You can unfollow people in real life too you know.
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Sujet: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 13:15
Andrea Bošković
Pour des raisons de budget, la scène suivante sera entièrement bruitée à la bouche
Nom : Bošković, la lijepa nasa domovino retentit, en arrière fond, croatie qui hurle comme un cochon qu'on égorge. Bošković - circoncit pour des besoins d'intégration en Bosco - pirouette bureaucratique de taille, nom amputé de plusieurs lettres. Avant, ça donnait à quiconque le portait une gueule de bouffeur de peka maintenant, ça lui donne surtout une fiole de macaroni, ce qu'il n'est pas. Il s'offusque souvent, Andrea, renifle profondément. Se lance dans des débats consensuels suintant un patriotisme à deux balles. √Prénom : Andrea. Il pardonne facilement l'affront de porter un prénom de donzelle. qui lui file un surnom tout aussi dégueulasse : Drea. alors, les gars, les bandits avec lesquels il traine l'ont surnommé Dr Drea. Pas sûr que ça ajoute du poids à la balance. pas assez , à son goût. de toute façon, monsieur à la folie des grandeurs. √Âge : vingt-six haltères lui ayant souvent coûté un rein. vingt-six grains, pas un seul plomb, ni dans la cervelle, ni dans la molaire. et ça, ça craint. √date et lieu de naissance : une ville côtière croate, Zadar. S'il en ressent encore le soleil, Zadar n'est plus qu'un souvenir. 4 Juillet. Il apprécie moyennement que les américains fêtent l'indépendance en même temps qu'il célèbre son anniversaire. Pas son truc de ne pas être le roi de la journée, le roi de la soirée, le roi, tout court. Info à ne pas louper : préférence particulière pour les montres. hein.√vos origines : croates ( et russes). Mais, bon, y'a pas de quoi casser des briques. √Métier : voiturier. Monsieur Bosco n'accepte que les pourboires de plus de vingt dollars. Votre Lamborghini, à moins qu'il y ait eu des avancées technologiques dont il ne serait pas au courant, n'ira pas se garer toute seule. Pour cinquante dollars de plus, il vous la bichonne, votre monture, messire.√Orientation sexuelle : muchachas, amigo. les femmes. girls. as mulheres. supruga la longueur de leurs guibolles, leurs regards expressifs et mutins. La feinte indolence. Les femmes, il les aime lorsqu'il s'exprime sans filtre : " avec de gros boobs et un gros boule". A bon entendeur. Pour les renégats qui arrangent des blind-date, sachez que ça demande une concentration maximale et un altruisme pontifical de se coltiner la reine des cagoles. alors, pour le respecter, payez-le. √Statut matrimonial : c.f question précédente. C'est independence day - sans les extraterrestres. Le principe reste le même : le désert, la survie. Autrement dit : le célibat incomplet. la nuance qui vient souvent tout faisander.√côté financier : c'est le crack boursier dans son portefeuille tous les jours, le pauvre. Parfois, certaines personnes ont beau se démener, bizarrement, c'est comme s'ils avaient des trous dans les poches. Un peu étrange, quand même, parce qu'Andrea, lui, il a des trous même dans son compte bancaire. Le rouge est sa couleur préférée. Il adore les nombres entiers négatifs. Comptable foireux, si un jour une banque fait faillite, il saura d'avance que c'est la sienne. Son conseiller s'arrache les cheveux. Andrea l'a connu détenteur d'une merveilleuse tignasse brune, tignasse qui a perdu tout volume et qui désormais est parsemée de mèches d'un blanc immaculé. Sa faute. Conseiller, surtout, qu'il voit en moyenne deux fois par mois et avec lequel il est pas loin de chanter kumbaya.Caractère : « Explique-moi » - et là, Andrea, il sait exactement ce qui l'attend. Liste non exhaustive : pourquoi t'es aussi con ? Pourquoi tu mens tout le temps ? Pourquoi tu reluques le moindre derrière que tu croises ? Pourquoi tu ne m'appelle pas assez ? Pourquoi ? A cet instant, Andrea, il prend une profonde inspiration, installe les filtres. Tout ce qu'il distingue ce sont ces lèvres carmins qui s'agitent. Non, il ne se fatiguera pas à faire semblant d'être intéressé par la diatribe qu'elle lui sert, époumonée. D'ailleurs, quelqu'un peut bien lui expliquer d'où lui vient cette idée qu'ils sortent ensemble ? « Je pensais que ». Seigneur, première nouvelle. Elle pense. Elle. Pense. « Tu m'écoutes ? » - franchement ? Non. Non, Andrea, il n'écoute jamais, c'est bien connu. « T'es qu'un égoïste » - elle va sûrement ajouter « sans coeur » : « sans coeur ». Voilà, il avait raison. Parce qu'une chose soit claire : monsieur a toujours raison. Ses tripes n'ont jamais failli. L'instinct. Andrea, il vogue vers l'horizon, comme il l'entend. Il abhorre qu'on puisse l'exhorter à faire quoique ce soit, voyez-vous. Pas pour rien qu'il enchaîne les jobs. Problème indubitable avec l'autorité. « Et toi ? ». Lui quoi ? « qu'est-ce que t'en penses ? ». Penser de quoi ? « nous ». Parce qu'il y a un « nous » qui se balade, quelque part, impunément. « deux secondes » crache-t-il, se relevant, enfilant sa veste, esquissant les quelques pas qui le séparent de la porte tambour. « Y'a pas de nous ». Et avant qu'elle n'ait le temps de lui hurler dessus, en lui balançant son sac à la figure, il se tire. Quelle idée d'avoir partagé bien plus qu'un mcdo avec cette névrosée. Mais il est con, assez pour réitérer avec la première paire de sein qui viendra l'aguicher. Lui, il n'apprend jamais de ses erreurs. Autant le dire, c'est une terreur. Bagou, casanova croate à deux pesos. capable du meilleur, meilleur dans le pire. l'honnêteté ? Ça va, ça vient.√groupe : haut les coeurs
the last song Andrea, il est né au pays de la Kune. Et a débarqué aux USA lorsqu'il avait huit ans. Il a réussi à obtenir la fameuse carte verte en déjouant les pièges bureaucratiques, le sourire aux lèvres et le majeur qui frétille. √ Andrea il parle couramment le croate , le russe, l'anglais, le "femme". Croyez-le ou pas, les conjugaisons propre à cette dernière langue lui ont souvent retourné le cerveau. Quoiqu'il en soit, son léger accent s'accentue lorsqu'il est sur les nerfs.√ la cuisine asiatique lui donne des envies d'appeler PETA. Sérieusement, faut faire gaffe à la faune mondiale. Lorsqu'il se retrouve dans un restaurant chinois à baratiner une conquête, il se tue à déterminer ce qui se trouve dans son assiette et n'avale rien. A part le kebab qu'il s'achète après coup, sur le trajet. Rien de mieux pour les bactéries d'son tractus digestif qu'un sandwich grec préparé dans un coin même pas homologué. Un vrai bouillon de culture.√ il y a cette fille. Cette poupée barbie brune qui lui colle toujours son corps de rêve sous le nez lorsqu'il la croise dans le bus. Ça a - d'abord - commencé par une photo volée de son dos - et de ses bien charmantes fessouilles - puis, la photo est devenue virale sur la toile et est désormais star d'une rubrique avec des tas d'followers. Lui, premier. √ son père a longtemps travaillé comme maçon. Avant de se faire enrôler par la mafia russe. Il a quitté le domicile alors qu'Andrea avait quatorze ans et n'est plus jamais revenu. Pas assez stupide pour croire l'histoire du départ prématuré. Il a depuis longtemps compris que son père nourrit les asticots quelque part à New York. C'est là qu'la smala habitait du temps jadis. Le temps où c'était moins la merde. √ Andrea, il a une soeur adepte des duckfaces qu'il flique sur tous les réseaux sociaux sous un faux compte - Adonis Jones - Adonis Jones ou le mannequin pour slip chopé sur le net pour attirer l'oeil lubrique de son adolescente de soeur - suffisamment pour qu'elle l'accepte en ami. Andrea, il a aussi un petit frère mais celui-là, il est né d'une conquête bien éphémère. Mais il l'aime, le bout de choux. Pas de sa faute si son père était un gros enfoiré. √ Andrea, il vend des choses. des trucs. Des machins bidules. En fonction de ce qui est sur le marché. Pompes de marque, joggings, sacs à main, téléphones portables. Ça tombe, du camion. √ depuis quelques temps, monsieur rêve en grand. Il en a un peu ras le cocotier de se coltiner une baraka de somalien √ sa bagnole, une Audi TT blanche, jantes chromées. Y'a pas à dire, lorsqu'il est dans les parages, personne n'a intérêt à la prendre pour un siège. Il vous refait la tête, au carré, au triangle. Bref, il vous la refait géométriquement foirée. Sur ce. √ il sourit tout le temps, Andrea. Il en a des palettes. Des sourires " causes toujours, tu m'intéresses", des sourires " va te faire foutre, cordialement", des sourires "heureux de ne pas être ton mec". etcetera
story of my life
But I tried, didn’t I? Goddamnit, at least I did that.
« t'vas où ? » - elle le lui hurle, Anna, une cigarette coincée entre son index et son majeur, Mirko – bébé de huit mois hurlant dans son bras. Elle le regarde avec cet air d'agent de la gestapo, inquisiteur. Il déglutit, Andrea, se pince les lèvres, l'envie est là. Insidieuse, celle de l'envoyer chier. De le faire dans les règles. Mais, il paraît que c'est sa mère et qu'il faut toujours la respecter, même lorsqu'elle se comporte avec si peu de dignité, si peu de sérieux. Il inspire, Andrea, l'odeur de la sibiche lui viole les sinus et, celle particulière d'une couche putain de pleine. Il jette un regard à son petit frère avant de le porter sur celle qui lui a donné la vie. Une épave. « J'vais aller taffer. Pour remplir l'frigo ». Dealer. Vendre des trucs, de manière la plus illégale qui soit. Dans sa tête, tous les moyens sont bons. L'illicite trop vite, salement, il se transforme en licite. Comme un rien. « Évidemment » elle crache, Anna secouant le petit cramponné à elle, gueulant un « ta gueule, toi ». Andrea, il a l'coeur pris dans un étau, il tend les bras, récupère le paquet. Mirko s'agite, se calme aussitôt, sentant les lèvres de son frère sur son front se déposer. « J'vais t'changer la couche, mon grand ». Il reporte son attention sur sa mère, la déception pourrait s'y lire, depuis le temps. Mais il faut dire que cette situation n'est pas une grande première. Qu'elle arrive souvent, à cette heure particulière. Parce que. Voir son gamin dévaler les rues alors que l'astre nocturne occupe bien haut le ciel, c'est pas rassurant. Anna, elle a appris à jouer les inspecteurs. Le quotidien foireux l'y a obligé. « Petit con 'me regarde pas comme ça ». Comment faudrait-il qu'il la regarde ? Avec admiration ? Sa mère n'a plus rien de celle qu'il a connu douze ans plus tôt. Plus rien. « Comme tu veux » - il largue, Andrea, rebrousse chemin, le frangin dans les bras, prêt à jouer un rôle qu'il ne devrait pas : celui de père. Il essaye, Andrea, de s'aider de ce qu'il a connu. De ce qu'il aurait dû connaître. Mais, son père comme celui d'Mirko, il s'est tiré, sans au-revoir.
« Hors de question que tu foutes un seul pied dehors fringuée comme ça » il la toise, Andrea, la sœur cadette attifée comme une salope, maquillée comme un camion volé. Grande classe, il pense, passant une main sur son visage, fatigué. « Hors de question que tu m'dises comment j'dois m'sapper » elle réplique, la racoleuse en devenir, un chewing gum mâchouillé avec l'élégance d'une chiangus. Il prend une profonde inspiration, tente l'exercice de relaxation, l'échec est franchement critique. « Ecoute-moi bien, morpion. C'est soit tu vas illico te changer, soit je t'immole et j'passe par la case prison. Plutôt ça que d'avoir à subir n'importe quel type de déshonneur ». Menaçant, la sœur, elle sait parfaitement qu'Andrea n'a qu'une seule parole et qu'il a l'fiel d'un psychopathe. Elle déglutit, abdique en hurlant un « j'te déteste ». La porte de sa chambre sort de ses gonds. Rien à cirer. Qu'elle le déteste, l'ingrate. Il doit la protéger. Et s'il faut qu'il lui fasse porter une ceinture de chasteté, il se verrait bien en passer la commande sur le premier site internet d'outils de torture moyenâgeux. Anna , les bras croisés sur sa poitrine renifle, l'air de dire : arrête de te prendre pour le coq de MA basse cour. « Et alors ? Un jour elle débarquera en cloque et , tu viendras pas me demander de payer pour son morveux ». Anna se rebiffe aussitôt, voyant dans cette réplique , le poignard déguisé. Pique contre Mirko. Sa faute. Erreur. Pas de débutante. Parce que, au fond, Andrea, c'est son erreur originelle. « Je ne te juge pas ». Il hausse les épaules. Il essaye, en tout cas. Mais, c'est un connard, au fond, Andrea. Même s'il sait que, les circonstances sont atténuantes – sa mère n'a reçu aucune éducation sexuelle dans son pays de l'Est – il ne peut s'empêcher de penser qu'elle se fait toujours avoir en beauté. Qu'elle a le don occulte d'attirer les enfoirés phobiques de tout engagement. Et lui, d'avoir toujours à recoller les morceaux d'un pot qui se casse souvent. « De toute évidence » elle siffle, entre ses dents.
« Hey pssiiiiiiiit » - avec son uniforme de plouc, Andrea, il n'a ni l'allure d'un pompier, ni celle d'un soldat. Les gonzesses qui viennent séjourner au Peninsula ont autre chose à faire que s'arracher les yeux en les posant sur un gars comme lui. Pourtant, depuis qu'il bosse dans le coin, Dr Drea, il a des rêves de grandeur. Il s'imagine entretenu par la plus couguar d'entre toutes – la plus riche – couguar d'entre toutes, surtout. « La nana qui vient de passer...c'est quoi son job ? ». Son collègue sourit. Il peut parler, lui, il se tape tout ce qui bouge. Même les réservoirs à morpions. « Vous n'jouez pas dans la même ligue ». Enculé. Pas la peine de souligner l'évidence, il le sait déjà, Andrea, qu'il ne joue pas dans la ligue que cette quadra bien conservée, ni même celle de n'importe qu'elle muchacha qui a de quoi se payer une chambre là. « Commence d'abord par amadouer la secrétaire ». Quelle secrétaire ? Il doit y en avoir au moins trente mille dans le coin. « Merci du tuyau ».Enculé. Andrea il fait la moue, les yeux non pas rivés sur l'allée où se succèdent les bagnoles mais sur l'écran de son cellulaire. La dernière photo prise de l'inconnue des transports en commun vient d'atteindre la barre des 100000 likes. Et ça, ça le met en joie. C'est tellement la misère financière qu'il est prêt à tout. Tout.
all the single lady ton pseudo :pas de pseudo fixe - faut m'appeler norel√âge : ça dépend, vraiment, du repère√pays : le pays du camembert, du "moi-je".√fréquence de connexion : souvent, souvent à niet, nada mais, je préviens toujours. √comment t'es arrivé ici? : un souk√un commentaire? : flawless
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 13:31
Je suis fan du pseudo et voilà un choix qu'on voit peu. Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche et n'hésite pas à contacter le staff si besoin est.
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 14:41
Quel joli pseudo! J'aime ce genre de pseudo moi aussi ! Ton vava est super beau en tout cas
Bienvenue et bon courage pour ta fichouille! Hâte de te lire!
Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 15:10
Bienvenue sur CCL Je connais pas le jeune homme mais il est top. Si tu as des questions nous sommes là.
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 15:25
je ne connaissais pas le jeune homme non plus, mais il est vraiment chou. en tout cas j'adore le pseudo : je m'attendais à une femme, et j'ai été agréablement surprise. et surtout, surtout il nous faudra un lien de malade parce que j'adore ta manière d'écrire. bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 15:44
Silley - souza. si besoin est, je n'hésiterai pas ( vegas, on l'envisage ou pas )
Tamara - merci, puis, t'as la vikander. C'est bon. jotem d'jà
Jack - cimer,
Kyle sampaio largue ton italien et viens voir papi ça me touche c'que tu dis. volontiers ( je te mpotte)
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 15:45
Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fichette !
Je ne connaissais pas ton avatar mais j'adore les choix originaux !
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 15:48
BIENVENUE j'aime beaucoup ton début de fiche Bon courage pour la suite
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 17:25
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 18:57
Maverick - Rollo mer-ci
Richard - gracias , ça me fait plaisir puis SPECTER
Daisy - cimer
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 19:07
Bienvenue J'adore ton prénom!
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 20:26
Seth - bandit, j'kiffe le métier
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Dim 1 Mar - 22:45
Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know. Mar 3 Mar - 21:30
bravo tu es validé
j'adore ta fiche, c'est trop bon en fait
Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.
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Sujet: Re: You can unfollow people in real life too you know.
You can unfollow people in real life too you know.
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Je connais pas le jeune homme mais il est top. 
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largue ton italien et viens voir papi 
ça me touche c'que tu dis. volontiers ( je te mpotte)
Bon courage pour la suite 
