| | Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. | |
| |
| Sujet: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 20:18 | |
| Serafina Morales Dans tes yeux tout au bout, ce qu'il reste de nous... emporté par la mer qui s'endort sur les braises. Nom : Bien qu'elle n'y porte qu'un dédain à peine dissimulé, la belle hirondelle porte le nom hispanique de son père : Morales... En soit, il est d'ailleurs assez ironique, puisque le dit paternel ne fait foi que de peu de morale. √ Prénom : A l'origine, la petite brune était appelée affectueusement Serafina. Néanmoins, elle a apprit bien tôt à le détester et ne répond que lorsqu'on la hèle d'un Rafi, et octroiera un regard haut en couleur ainsi que des noms d'oiseaux avec ferveur à quiconque osera ne serait-ce qu'essayer de l'appeler par son patronyme d'origine. A part abuela... évidemment. √ Âge : Il y a vingt-sept roses qui se sont écloses dans la peau de la belle à la chevelure d'ébène. √ date et lieu de naissance : Elle est née pendant le solstice d'hiver, dans l'un des quartiers chauds de San Juan à Porto Rico, aux Etats-Unis d'Amerique. √ vos origines : Il faudrait être stupide pour se poser la question, mais soit. Si cela ne se remarque pas déjà assez sur son faciès de princesse, Rafi est pourtant une latine pure et dure... Avec le caractère qui va bien. √ Métier : Il lui a fallut beaucoup de dettes et de longues études pour obtenir son diplôme, mais elle a aujourd'hui rejoint les forces de l'ordre, devenant une flic émérite. Néanmoins, il demeure qu'elle voue une passion immodérée à la mécanique, et surtout aux bécanes. √ Orientation sexuelle : Les bras des hommes sont les seuls où elle se sente bien, d'autant plus si ceux si sont musclés et qu'ils sont rehaussés d'un visage où trônent deux perles noisettes, une barbe de trois jours et des cheveux coiffés en arrière. Et surtout ceux d'un dénommé Rothschild... Bien qu'elle le niera à tout jamais. √ Statut matrimonial : Dios mios ! Rafi a déjà souvent expérimenté la vie amoureuse et la vie à deux, mais l'on ne l'y prendra jamais la bague au doigt. Elle aime bien trop osciller de bras en bras pour un jour se poser. A moins que... √ côté financier : La Morales a sacrifié toutes ses économies pour faire les études qui lui plaisaient. Elle ignore pourtant que le paternel s'est occupé de tout payer, et que son compte en banque est donc florissant. Caractère : ambitieuse, audacieuse, débrouillarde, directe, farouche, fidèle, franche, garçon manqué, impulsive, indépendante, intransigeante, loyale, méfiante, opportuniste, rancunière, sauvage, têtue. √ groupe : Arnacoeur. the last song Le cœur de la belle Morales a tendance à ne battre que pour les ronronnements des moteurs, leurs vibrations et leurs vrombissements. Amoureuse des motos depuis de très longues années, elle ne se lasse pas de les bricoler et de les améliorer, pour mieux apprécier le son fort et presque sensuel qui s'en dégage lorsqu'elle les chevauche. √ Par le passé, la jeune femme possédait d'ailleurs un garage entier rempli de son pêché mignon. Néanmoins, elle a dû toutes les revendre - n'en gardant plus qu'une pour se déplacer - afin de payer ses études... √ Si elle venait à apprendre que son père a payé ses études dans son dos et qu'elle a donc vendu ses bébés pour rien, à un prix presque dérisoire pour la qualité demandée, il ne fait aucun doute qu'elle entrerait alors dans une colère noire, dans une colère froide, mais bien loin d'être illusoire. √ Pendant des années, sa mère a espéré que la chair de sa chair s'intéresse un peu plus à la danse et aux vêtements féminins ainsi qu'aux bijoux... Pourtant ses espoirs ont toujours été vain, car si Rafi sait rester sexy en toutes circonstances, il est vrai qu'elle est loin d'être féminine, préférant de beaucoup l'aisance. √ Serafina n'a jamais aimé et n'aimera sans doute jamais les tendances aux commerces illégaux qu'entretient son père. Avocate aujourd'hui réputée, elle omet pourtant de signaler les activités de son géniteur, non sans les blâmer et les réprouver. Disons qu'elle a toujours tenu à rester dans le droit chemin, même si cela signifiait se passer de la facilité qu'offrait l'argent sali, l'argent blanchi. √ Lorsqu'elle a envisagé des études pour devenir policière, son paternel a manqué de s'étouffer, s'égosillant à le lui reprocher. Il lui a même demandé si elle était folle, et si elle les détestait à ce point pour renier ses origines et le monde dans lequel elle a toujours vécu. Pourtant, Serafina n'a jamais démordu de son envie accrue d'entrer un jour au Barreau, et y est parvenue avec brio. √ S'il est vrai que la jeune femme n'apprécie pas son prénom, elle n'utilise à vrai dire son surnom que parce qu'elle est véritablement fana des prénoms mixtes et qu'elle aime voir les visages déconfis des machistes accomplis qui arrivent devant elle et qui découvrent ses courbes féminines plutôt qu'une voix bourrine. √ Rafi continue de réparer des bécanes moyennant un léger financement, plus par plaisir que pour l'argent. Certes, l'argent n'est pas refusé, loin de là même, mais elle le fait parce qu'elle en ressent l'envie et surtout le besoin. Elle bosse donc dans un garage, dans les environs de Memphis, et ce à moitié prix. √ La jeune Morales, si elle refusera toujours de l'admettre, n'a jamais oublié un homme qui pourtant l'exécrait par le passé. Un certain Rothschild, qui détient une fortune colossale et qui est surtout insupportable. Ses pensées et ses soupirs ne sont destinés qu'à lui, bien qu'elle soit trop amoureuse de la virilité pour un jour se poser. De fait, si la mafieuse - par hérédité - a plus ou moins laissé tomber, elle ne supporte pas qu'une autre daigne l'approcher et montre les crocs à chaque occasion, entendant bien qu'elles abandonnent l'idée et même la question. √ Le caractère farouche et sauvage de la belle latino ne lui a jamais fait défaut. Malheureusement, d'ailleurs, puisque c'est ce qui l'a empêché de connaître possiblement la joie des sentiments avec Wes. Le fait est que la figure paternelle n'a jamais été un bon exemple, et qu'elle ne fait que rarement confiance aux hommes qui aiment bien trop abuser des plaisirs de la chair. Le fait de se poser signifierait s'exposer. Et elle n'est pas prête à mettre en cage la seule chose qui importe vraiment : son cœur. Il est bien plus facile d'apprécier les ronronnements singuliers des motos que d'aimer, surtout quelqu'un d'aussi égoïste et rancunier. all the single lady ton pseudo : abby/peayne, toujours ! √ âge : 20 ans, toujours aussi... √ pays : ai pas bougé. √ fréquence de connexion : tous les jours, j'vous aime trop. √ comment t'es arrivé ici? : euuuh... sur bazzart je crois, y'a une petite pub qui m'a fait de l'oeil et me voici. √ un commentaire? : La première qui touche à Wes... Voilà. Juste. Voilà. Je lui pète la gu*ule et le trognon. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 20:18 | |
| story of my life - papa ! papa !crie la petite morales, pour attirer l'attention de son géniteur. celui-ci est affairé sur une harley davidson, qu'il retouche et qu'il améliore, les mains pleines de cambouis. déjà magnifique à la base, la moto semble se métamorphoser sous la patte talentueuse du mafieux, qui s'exalte de sa passion. - papa ! à mon tour ! moi aussi je veux t'aider !geint-elle, les prunelles soudainement envahies par des larmes de frustration. âgée de quelques années à peine, elle a toujours été bercée dans la passion dévorante de son père pour les beaux engins à moteur. - quand tu seras plus grande, serafina.la rembarre-t-il gentiment, mais de sa voix bourrue. contrariée, la gamine croise les bras sur son torse, la moue boudeuse. - t'es pas drôle.- peut-être, mais en attendant, tu ne te blesses pas.rétorque-t-il, un sourire dans la voix. il quitte ensuite le dessous du véhicule pour afficher un minois couvert d'huile et d'autres substances poisseuses. - bon. tu veux monter dessus pour l'essayer avec papa ?il lui fait un clin d'oeil, et la petite fille saute de joie pour arriver dans les bras de son père. il la dépose sur le siège de cuir, qu'elle caresse distraitement et admirativement. il s'assied derrière elle, la tenant fermement entre lui et le guidon. il fait démarrer la bécane, et le ronronnement qu'elle pousse fait frémir la petite latino, déjà sous le charme de ce bruit si sensuel et si exaltant. ils démarrent en trombe, et alors que la gamine atteint à peine les six ans, voilà qu'elle ressent pour la première fois le frisson d'excitation du danger que représente à chaque instant cet engin de mort, cet engin de plaisir. [...] - pfff... tu me saoules. non mais sérieux, t'as pas compris que j'en voulais pas de ton argent ?elle toise son père, dédaigneuse. le regard dur, le regard noir, il la fixe sans sourciller. il semble prêt à la frapper d'un instant à l'autre. en une dizaine d'années, leur relation a bien changé : aujourd'hui, elle ne supporte plus de le voir, et ne peut s'empêcher de l'envoyer se faire voir. si à l'époque elle avait déjà connaissance des activités de ce dernier, il n'y a qu'en grandissant qu'elle en prit pleinement conscience. d'autant que voilà quelques mois déjà que la jeune femme s'intéressait au droit et surtout à la justice. avoir un père qui touche à tout ce qui est drogues et commerces illicites, ce n'est pas ce qu'il y a de mieux pour montrer sa motivation. car enzo morales demeurerait son père. et il était inconcevable qu'elle essaie même un jour de le mettre derrière les barreaux, si jamais elle parvenait à réaliser son rêve. en réalité, elle aurait sincèrement aimé pouvoir vivre en travaillant dans un garage pour réparer voitures et motos ; néanmoins, il a toujours paru que ça ne suffisait pas pour vivre, et qu'elle ne démordait pas de son idée de faire des études prestigieuses pour avoir un métier qui impose le respect et qui soit bien loin du secteur d'activité de morales. - tu peux renier aussi longtemps que tu veux tes origines, serafina, mais tu es ma fille. et en tant que tel, tu as de l'argent : celui que je gagne. tu devrais t'estimer heureuse d'avoir un père qui soit aussi enclin à dépenser pour son petit trésor !s'agace-t-il, ravalant avec peine la colère qui monte dans ses veines. quant à elle, la jeune fille pique un fard : serafina. il n'y a que ses parents qui l'appellent encore comme ça... et si ça ne la dérange pas que sa mère utilise son patronyme - et encore - elle ne supporte cependant pas que l'homme qui la répugne le plus au monde et pour lequel elle a le moins de considération l'use. - c'est rafi. bon, pas que tu m'emmerdes mais je dois aller en cours. salut.crache-t-elle, perfide et mauvaise, avant d'attraper son sac à main et de filer pour ses dernières années de lycée. c'est décidé : lorsqu'elle devra faire ses études supérieures, elle paiera tout toute seule et s'en ira bien loin de l'affaire familiale et du business dégradant qui est le leur. elle ne peut demeurer plus longtemps à leurs côtés. elle aime énormément sa mère, c'est une certitude, mais elle ne ressent qu'une honte cuisante à être une morales. à être affiliée à un parrain de la drogue et du commerce illégal que représente la prostitution. de toute façon, enzo morales touche à tout ce qui est interdit... et ne se prive pas pour tester la marchandise. il était tard lorsqu'elle avait découvert le penchant de la figure masculine de la famille pour les femmes de petite vertu. elle était rentrée après avoir longtemps étudié à la bibliothèque, où elle s'était d'ailleurs endormie plus qu'elle n'avait révisé. depuis des années, père et mère faisaient chambre séparée, c'est pourquoi elle fut assez surprise de voir la lumière allumée dans celle du parrain. elle s'approcha, et au moment où elle s'apprêtait à toquer, elle entendit une plainte ; un gémissement. fronçant les sourcils, elle profita d'une petite ouverture pour regarder ce qu'il s'y passait... et jamais plus cette image ne quitterait son esprit, à jamais choqué. une blonde à la poitrine rebondie se faisait sauvagement prendre par son père. elle se détourna, nauséeuse, et s'empressa de regagner sa chambre. ce jour là, enzo morales perdit les maigres restes de respect qu'entretenait sa fille à son égard. et plus jamais il n'en aurait de sa part.[...] wes. un prénom. un putain de con. tout le monde le connaissait, à san juan. et rafi ne fit pas exception. se rencontrant par le biais de la bande de joyeux lurons avec lequel elle traînait sa carcasse encore pleine de vigueur, elle apprit bien vite à l'abhorrer. à le détester. égoïste, arrogant, il n'a rien pour plaire. rien pour lui plaire, surtout. et n'en déplaise au dom juan qui se plaisait à la mater comme un vulgaire bout de viande, pour mieux la saouler, pour mieux l'agacer. sans doute souhaitait-il, pendant tout ce temps, lui plaire et l'emmener avec lui sur des contées inexplorées. mais rafi, ça non, elle n'aimait pas qu'on oublie son statut de femme pour ne se concentrer que sur sa poitrine et et sur son déhanché. alors de base, wes rothschild n'a pas réellement eu la côte auprès de la latine. et puis ce nom... juste. pas que la morales ait un jour eu à se plaindre du côté du fric. surtout pas à cette époque où elle acceptait encore de temps en temps les donations de son père, destinées à l'acheter, et pourtant, lui l'exhibait trop. il était trop tout, de toute façon. trop beau. trop charmeur. trop arrogant. trop égoïste. trop exécrable. trop imbuvable. et trop con. rafi, elle a fini par arrêter de compter le nombre des essais de ce dernier. tout le temps, il revenait, pour mieux l'attiser. et toujours, il repartait - presque - la queue entre les pattes. car oui, il était beau. oui, parfois, des pensées chaotiques et embrasées venaient flirter avec son esprit perturbé. mais jamais elle ne céderait. jamais elle ne serait une fille de plus à ajouter au tableau de chasse du grand wes rothschild. elle se l'était promis. mais alors, pourquoi a-t-elle fini par dire oui ? parce que résister, elle en avait assez. mais ça ne l'a pas empêchée de le fuir toute la soirée, refusant alors de s'avouer conquise et à sa merci. parce qu'il n'y avait pas que ça de déplaisant. il y avait surtout le fait qu'il lui apprenne tellement... sur elle. sur ce qu'elle était, sur ce qu'elle aimait et détestait. sur la vie, en elle-même. et puis, c'était grisant d'être désirée à ce point, convoitée comme une déesse qui n'aurait plus qu'à hocher la tête pour que son dévoué apparaisse, le sourire jusqu'aux oreilles d'enfin obtenir l'objet de ses désirs. mais rafi a prit la grosse tête. rafi a fini par dépasser la limite. durant une soirée alcoolisée, et parce qu'elle souhaitait le vexer, elle a osé remettre en cause sa virilité. elle plaisantait, mais plus jamais elle n'a vu de flamme briller dans ses prunelles irisées. la jeune morales s'en est mordu les doigts. parce que la vérité, c'est qu'elle le voulait mais ne pouvait pas l'admettre. la vérité, c'est qu'elle aurait aimé connaître le fait d'être sienne. de pouvoir passer sa main dans ses cheveux, et loin du couple traditionnel, simplement passer du temps à ses côtés sans se soucier des lendemains lointains. elle n'aurait pas dû. il y a quelques années, avant qu'elle ne se décide à rejoindre Memphis, ils se sont revus et ont consommé cette passion dévorante qui les unissait. depuis, rafi a bien comprit que ça ne changeait rien et que wes ne l'avait toujours pas pardonné. que lui, tout ce qu'il voulait, c'était son corps dans un lit qu'il pourrait tripotter à sa guise, et embraser. ce fut l'un des pires déshonneurs de la princesse latine. parce que sans le vouloir, elle avait été reléguée au rang de simple conquête d'un soir, venant rejoindre la panoplie d'autres noms sur le carnet sacré du rothschild. oh, elle avait aimé cette nuit, mais il était intolérable pour une morales telle que la jeune femme de n'être qu'un nom, duquel il pourrait se vanter d'avoir côtoyé intimement. alors elle ravala sa fierté, tout en se promettant qu'un jour, elle le retrouverait et le lui ferait payer d'une manière ou d'une autre. de toute façon, elle serait la seule à laquelle il appartiendrait. et plus jamais elle ne se laisserait avoir par ses beaux yeux qui ne font que trop la tenter. wes et rafi, c'est fini. mais d'un côté, ça ne fait que commencer. [...] c'est vite apparu comme la meilleure solution : partir loin de la maison. très loin. trop loin. loin des yeux, loin du coeur. loin de la torpeur. loin des affaires louches et illégales du father. elle a enfourché sa moto et est simplement partie, un sac sur le dos. une lettre déposée sur un coin de la table pour avouer son pêché, celui qu'elle commet : partie vivre de ses propres ailes, comme une hirondelle, pour payer ses études elle-même et ainsi vivre sa vie comme elle l'entend. ne plus vivre aux crochets d'un père loin d'être aimant et avec qui plus aucun lien n'existe et ne persiste. c'est comme ça qu'un peu par hasard, elle est arrivée à memphis. c'est comme ça aussi qu'elle y a débuté ses études et a obtenu, non sans dettes, le métier qu'elle désirait. qu'elle enviait. fille d'un mafieux, il est plutôt ironique qu'elle ait décidé de rejoindre les forces de l'ordre ; néanmoins, elle serait bien incapable d'avoir du poids contre son père. elle serait tout aussi incapable de tenter de le mettre derrière les barreaux. parce que rafi, c'est pas un bourreau. parce que rafi, elle a jamais cessé d'être cette petite fille qui a découvert sa passion grâce à son père. d'être cette petite fille qui n'attend qu'une chose : qu'il soit fier d'elle. et qu'il la respecte, enfin, plutôt que de sans cesse l'acheter avec des présents qui ne valent rien. et d'avoir un père absent. aujourd'hui, rafi a bien grandi. elle sait ce qu'elle veut, et sait surtout ce qu'elle vaut. à moitié mécano, elle est surtout justicière, ne s'occupant plus des enquêtes que des réels criminels. ses dettes continuent de la suivre et la vie est loin d'être facile, mais c'est la sienne et la belle latine est bien décidée à tracer sa propre destinée. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 20:20 | |
| canon l'avatar rebienvenue chez toi du coup |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 20:31 | |
| Comment c'est grisant de découvrir rafi au gré d'une prose aussi délicieuse que la tienne J'sais pas comment te remercier d'avoir céder à ce scénario, parce que j'ai la certitude que tu feras de Rafi un personnage encore plus intéressant que je me l'imaginais au départ. D'ailleurs, Nolan exige déjà un lien avec toi, parce qu'il convoite toujours tout ce qui est mien . Je le comprends, j'ai tellement, mais alors tellement bon goût. Vivement la suite, dios mios, et puis tu connais le chemin jusqu'à mon lit ma boîte MP. T'y es la bienvenue en tout temps, même à des heures indécentes et pour me faire des avances salaces si tu le veux bien . En espérant que ce personnage soit la perle qui t'accrochera jusqu'à la fin des temps à ce forum bien sûr, mais surtout à moi Bisou sur les fesses, parce que t'es trop bonne. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 20:59 | |
| le scéna canon du frérot quel excellent choix, et puis marie est tellement belle il nous faudra absolument un lien rebienvenue |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:03 | |
| Ce nouveau personnage trop coooool. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:06 | |
| Ouais, moi je veux un lien Je te ferai remarquer WES, que tu as commencé le premier avec Kyle alors Bienvenue mademoiselle et c'est un très mauvais choix, parce que Wes est nul au lit |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:06 | |
| Rebienvenue avec la magnifique Marie |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:41 | |
| Nolan C'est pas ce que Kyle disait quand elle ondulait sous moi, petit frère. En attendant, retourne jouer avec tes blocs gamin, t'es pas d'taille |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:44 | |
| T'es plutôt viril avec cette tête, j'savais que t'avais un côté homo refoulé Non mais, elle faisait semblant, elle me l'a dit *sors* |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:50 | |
| La dernière fois que tu lui as parlé, c'est pour la foutre dehors parce qu'elle avait le sourire béat sur les lèvres, les joues rosies par les galipettes et le corps maculé de stigmates d'une nuit endiablé, je crois pas que t'a su lire le non-verbal, la jeunesse de nos jours, rohh Sinon suis pas homo, j'feel plus transgenre à aller et venir entre Sully et Wes en fait xD |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 21:55 | |
| Elle est tellement belle, cette fille ! Rebienvenue |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:01 | |
| hey, les rothschild, ça suffit là vous allez lui faire peur, la pauvre |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:20 | |
| Keukou toi T'es avocate, moi aussi... On pourrait trouver un terrain d'entente |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:25 | |
| Mica Tu sais qu'on a du mal à se tenir, surtout en présence d'une demoiselle de la trempe de Rafi. Mais avant que tu m'attrapes par l'oreille pour nous séparer, je me tais Rick Mais c'est pas beau rêver |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:27 | |
| |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:28 | |
| Merci tout le monde, z'êtes fouuuuus ! et les Rothschild qui s'engueulent sur ma fiche pour une autre nana que moi là... D'ailleurs Wes, t'es bonne aussi sous Sully. Et toujours sur la même lancée et toujours pour toi mon lapin : OMFG tu me flattes de trop. D'ailleurs, j'aurai toujours tendance à te MP à des heures indues puisque t'es loin et qu'y'a un gros décalage. Je suis déjà accrochée à toi et à CCL mon beau. btw, je vais de ce pas te répondre, parce que je voulais absolument poster ma fiche avant d'aller manger. (ouais, parce qu'ici, il est passé 22h hein. ) Mais laisses tomber Wes tu m'as retourné le cœur. ( <- ça a été fait à ta demande, nah ? ) Puis je prends tous les liens du monde. Nolan... - Richard Connely a écrit:
- Keukou toi
T'es avocate, moi aussi... On pourrait trouver un terrain d'entente Keukeuw. Sans aucun doute ! BOOOON. je promets pas de finir ce soir, parce que je compte bien exploiter son histoire dans la partie adéquate, mais je vais au moins finir la première partie. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 22:33 | |
| On s’engueule toujours t'façon |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 23:03 | |
| Au contraire mon chaton, c'est pour toi que je me bats, toujours. Sauf quand Mica me raisonne, parce que Mica, c'est Mica, et jolem quoi J'ai hâte de te lire bordel de merde, faut arrêter de me faire vivre une attente aussi insupportable avant de dévorer ta plume puis merci, c'est vrai que Sullychérie est bonasse aussi Loin des yeux, près du coeur en mode romantique qui me sied pas du tout Non malheureusement, mais j'avoue qu'il convient. J'disais justement à Belzé qu'il en faudrait un WES A TOUJOURS RAISON pour que ce soit purfect mais c'lui là est pas mal en attendant Je vais sortir la ceinture de chasteté que je t'ai fais construire rapidou moi, je crois |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 23:06 | |
| S'plutôt, Wes à la grosse tête |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 23:09 | |
| Ou Wes est un gros con. On le fera en bande déroulante |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Sam 3 Jan - 23:40 | |
| eh tu déconnes pas un peu, à c't'heure indue et à un jour de la rentrée (rip moi-même... ) je me suis dépêchée de faire déjà la première partie alors. dis-moi si ça te va, homme. NOOOOON pas la ceinture de chasteté sitoplé. et je suis contre le "wes a toujours raison"... c'est faux. il a arrêté de courir après rafi alors il a tort. |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Dim 4 Jan - 5:42 | |
| J'adore et j'adhère complètement femme, t'es déroutante et renversante, j'adore ça. c'est sexouel le dire sous sully aussi Puis Wes a toujours raison, Rafi, c'est une source d'ennui dont il lui faut se passer pour survivre et continuer à apporter la joie éphémère des draps froissés aux femmes qui croisent son chemin c'est son cadeau à l'humanité, en somme Sois gentille et je vais pas y ajouter du barbelé électrifié, à cette culotte à l'épreuve de tout ce qui est pas l'aîné rothschild j'ai prévu le coup en spécifiant le tout pour éviter que nolan s'en mêle |
| | | Chloe Sheeranadmin + Offer me that deathless death ≡ messages : 2178 ≡ arrivée : 09/12/2014 ≡ célébrité : nina dobrev
| Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Dim 4 Jan - 10:46 | |
| re-bienvenue mademoiselle |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. Dim 4 Jan - 15:09 | |
| Bienvenue parmi nous !! |
| | | | Sujet: Re: Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. | |
| |
| | | | Ils m'disent tous que toi t'es partie dans les bras d'un apocalypse, qu'tu t'es tracée comme une éclipse. RAFI. | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |