Nom : Peña-Suarez. √ Prénom : Ismael. √ Âge : 22 ans. √ date et lieu de naissance : 22 décembre 1992, Memphis.. √ vos origines : mexicaines. √ Métier : cuisinier dans le restaurant familial. √ Orientation sexuelle : hétérosexuel. √ Statut matrimonial : célibataire. √ côté financier : assez correct. Caractère : parfois égoïste, borné, indépendant, attentif envers ses proches, drôle, tête en l’air, charmant. √ groupe : arnacoeur.
the last songIl a une playlist secrète dans son téléphone, elle regroupe toutes les chansons qu’il aime et qu’il écoute sans témoin parce qu’il en a honte ; parmi elles, figure notamment une chanson des Spice Girls.
√ Bien qu’il ait été élevé dans le respect de la foi et dans les traditions chrétiennes, Ismael s’éloigne de plus en plus des bancs de l’Église et de ces valeurs.
√ D’ailleurs, il ne l’avouera jamais parce qu’il ne veut pas que sa mère le tue, mais il fantasme bien à l’idée de se faire une nonne.
√ Critiquez le, insultez le, il répondra avec le sourire parce qu’il s’en fiche, mais si vous insultez sa famille, il perdra à la fois son sourire et son calme et se montrera bien plus mesquin.
√ À l’adolescence, il s’est rebellé contre ses parents et notamment contre son père avec qui il est toujours en conflit ; il a commencé à sortir beaucoup trop, boire alors que ce n’était pas permis et il s’est également fait tatouer – à ses yeux, c’était une manière de s’affirmer un peu plus.
√ Il a quitté le domicile familial peu après ses 21 ans ; il avait prit un petit job pour se payer un petit appartement – ce n’est pas le grand luxe, mais ça lui convient très bien.
√ Il bosse depuis quelques mois dans le restaurant familial, ce n’était pas dans ses projets, il déteste même le faire, mais il le fait parce qu’il veut être avec son frère aîné et cela lui semble plus important que sa plus grande envie d’indépendance.
√ Ismael n’a jamais été réellement amoureux, il enchaine simplement les conquêtes et les histoires sans lendemain.
√ Il adore la bouffe mexicaine, surtout les plats préparés par sa mère qui est la meilleure cuisinière du monde à ses yeux.
√ Lorsqu’il ne passe pas son temps dehors à faire la fête, il aime lire ou une soirée tranquille devant un bon film.
√ Il a un chat : Horus.
√ Sa série préférée est Criminal Minds, il n’en rate pas un seul épisode.
√ Musicalement parlant, il écoute vraiment de tout et n’a aucun apriori sur les musiques, chanteurs ou groupes.
√ Ismael a toujours été ‘le fils de sa mère’ ; il a toujours été plus proche d’elle que de son père avec qui les relations ont toujours été plus tendues.
√ Bien qu’il ait très souvent besoin qu’on le recadre, depuis quelques mois, il donne l’impression d’être le grand frère auprès d’Angel ; les rôles ont, en quelques sorte, été inversé.
√ Comme le reste de sa famille, il parle couramment l’espagnol.
story of my lifeJe suis venu au monde dans une famille plutôt normale, si on s’en réfère aux normes familiales que l’on connaît. Une mère aimante, un père qui l’était tout autant et un frère aîné avec qui je m’entendais merveilleusement bien. J’étais le petit dernier de la famille, mais je n’avais pas l’impression d’être pour autant le favori, celui qu’on mettait le plus en avant, cela n’existait pas dans ma famille parce qu’Angel et moi étions au même niveau. On ne l’aimait pas plus que moi et on ne m’aimait pas plus que lui ; bien que j’étais quand même plus proche de ma mère à cette époque. Je passais mon temps avec elle, toujours dans ses jambes, je ne la quittais quasiment jamais et cela pouvait rendre dingue parce que je ne voulais pas être dans les bras de mon père et je ne la quittais que lorsque je partais jouer avec mon grand frère. Ouais, clairement, j’étais le petit prince à sa maman et j’aimais ce statut.
En grandissant, ça ne changeait pas vraiment, bien que j’étais bien moins distant envers mon père. J’allais plus facilement vers lui et je quittais plus souvent la tendresse de ma mère. Les seuls trucs qui me posaient problème, c’est qu’on allait à l’Église et que je n’aimais pas cela. Je ne voulais jamais m’y rendre, je ne supportais pas d’entendre cet homme de Dieu faire son long discours et je m’ennuyais comme pas possible. Je n’avais toujours qu’une seule hâte : que cela se termine. Je crois que tout le monde voyait bien que cela ne m’intéressait pas, mais cela faisait parti de mon éducation et je ne pouvais pas prendre mes propres décisions et dire que je ne voulais pas y mettre les pieds : ma mère ne l’aurait pas supporté et mon père non plus. À leurs yeux, c’était important alors je prenais sur moi bien que les envies de faire tout et n’importe quoi ne manquaient pas.
Sauf qu’à l’adolescence, je m’affirmai un peu plus et cela ne plaisait pas franchement à mes parents. Ils n’aimaient pas lorsque je sortais et que je rentrai trop tard, ils ne supportaient pas que je prenne de l’alcool et me faisaient bien souvent des leçons de moral qui me rendaient affreusement dingue. Je comprenais bien ce qu’ils disaient, j’avais conscience que je ne faisais pas ce qu’ils attendaient de moi, mais je ne voulais pas être une sorte de marionnette dirigée par des parents qui semblaient attendre que je fasse de grandes choses. Je ne voulais que vivre ma vie comme je l’entendais et cela passait forcément par des fêtes et autres conneries qui me poussaient un peu plus vers un chemin qui n’aurait jamais du être le mien.
Je n’allais presque plus en cours, je me prenais la tête avec mes parents et je ne voulais plus rien entendre. Alors, la dernière solution, c’est qu’ils faisaient intervenir Angel. C’est ma mère qui avait fait appel à lui parce qu’elle s’inquiétait vraiment je pense, alors mon frère était venu pour qu’on discute. Il était pas mal prit dans sa vie alors il ne se rendait pas forcément compte de ce qu’il se passait. Mais il était quand même venu et on avait passé pas mal de temps ensemble, il voulait que je comprenne qu’ils n’aimaient pas ce que j’étais en train de faire et que je prenais le mauvais chemin. Il était moins direct que les parents, mais je savais qu’il pensait la même chose. Je comprenais. Ça passait mieux venant de lui et j’avais promis de faire moins de conneries dans un sourire… Mais j’allais en faire d’autres.
Avec une amie, on s’était fait notre premier tatouage ensemble. J’en rêvais depuis longtemps alors j’avais franchis le pas. Je ne savais pas trop comment ça allait être accueilli mais lorsque mon père l’a vu… Ça a été comme la troisième guerre mondiale. Il voyait très mal les gens avec les tatouages, à ses yeux, c’étaient tous des voyous et il refusait que je sois comme ça. Alors il n’avait pas arrêté durant des heures et même pendant le repas du soir il me prenait encore la tête en disant que je prenais un mauvais tournant, que je n’avais pas intérêt à recommencer parce que sinon, ça irait très mal. Je souriais intérieurement parce que je m’en fichais de son avis fermé ! Les gens tatoués n’étaient pas tous des gens bizarres, les mentalités avaient évolués depuis longtemps, mais la sienne restait fermée. Et j’ignore pourquoi, mais j’avais envie de le provoquer encore et encore, parce que je souhaitais connaître ses limites et plusieurs semaines plus tard, je revenais à la maison avec un nouveau tatouage qui avait provoqué une nouvelle crise. Je ne m’étais pas arrêté là et les tatouages qui recouvrent ma peau le prouvent, ce qui fait que je suis encore et toujours en conflit avec mon père. Ma mère ne le prenait pas très bien, mais elle n’était pas si virulente que mon père et je m’accrochais encore à elle, comme je le faisais quand j’étais enfant.
Après la fin du lycée, j’avais arrêté mes études. Je ne voulais plus me rendre en cours et cela ne m’intéressait pas plus que cela. À la place, je prenais des petits boulots et ainsi, je pouvais faire tout ce que je voulais avec l’argent que je gagnais. Je me sentais mieux ainsi. Je n’étais plus dépendant de mes parents. J’attendais le bon moment pour encore plus prendre mon indépendance et lorsque j’ai eu vingt-et-un ans, je l’ai fais. Je m’étais trouvé un petit appartement, j’avais de quoi payer le loyer donc je n’avais pas hésité très longtemps. Il fallait que je m’éloigne de l’ambiance pesante qui régnait chez moi sous prétexte que je ne faisais rien comme ils voulaient. D’autant que mon père souhaitait que je rejoigne le restaurant familial, mais j’en avais pas envie. Être tout le temps avec lui me rendrait probablement dingue et je ne voulais pas prendre ce risque.
Mais il y a quelques mois, je me suis mis de côté. Je voyais bien que mon frère allait mal depuis sa rupture mais je ne pensais pas que c’était à ce point. Je lui avais rendu visite et j’avais compris en voyant la boite de médicaments vide qu’il avait voulu se foutre en l’air, le con… Ça m’avait complètement perturbé, traumatisé. Pendant un court instant je me suis imaginé une vie sans lui et ça m’a littéralement brisé le cœur. Je pouvais paraître égoïste et je l’étais probablement sur beaucoup de points, mais pas avec la famille. À partir de cet instant, je me suis dis que j’allais l’avoir à l’œil et lorsqu’il a rejoint le restaurant, j’ai fais la même chose… Je ne le voulais pas de base, mais pour lui, j’étais prêt à faire ce sacrifice parce que je savais qu’il en avait besoin. Cela ne me rend pas franchement heureux parce qu’avec mon père, l’ambiance reste tendue, mais je suis ainsi, je sais me mettre de côté lorsque c’est nécessaire. Après, je ne suis pas certain de tenir longtemps si mon paternel me fait sans cesse des reproches sur ma manière de faire les choses qui ne sont pas comme il le souhaite. Mais ça, je verrais bien.
all the single ladyton pseudo : pl.
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