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Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava.

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Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Empty
MessageSujet: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 7:09


Ava Cadbury
Si l'on me perd, sache que je serai la tienne et au creux de ses bras, la mort nous bercera

Nom : Cadbury, comme la marque alimentaire, mais c'est un hasard. Prénom : Ava, c'est court et sa mère disait que c'était poétique, elle n'a pas toujours été d'accord. Âge : 28 ans bien entamés, la trentaine approche un peu trop vite. date et lieu de naissance : le 13 avril 1986 à Memphis, elle n'a pas tant bougé. vos origines : Elle est américaine en majorité, mais sa mère a ramené quelques vieilles origines françaises avec elle. Métier : Blogueuse, oui, c'est un métier, oui, elle en vit maintenant, et oui, même à son âge ! Orientation sexuelle : Hétéro, même si durant son adolescence, elle s'est posé des questions. Statut matrimonial : Elle est en couple, même si ce n'est franchement pas la joie en ce moment. En plus de ça, elle est enceinte... côté financier : Elle se débrouille, même si elle ne roule pas sur l'or. Caractère : Enfantine, paranoïaque, douce, instable, amicale, impulsive, illogique, bordélique, colérique, mélancolique (avec elle, y a toujours un "ique"), passionnée, entière, romantique, incertaine, sensible, susceptible... groupe : Haut les coeurs


the last song
Ava, elle voudrait se marier, mais elle attend que son petit-ami lui demande, parce qu'elle est trop romantique et trop peu sûre d'elle pour en parler. Alors elle attend en silence, mais elle en a marre d'attendre. Elle aime, elle hait, elle écrit, elle lit, elle rit, elle vit, et quand elle le fait, c'est à fond. C'est quelqu'un d'entier, un peu trop d'ailleurs, elle se laisse vite envahir par ses pulsions et fonce vers elles tête la première avant de se rendre compte qu'elle se trompe. C'est épuisant pour les autres, et pour son petit-ami surtout. Elle est enceinte de quatre petits mois. Un petit être grandit en elle mais elle n'arrive pas à s'y faire, elle n'arrive pas à comprendre. Elle n'est pas prête à être mère, mais elle le sera bientôt, et ça la fait paniquer. Ava, elle a peur de tout, tout le temps. Ou non, pas de tout, elle a peur de tout ce qui concerne son petit-ami, en particulier. Lorsqu'il rentre cinq minutes trop tard, elle l'imagine déjà dans les bras d'une autre, quand il sort un sac du placard, elle le voit déjà la quitter. Elle a tellement peur de le perdre qu'elle lui rend la vie impossible. Elle aime la fête, en tout cas elle aimait ça. Elle aime boire aussi, et souvent ça va avec. Le truc, c'est qu'étant enceinte, elle n'est pas censée boire une seule goutte d'alcool, et elle déteste ça. Alors, elle boit en cachette, ouais, c'est con, mais elle n'a trouvé que ça. Et souvent, elle s'endort après avoir un peu trop bu, un peu trop déliré, et son frère, ou son petit-ami, vient la chercher et la sermonne après. C'est une enfant, ni plus ni moins. Elle a beau avoir 28 ans passés, certains disent qu'elle n'est pas finie. Elle n'est pas idiote, ça non, seulement, elle a une façon un peu différente de penser. Elle ne comprend rien aux maths et ne pense pas toujours d'une façon très logique, elle s'émerveille d'une pâquerette et rit aux éclats lorsqu'elle est de bonne humeur. C'est ce qui fait son charme, et ce qui agace en même temps. Elle est blogueuse, elle a créé son propre métier, et elle en est fière. Son blog parle de la vie, il raconte sa façon de penser, ses coups de coeur et ses coups de gueule, c'est ce qui a fait son succès. Depuis quelques temps, elle se filme, surtout lorsqu'elle ne va pas bien et qu'elle a besoin d'aide. Son petit-ami lui dit parfois, lorsqu'il est en colère, qu'elle devrait aller se faire soigner. Lorsqu'il dit ça, elle se met aussitôt à pleurer. Elle n'a pas l'impression d'être folle pourtant, mais c'est ce qu'on lui fait comprendre. Ava, elle a tellement besoin d'amour, tellement besoin d'attention, qu'elle a vite l'impression que lorsqu'on ne lui dit pas constamment qu'on l'aime, on ne l'aime pas. C'est comme ça qu'elle s'est mise à penser que son petit-ami ne pensait plus à elle comme avant. C'est une fanatique de comédies romantiques, elle les collectionne et c'est son type de films favori. Sensible, elle pleure constamment devant ces beaux films, qui la font rêver. Ses favoris, ce sont sans doute PS : I Love you et The Notebook.

all the single lady
ton pseudo : Emi Burton âge : 19 ans pays : France fréquence de connexion : 7/7 en théorie comment t'es arrivé ici? : Bonne question, sans doute bazzart Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 2925365648   un commentaire? : ça fait un moment que j'ai le fo dans mes favoris, alors me voilàààà !! Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3079596329  Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3079596329
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 7:09

story of my life

La société d’aujourd’hui –tout comme celle d’hier, à vrai dire- a toujours une idée fixe de ce qu’est une fille, et de ce qu’est un garçon. Une fille joue à la poupée, aime le rose, est fan de princesses et rêve de devenir danseuse étoile, ou d’épouser un prince charmant qui arriverait sur un cheval blanc. Un garçon préfère les jeux d’action, aime le bleu, est fan de super-héros et rêve, quant à lui, d’en devenir un, ou bien d’être le descendant de James Bond. On nous inculque un stéréotype qui nous oblige à juger ce qui, selon ces critères, est bien ou mal pour une fille ou un garçon. Ava, elle, n’avait donc rien de normal, pour une fille. Elle n’avait que trois poupées : une avait perdu ses cheveux lors d’une attaque de monstre géant, une autre avait perdu une jambe et un bras lorsqu’un astéroïde s’était écrasé sur la Terre, et la dernière n’avait plus de tête, décapitée par Alinus l’extraterrestre misogyne. Elle n’avait jamais aimé cette figure blonde et toujours parfaite, ce sourire niais et ces yeux bleus, cette silhouette svelte et ses pieds incapables de la faire tenir au sol. Non, elle, ce qu’elle préférait, c’était sa réplique de Spider-man, trouvée un jour dans un magasin de comics, en même temps qu’un volume de ses extraordinaires aventures. C’était lui, son modèle : Spider-man. Son frère, c’était Batman. A Halloween, chacun se déguisait en son héros favori, et ils s’amusaient à s’affronter, n’hésitant pas à se battre réellement jusqu’à ce que leurs parents les séparent finalement. Elle adorait son frère, bien sûr, mais quiconque insultait Spider-man subissait le courroux de la petite brune. Garrett avait deux ans de plus qu’elle, il était plus calme, plus stable aussi, tempérant toujours le caractère un peu trop fou d’Ava, sans pour autant se priver d’être complice de quelques bêtises. On aurait pu croire à des jumeaux tant ils étaient inséparables. Un jour qu’il courait après sa sœur, qui avait kidnappé sa cape Batman, riant tout en lui hurlant de la lui rendre, un vase se fracassa au sol, déstabilisé par le passage des deux enfants-furies, le bruit de brisure se faisant entendre à travers toute la maison. Les deux garnements s’arrêtèrent nets, paniqués par ce qu’ils venaient de faire. « C’est ta faute ! C’est toi qui l’as renversé ! Maman va se fâcher à cause de toi ! » Le garçonnet accusait ainsi sa sœur, refusant de prendre la faute pour lui, mais Ava n’avait pas l’intention de se laisser faire. « C’est pas vrai ! C’est toi qui es passé en dernier ! Il était toujours debout quand je suis passée ! C’est ta faute ! » Ils se chamaillaient en quelques murmures alors que la voix de leur mère s’éleva soudain à l’étage. « Les enfants ? C’était quoi ce bruit ? » Aussitôt, les deux enfants se précipitèrent sur les morceaux de porcelaine éparpillés sur le sol pour cacher leur bêtise. Leur mère apparut bien vite en face d’eux, bras croisés sur sa poitrine, fixant ses deux petits monstres, qui faisant comme si de rien n’était, l’allure typique d’un enfant pris en faute. « Qu’est-ce que vous cachez tous les deux ? » Ava et Garrett sourirent alors de toutes leurs dents, priant pour que leur mère ne remarque rien, mais c’était trop tard. Elle les écarta et constata aussitôt les dégâts. « Mon Dieu ! Mon vase ! C’était un cadeau de mariage ! Qui a fait ça ?! » Les deux enfants se pointèrent l’un l’autre du doigt en criant : « C’est lui/C’est elle !!! » La mère, qui connaissait assez ses enfants pour savoir qu’ils passaient leur temps à s’accuser l’un l’autre, posa ses poing sur ses hanches, mécontente. Au final, ils finirent punis tous les deux, pour ne pas avoir fait assez attention. Ava détestait les punitions. Ne tenant jamais en place, rester assise sur une chaise pendant plus de deux minutes l’angoissait. Et surtout, elle avait toujours la sensation qu’on la punissait parce qu’on ne l’aimait pas. Elle avait un besoin si important d’amour qu’elle ne supportait pas qu’on ne lui montre pas à quel point elle était aimée. C’était comme ça, il n’y avait pas de raison à son besoin, pas de traumatisme, en tout cas aucun dont elle eût conscience. C’était épuisant pour les autres, mais elle n’arrivait pas à se débarrasser de ce sentiment d’être délaissée chaque fois qu’on oubliait de lui montrer qu’elle était chérie.


Elle avait dix-huit ans lorsqu’elle tomba réellement amoureuse pour la première fois. Adolescente assez instable et toujours si particulière, elle n’avait pas énormément d’amis, alors ce fut son frère qui lui présenta celui qui allait faire battre son cœur. Garrett l’emmenait un peu partout, la traînant parfois comme un accessoire à toutes les soirées auxquelles il était invité. Aimant la fête, et surtout l’alcool, la jeune femme ne se privait rarement de ces soirées. Au final, son cercle d’amis était de près le même que son frère, faisant ainsi d’elle la benjamine du groupe. Et pourtant, elle était bien loin d’être exclue. Les garçons craquaient souvent pour elle, avant de réaliser une semaine après avoir entamer un semblant de relation qu’elle était presque impossible à gérer. Toujours trop inquiète, demandant toujours trop d’attention, ils finissaient rapidement par se lasser. Elle n’avait donc jamais eu de vraie relation, jamais assez longues pour laisser le temps à l’amour de s’installer vraiment. Mais lorsque son frère lui présenta Nathan, ce fut totalement différent. Peut-être bien qu’elle était tombée amoureuse de lui au premier regard. Il était beau, les yeux bleus, teintés de marron, les cheveux rouges, autrefois blonds, colorés par une amie qui s’était mise en tête qu’un look plus rock lui irait bien au teint. Elle avait eu raison. Sa veste en cuir, elle en était folle. Il avait vingt-et-un ans, un an de plus que son frère, trois de plus qu’elle. Mais qu’est-ce qu’elle l’aimait, ce Nathan. Il vivait pour la musique, et ça lui plaisait. Il parait que les filles sont toujours folles des musiciens, peut-être que c’est vrai. Ca l’était pour elle en tout cas. A dix-huit ans, elle était convaincue qu’il s’agissait de l’amour de sa vie, comme on le pense souvent de son premier amour. Elle lui offrit sa virginité après deux mois de relation, pensant qu’ils avaient assez attendus, qu’il était temps. Elle était si sûre d’elle. Il la supportait, et c’était déjà tellement exceptionnel, pour elle. Il l’acceptait toute entière, avec ses centaines de messages par jour et son besoin constant d’amour, il était toujours là pour la rassurer, même lorsqu’elle appelait à trois heures du matin juste pour l’entendre dire qu’il l’aimait. Pour sûr, il était solide. Lorsque le lycée prit fin, elle s’installa avec lui dans son appartement, pensant que c’était ça, la vie de rêve. En vérité, elle avait tellement insisté qu’il avait fini par accepter à contre cœur. Tous les soirs, elle l’écoutait jouer de la guitare, admirant ses doigts fins se promener sur les cordes de l’instrument tout comme ils caressaient son corps la nuit venue. Leur relation dura un an. Un an de passion, à la fois brillante et déchirante. Elle ne faisait pas d’étude, ne trouvant pas sa place dans ce monde, ne comprenant pas l’utilité d’étudier alors que tout était à découvrir là, dehors. Alors elle travaillait, simple serveuse dans un bar à moitié fréquentable, mais elle s’en contentait. Lui, il essayait de percer dans la musique. C’était ce qu’il disait, du moins. La vérité, c’était qu’il restait chez eux toute la journée à gratter sa guitare, ou jouant le soir dans un bar encore moins fréquentable que le lieu de travail d’Ava. Et un soir, Ava découvrit la vérité sur ses occupations journalières. Elle rentrait en traînant les pieds, plus tôt que prévu, après avoir été virée pour avoir jeté un verre à la figure d’un client après une remarque un peu trop enjôleuse à son goût. Le pauvre homme s’en était sorti avec des points de suture, et son patron lui avait hurlé qu’elle était folle. Mauvais journée pour elle. Elle s’imaginer voir son Nathan tout sourire l’accueillir, lui dire que tout irait bien en lui caressant doucement les cheveux, mais il en fut tout autrement. Elle ouvrit la porte de l’appartement et la première chose qu’elle vit fut une jupe posée négligemment sur le sol. Ce n’était pas la sienne. Dès lors, elle sut ce qui arrivait, mais, comme pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas, elle s’approcha de la chambre, et découvrit l’affreux spectacle : son homme avec une autre, une blonde, le stéréotype de la femme parfaite, bien loin de ce qu’elle était, elle. Elle fut si choquée qu’elle ne fit aucun bruit. Elle resta là, devant la porte, à les regarder s’envoyer en l’air sans la remarquer. Puis, quelques secondes plus tard, elle craqua la porte et partit en courant. Elle courut longtemps, peut-être bien une heure, jusqu’à arriver chez son frère, dégoulinante de sueur, son maquillage étalé sur ses joues tant elle avait pleuré. Lorsqu’il ouvrit, il la prit aussitôt sans ses bras, comprenant que la situation était grave. Il ne posa aucune question, la laissa simplement pleurer en s’installer avec elle sur le canapé. Un peu plus tard dans la soirée, elle se décida enfin. « Il m’a trompée avec une blondasse… » Elle avait parlé comme une enfant en colère, et lui avait resserré son étreinte. Il y eut un silence pendant lequel, elle le savait, son frère essayait de contenir sa colère pour ne pas exploser. « Il va me le payer ! J’vais lui refaire le portrait à ce porc ! » Elle sourit, touchée par la réaction de son frère. « Est-ce que je peux rester ici quelques temps ? » Garrett lui embrassa le front, ruminant sa rage. « Evidemment, autant que tu veux. » Il était son soutien, son ange gardien. Le lendemain, il alla prendre les affaires d’Ava à sa place. Lorsqu’elle revit son ancien petit-ami, celui-ci arborait un gigantesque œil au beurre-noir, faisant concurrence à son nez brisé.


Elle avait 24 ans lorsqu’elle rencontra l’amour de sa vie. Sa précédente histoire d’amour l’avait brisée, si bien qu’après ça, elle n’eut que des histoires courtes, voire même d’une nuit seulement. Elle avait bien trop, bien trop peu confiance en l’homme. Le seul qui la rassurait, c’était son frère. Elle était restée avec lui bien plus longtemps que prévu, plus de deux ans, à vrai dire, avant de prendre son courage à deux mains et tenter de vivre seule. Elle n’était pas douée pour vivre seule. La cuisine, ce n’était pas son fort, tout comme le rangement, bordélique dans l’âme, son appartement ressemblait presque à une garçonnière. Ces années furent assez douloureuses pour elle, elle ignorait quoi faire de sa vie, croyant bêtement autrefois que l’amour était ce qui la guidait. Elle n’avait donc, en son sens, plus rien. Ce fut durant cette période qu’elle créa son blog. Sobre, simple, fait à l’origine pour passer le temps, elle écrivait ce qu’elle ressentait, son quotidien, sous forme de rubriques, qui commençaient déjà à plaire. Elle en était fière de son blog, même si ce n’était pas grand-chose en soi. Mais ça la faisait se concentrer sur quelque chose, ça calmait un peu ses multiples angoisses. Le jour où elle le rencontra était un jour ordinaire, un de ces jours où elle rentrait chez elle les pieds en compote et se jetait sur son ordinateur pour voir si de nouveaux commentaires étaient apparus sur son blog. Ce jour-là, un ami fêtait sa première année de mariage avec sa femme. Elle n’avait pas assisté à la fameuse cérémonie, mais elle était invitée pour célébrer leurs noces de coton. En vérité, elle n’avait pas vraiment envie d’y aller, mais elle c’était trop tard pour annuler. Elle se rendit donc à la fête, bien habillée, toilette impeccable, un petit cadeau avec elle. Lui aussi était un invité à la fête, un ami de ce couple, un homme qu’elle n’avait pourtant encore jamais vu à leur côté. Un coup de foudre, c’était l’expression qu’elle employait lorsqu’elle parlait de sa rencontre avec lui. On lui disait souvent, à ce propos, que ce n’était qu’une histoire d’apparence, le coup de foudre, que ça n’avait rien à voir avec la personnalité, que c’était surfait, superficiel, mais ce n’était pas ce qu’elle avait ressenti. Ce n’était pas pour son apparence physique qu’elle avait eu le coup de foudre, non, c’était bien plus que ça, comme si tout son être s’était soudain amouraché de son être, à lui. Tout entier, sans limite, sans exception. Comme si au fond d’elle, au moment-même où elle avait posé ses yeux sur lui, elle avait sondé son âme, et il en avait fait de même. Il avait une aura particulière qui l’avait immédiatement séduite. Tout au long de la soirée, ils n’avaient fait qu’échanger des regards plus ou moins discrets, en coin, se souriant chaque fois que leurs yeux se croisaient, puis finalement, il s’approcha d’elle et lui tendit la main. « Est-ce que tu voudrais danser avec moi ? » Personne ne l’avait jamais invitée à danser, jamais de cette manière, jamais comme ça. Alors elle avait tout bêtement souri et accepté, s’embarquant dans la plus grande aventure de sa vie. Ce soir-là, il la raccompagna chez elle, comme le gentleman qu’il était, et ils s’échangèrent leurs numéros pour être sûrs de se revoir un jour, certainement pas prêts à se laisser filer. Il ne lui fallut que vingt minutes pour se décider à l’appeler, déjà incapable de se passer de lui. En décrochant, il ne put s’empêcher de rire. « J’allais t’appeler ! » « Est-ce qu’on peut se revoir ? Demain ? » Elle se précipitait trop, comme toujours, ne mesurant pas assez les risques pour son pauvre cœur trop sensible, et pourtant, avec lui, elle était persuadée que les risques étaient grands. Il y eut un silence qu’elle trouva insupportable puis, au bout d’une ou deux minutes, il soupira –non pas d’ennui, mais d’émotion. « Oui, bien sûr. Je passe te prendre à vingt heures ? Je vais t’emmener quelque part. » Elle accepta immédiatement, et le lendemain, elle passa la journée à se préparer, veillant à être la plus parfaite possible, racontant sa rencontre sur son blog comme une enfant qui venait de voir le Père Noël. Le soir venu, il sonna à sa porte, la complimentant sur sa toilette, puis l’embarqua avec lui dans sa voiture. Ils roulèrent longtemps, selon elle, d’abord en silence, tous les deux intimidés par l’autre, puis, au bout d’une dizaine de minutes, les rires emplissaient le véhicule. Lorsqu’ils s’arrêtèrent, ils étaient au milieu de nulle part. Un champ, à peu de choses près. Il n’y avait personne, ils étaient seuls. Alors qu’elle commençait à se méfier de cet homme à l’allure un peu trop parfaite et de ce champ un peu trop vide, des feux d’artifice jaillirent dans le ciel, arrachant un léger cri de surprise à la demoiselle. « Tu sais quel jour on est ? » Elle secoua la tête à la négative, n’ayant pas pensé à regarder la date sur son calendrier. Il sourit. « Le quatre juillet, fête nationale. » Elle avait passé toute sa journée enfermée, et n’avait pas réalisé qu’aujourd’hui, on fêtait l’indépendance des Etats-Unis, dans son nuage. Elle se frotta l’arrière de la tête, légèrement gênée de paraître si idiote. « Je n’avais pas réalisé… » Il se contenta de rire et lui attrapa doucement la main. Après ça, ils ne se quittèrent plus.


Elle avait 28 ans, lorsqu’elle tomba enceinte pour la première fois. Presque quatre qu’ils étaient ensemble. Elle l’aimait comme au premier jour, sinon cent fois plus. Il était le premier à la supporter si longtemps, à lui apporter un équilibre, à rassurer la grande angoissée qu’elle était, sans pour autant se laisser faire. Il était parfait pour elle. Même si ce n’était pas toujours facile, ils faisaient route ensemble, et pour elle, ils iraient jusqu’au bout du chemin. Il était son âme-sœur, son véritable amour, alors lorsqu’un jour, elle vit cette petite croix sur un test de grossesse qu’elle avait acheté dans le doute, après un léger retard ce mois-ci, elle hurla de joie. A cet instant, la peur qui suivrait n’était pas encore apparue, tout ce qu’elle voyait, c’était qu’elle allait avoir une famille, avec lui. Elle tremblait tant elle était heureuse, et en moins d’une minute, son cri de joie avait alerté son compagnon qui se précipita dans la salle de bain pour voir ce qui arrivait. « Qu’est-ce qu’il y a ?! Ca va ?! » Il avait eu peur, ça se voyait. Avec elle, il devait s’attendre à tout, certainement. Ils vivaient ensemble depuis environ un an maintenant, et il n’était toujours pas réellement habitué à la façon qu’elle avait de vivre, à tous ses extrêmes, ni au fait qu’elle passait ses journée à préparer des articles et des vidés pour son blog, devenu depuis peu son emploi à plein temps. Au moment où il entra dans la salle de bain, elle tourna son regard vers lui, au bord des larmes, tenant le test positif dans les mains, incapable de parler. Il reprit son souffle un instant, comprenant que ce cri n’avait rien d’un cri de panique, puis aperçut enfin le test et s’arrêta net. Pendant un instant il y eut un silence de mort, aucun des deux n’osant prononcer le moindre mot, puis il s’approcha, et prit finalement la parole. « Est-ce que tu… » Elle hocha la tête, confirmant ce qu’il pensait sans même qu’il ait eu le temps de finir sa phrase. Encore un instant de silence, et il s’approcha d’avantage. « Tu es sûre de toi ? » Il hocha une nouvelle fois la tête. A vrai dire, ce n’était pas le premier test qu’elle faisait, et tous indiquaient la même chose, et chaque fois, elle devenait folle. Il baissa la tête, se frotta l’arrière du crâne, sans doute perturbé, avant de sourire, d’un large et beau sourire. Puis il s’approcha encore et la souleva avant de la serrer dans ses bras et de l’embrasser. « On va avoir un bébé alors ?! » Elle hocha de nouveau la tête, toujours incapable de le formuler. Elle avait pleuré, ce jour-là, et lui n’en était pas loin non plus. Un bébé. Un bout de chacun d’eux dans un être humain. Après quelques instants elle posa la main sur le bas de son ventre, prenant soudain conscience de ce que ça signifiait. « On va avoir un bébé… » Elle avait prononcé ces mots à voix basse, le regard perdu, comprenant qu’à présent, il n’y aurait plus qu’elle, qu’ils seraient deux. Trois. Quelques minutes après l’intense joie qu’elle avait ressentie, voilà qu’elle avait peur. Elle n’entendait plus rien, pas même son petit-ami, le regard vague, elle imaginait son avenir, ce bébé, ce que ça signifierait pour elle. Pendant quelques secondes, elle comprit que plus rien ne serait plus comme avant. Est-ce qu’elle était vraiment prête pour ça ? Est-ce qu’elle était assez responsable, assez bien pour être une mère ? Elle n’en était pas sûre. Elle était loin d’être un modèle, à faire la fête à n’en plus finir lorsqu’elle le pouvait, pratiquement addicte à l’alcool, adolescente dans un corps d’adulte, à peine gérable, énormément tourmentée. Et si ça gâchait tout ? Et si ce petit être venait la séparer de son petit-ami ? Elle avait peur de ça, aussi. Soudain, la joie de porter la vie s’estompa. Elle s’écarta du père de cet enfant et sortit de la pièce, déboussolée. Il ne comprenait pas. « Tu n’es pas heureuse ? Ava, on va avoir un bébé ! Toi et moi ! C’est merveilleux non ? » Elle le regarda, doucement, partagé entre l’envie de le serrer fort dans ses bras et l’envie de l’étrangler. Elle était comme ça Ava, cette contradiction ambulante qui ne cessait de se poser mille questions inutiles et se tourmenter pour des choses si simples. Ce bébé, elle avait peur de le mettre au monde.


Quatre mois qu’elle était enceinte. Qu’elle portait la vie en elle. Elle n’avait toujours pas réalisé. A vrai dire, elle faisait comme si de rien n’était, même si son ventre grandissait de jour en jour. Plus le temps passait, plus la situation empirait. Ce bébé, elle n’était pas vraiment sûre de le vouloir, elle n’était pas sûre d’en être capable. Alors elle faisait n’importe quoi, agissant comme une enfant capricieuse, sortant sans se soucier du danger potentiel pour ce petit bébé, buvant comme si de rien n’était alors qu’elle n’avait en théorie pas le droit de boire. Elle était devenue une honte. Et son petit-ami ne la supportait plus. Il ne la touchait plus, et ça ne faisait qu’augmenter l’angoisse de la jeune femme, qui se mettait déjà à l’imaginer dans les bras d’une autre, plus jolie, plus jeune peut-être, et surtout pas enceinte. Elle ne supportait pas cette vision qu’elle avait constamment lorsqu’il partait un peu trop longtemps, alors, lorsqu’il avait un peu de retard, elle le harcelait de messages, d’appels, l’insultait, lui hurlait dessus, le menaçait, folle à lier qu’elle était. Et chaque fois, il revenait, plus énervé encore que les fois précédentes, lassé d’avoir à supporter ses frayeurs. Et le soir, elle sortait, sans lui, elle sortait s’amuser telle une adolescente et buvait jusqu’à ce qu’un de ses amis la trahisse et appelle son petit-ami, ou son frère. « Arrête de boire !! Arrête ça ! Tu comprends pas qu’il n’y a plus que toi maintenant ?! Tu te mets en danger, et tu mets en danger le bébé ! T’es plus une adolescente Ava, arrête ça tout de suite !! » Voilà qu’il s’énervait encore, elle en avait assez de l’entendre crier, surtout lorsqu’elle avait quelques verres en trop dans le sang. « Arrête de crier… Viens plutôt m’embrasser… Pourquoi tu m’embrasses plus… ? » Elle soupirait, la tête lourde, à moitié consciente. Il serrait les poings en la voyant dans cet état, il ne l’avait jamais vu comme ça. Depuis qu’elle était enceinte, c’était à croire qu’elle faisait tout pour blesser ce bébé. Il avait mal de la voir ainsi. « Regarde-toi… Tu empestes l’alcool alors que tu es enceinte ! Qu’est-ce que tu fais, Ava ? » Il était désespéré. Il l’aimait, oui, ça oui il l’aimait, mais elle était si mal qu’il ne savait plus quoi faire. Il soupira, puis tourna les talons pour ne pas montrer à quel point il était blessé. Cependant, la brunette ne l’entendait pas de cette oreille, et elle s’approcha rapidement de lui pour le retenir. « Reste avec moi ! Tu restes avec moi ce soir, hein ? Allez embrasse-moi ! Touche-moi ! Fais quelque chose ! Pourquoi tu ne me regardes plus… ? » Elle se mit à pleurer, comme à chaque fois il fermait les yeux en détournant le regard, la mine presque dégoûtée. Comment avaient-ils pu en arriver là ? Ils s’aimaient tellement pourtant. La folie emportait doucement la jeune femme et elle était incapable de la freiner, et lui n’avait aucune idée de comment la stopper. « Pourquoi on ne se marie pas, hein ?! Tu ne veux pas m’épouser ?! On pourrait se marier, c’est ce que les gens font normalement non ?! » Elle était saoule, et dévoilait ce qu’elle voulait secrètement depuis déjà bien longtemps : elle voulait qu’il la demande en mariage, qu’il la rassure, qu’il lui dise qu’il n’y avait qu’elle, qu’il n’y aurait jamais plus qu’elle. Mais chaque fois, c’était la même chose. Il soupirait une dernière fois, puis la poussait à le lâcher, plaçant une distance entre eux qu’elle trouvait insupportable. « Pourquoi ?! Regarde-toi un peu bon sang !! Tu fais n’importe quoi, ça changerait quoi de se marier ?! Je céderai pas à ton petit jeu, ne compte pas sur moi ! » C’était tout le temps pareil. Il se détournait d’elle, et au moment où il le faisait, elle lui jetait ce qu’elle trouvait à la figure –un coussin, en l’occurrence- et se remettait à pleurer, plus fort cette fois, désespérée. « Tu vois quelqu’un d’autre c’est ça ?!! C’est pour ça que tu rentres si tard, et que tu ne me touches plus ?!! Qui c’est ?! Dis-moi !! Arrête de faire comme si de rien n’était, je sais que tu vois quelqu’un d’autre !! Salaud ! Je te déteste !! Je te hais !! » Elle partait toujours en vrille, traumatisée par son premier petit-ami, n’ayant aucune confiance en elle. Il avait l’habitude, et pourtant, il réagissait toujours de la même manière. « T’es complètement barge ! Tu me fatigues Ava, vraiment, j’en ai assez de tout ça ! Quand est-ce que ça va s’arrêter ?! Combien de fois il faut que je te rassure, que je te dise qu’il n’y a personne d’autre pour que tu me croies ?! J’en peux plus… T’es en train de nous tuer tous les deux, tu comprends ça ?! Je pensais qu’on allait être heureux, qu’avec un bébé tu serais rassurée, que tu te calmerais, mais c’est pire… Qu’est-ce qu’il te faut de plus ?! » Il était au bord des larmes lui aussi, épuisé par elle, mais elle était trop aveugle pour le voir. Et il partait s’enfermer dans ce qui leur servait de bureau, laissant Ava de nouveau seule. Ils se détruisaient à petit feu, lentement, pourtant fous l’un de l’autre. C’était sans doute ça le problème. Ils étaient fous. Elle était folle. Et plus le temps passait, plus elle s’enfonçait.
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 7:11

felicity, excellent choix Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3213263352
bienvenue parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 8:17

Hellcome I love you

Bonne continuation pour ta fiche Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3213263352
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 9:02

Bienvenue parmi nous ma belle !
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 9:32

Oh quelle est jolie Felicity ! scratch scratch Garde moi un lien

Bienvenue et bon courage pour ta fiche!!! scratch scratch :crush:

A très vite! :crush:
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 10:20

Merci à tous Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 247030707
Et Tamara, toujours okay pour un lien !
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Chloe Sheeran
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 10:21

bienvenue mademoiselle Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 10:40

Alors déjà je tiens à dire que Felicity est un choix juste parfait, et ensuite ton personnage est déjà vraiment très intéressant. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537
Bienvenue parmi nous la belle, bon courage pour ta fiche et n'hésite pas à contacter le staff au besoin. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 4079240578
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 11:21

Quel beau choix d'avatar ! Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 14:26

Bienvenue :D
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 14:27

Bienvenue la belle, felicity est superbe alors si tu as des questions, le staff est là pour toi :crush:
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 20:11

L'est joulie Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537 Bienvenue parmi nous ♥️
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 20:29

Bienvenue à toi !
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 20:39

Merci à tout le moooonde Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537 Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3079596329 Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 1448151159
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyJeu 26 Fév - 22:37

Enceinte avec un couple qui ne va pas super bien. Ça ressemble à Bruce et sa femme ça ! Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 2925365648 Ça pourra leur faire un point en commun, tiens !

Bonne chance pour ta fiche et réserves-moi un lien ! Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 4079240578
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptySam 28 Fév - 1:01

De bons points communs ça Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3213263352
Avec plaisir, merci ! Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3070487526
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptySam 28 Fév - 10:52

Bienvenue sur le forum la miss **
Bonne chance pour ta fiche et surtout amuses-toi bien parmi nous ** !
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyDim 1 Mar - 0:06

Bienvenue Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3555259597
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyLun 2 Mar - 12:34

Bienvenue Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 1984371695
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyMar 3 Mar - 20:03

Merciii Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyMar 3 Mar - 21:37

Pardon pour le dp x.x
J'aimerais demander un petit délai, je ne sais pas si je pourrai terminer ma fiche d'ici les deux prochains jours, j'ai quelques difficultés en ce moment... Est-ce que ce serait possible ? Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 1448151159
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyMar 3 Mar - 23:40

Bien sûr ma belle, tu aurais besoin de combien de temps ? I love you
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyMer 4 Mar - 0:50

Jusqu'à dimanche, ça irait ? Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 3848817537
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. EmptyMer 4 Mar - 21:39

Tu as donc jusqu'à dimanche sans problème. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. 1621262622
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MessageSujet: Re: Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Ava | Mais ne sors pas si tu souffres, mon Ava. Empty

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