur ton corps parfait, t'en aura des tas ! |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 17:08 | |
| J'adore l'avatar mon dieu Bienvenue parmi nous |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 17:14 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mar 30 Déc - 17:38 | |
| J'ADOOOORE L'AVATAR Bienvenue parmi nous toi! |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 4:47 | |
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| | | Jesse Hollowayadmin + are we all lost stars ≡ messages : 2929 ≡ arrivée : 19/12/2014 ≡ célébrité : bobby morley
| Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 10:11 | |
| bienvenue |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 11:54 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 13:42 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 20:26 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Mer 31 Déc - 20:52 | |
| Je pensais justement à toi, à l'instant. Allez, avance cette fiche, grognasse |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Ven 2 Jan - 12:01 | |
| Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Ven 2 Jan - 16:32 | |
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| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Sam 3 Jan - 11:02 | |
| Bienvenue sur le forum |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Dim 4 Jan - 5:47 | |
| Merci à vous tous |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep Dim 4 Jan - 5:48 | |
| bravo tu es validé je t'ai déjà cité les passages clés, et faut croire que malgré ce que tu croyais, t'a pas perdu la main. amuse-toi bien à tenter de détruire mon petit coeur, mon chaton Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun. |
| | | | Sujet: Re: vrytchkenkov Ω no one's here to sleep | |
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| | | | vrytchkenkov Ω no one's here to sleep | |
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