Nom : Lenox √ Prénom : Maxim √ Âge : 26 ans. √ date et lieu de naissance : 15 Septembre 1988, Memphis. √ vos origines : Américaine. √ Métier : Coach sportif. √ Orientation sexuelle : Hétéro. √ Statut matrimonial : Célibataire. √ côté financier : Dans la moyenne. Caractère : taquin, bagarreur, séducteur, charmant, fonceur. √ groupe : arnacoeur
the last song√J'suis pas le genre à fermer ma gueule, mais plutôt le genre à parler plus fort que tout le monde. Je veux être le centre de l’attention, je veux que les gens aient le regard posé sur moi et qu’il parlent de moi. On dit souvent parlez-en en bien ou parlez-en en mal, mais parlez-en. C’est ça l’important, faire jaser le monde. Je ne me cache pas, je peux me mettre debout sur une table, hurler comme un déchaîné alors que mon équipe de foot est en train de perdre. Ouais j’perds la tête comme ça des fois. J’aime bien le
« show off » j’aime qu’on me regarde et surtout attirer l’attention. Ça marche ! Les filles mordent à l’hameçon non seulement parce que j’ai l’air d’un malade à gueuler mais parce que j’ai une belle gueule aussi. J’aime ça.
√ Relation sérieuse ? Non mais c’est quoi ça bordel. Pourquoi je me casserais avec une fille pour passer ma vie avec elle… J’préfère ne pas avoir d’avenir avec une. Vivre au jour le jour et faire ce que j’ai envie quand j’en ai envie et surtout avec qui j’en ai envie. Je ne perds pas mon temps à me faire une vie qui sera probablement pour moi le pire engagement que j’eu pu faire.
√ Quand j’ai une idée dans la tête, ne vous en faites pas je ne l’ai pas dans les pieds. Je ne plis pas facilement. Il faut avoir de bons arguments et surtout être très convaincant. Je ne me gênes pas non plus pour donner ouvertement mon opinion à qui que ce soit. Je dis ce que je pense haut et fort, alors qui en a qui gardent ça en dedans. Je l’ai dis je ne ferme jamais ma gueule à quelques exceptions près. Sérieusement, je me demande comment vous faites à ne pas vous exprimer. Non mais vous savez pas que de garder de la rancœur dans votre cœur c’est pas bon justement. Les émotions sa tue, ça rend malade. Ah ! Ça vient p’têtre de là les problèmes psychologique de certain… Okay, sans commentaires. Ta gueule Max !
√T’as envie de me faire suer, ce n’est pas une bonne idée, un crochet de la droite et ton cas est réglé. Que je sois n’importe où ça ne me gênes pas. Que tes potes soient plus gros que moi, ça veut pas dire qu’il on quelques chose entre les deux oreilles et en plus ça peut juste m’indiquer mes que gestes seront plus rapides que les leurs. Je me fou de la personne à laquelle je dois m’attaqué parce que je ne branle pas dans le manche, je déteste qu’on se foute de ma gueule. Puis s’il le faut, il le faut. On ne se moque pas de moi. Je n’ai pas une tête de clown et je n’ai pas plus l’air d’en avoir une. Je serai aussi le premier à sauter dans le tas à savoir si je dois défendre un ami ou encore juste me joindre à la bagarre. On oublis la peur et la gêne, ce n'est pas pour moi.
√Je n’ai peut-être pas la tête d’un clown, mais j’agis parfois comme si j’en étais un. Mettre du sel dans un café histoire de voir la tête de l’autre quand il le boira, ça me fait toujours marrer. Transformer une bouteille de boisson gazeuse en une bouteille d’alcool fort, ça vaut le coup aussi de tenter. Je peux aussi être très discret, ne pas faire de bruit et arriver au moment parfait pour te faire sursauter. C’est magique.J'ai dis j'aime attirer l'attention.
√ Beau parleur, petit faiseur. Non, non & non. Je suis beau certes, comme un dieu mais pas un petit faiseur. Je suis un bien beau parleur et un grand faiseur en fait. Ne jamais s'imaginer que je ne fais pas ce que je dis. Je ne dis jamais rien pour rien et si je dis que je vais le faire, je vais le faire. Va savoir pourquoi toutes les filles sont après moi. Je parle et je sais quoi dire à qui je le dis. Aussi charmeur que les princes dans les comptes de Disney. J’peux être aussi sauvage que la bête dans la belle et la bête. Vagabond comme Aladdin, fort comme Hercule. Je peux être aussi courageux que John Smith dans Pocahontas. Je serai pour vous mes dames celui que vous voudrez.
√ J’ai fais de la détention juvénile durant une année. Je ne regrette pas ce que j’ai fais, parce que pour moi mon père méritait amplement ce que je lui ai fais. J’ai pu finir comme prévu mes études et en sortant je me suis trouvé un job de coach sportif dans un gym. Ça me permet de rester calme au niveau de certaines de mes dépendances, puis ça m’aide à contrôler ma colère. Ouais, j’suis suivis une fois par mois par un psy et ça me fait chier, mais je n’ai pas le choix. J’en ai au moins pour 10 ans, c’est pour éviter que je retourne en dedans.
√ Je refais ma vie en tentant d’oublier du mieux que je peux que j’ai encore un père de vivant sur cette satanée terre. Je me suis pris un petit appartement au beau milieu de la ville puis je veille sur Hazel du mieux que je peux. J’me rapproche dangereusement d’elle je le sais, mais je n’ y peux rien…
The hearts wants what its wants. Je ne me sens pas mal pour Ash, on ne sait pas il est passé où. Il a foutu le camp comme ça sans rien dire, puis moi bien j’prend sa place et ce sans gênes. Il m’a fait le coup, pourquoi j’le lui ferais pas. Qu’est-ce qu’il en a faire d’ailleurs… Il n’est pas là.
√ J’essaie du mieux que je peux de me contrôler. J’ai eu droit à un sevrage en détention, mais je l’avoue ça n’a pas été facile. Un petit joins par ici et une bière par-là ça fait du bien. Je ne consomme plus comme avant c’est vrai, mais la tentation est toujours présente. Je me contrôle du mieux que je peux et pour compenser je me prends un grand café ou boisson énergisante avec une cigarette. Ça fait du bien quoi !
story of my lifeJe suis là assis sur le sofa devant la télé et j’entends mon père gueuler comme jamais. J’y comprends rien y’a quelques secondes plus tôt tout était calme dans la maison. Ma couverture dans les mains et mon ourson dans l’autre je m’avance dans la cuisine. Je vois mon père les yeux sortis de la tête, rouge de colère qui fait des mouvements dans tous les sens. Ma mère, quant à elle est assise à la table, ses mains dans ses cheveux, elle pleure. Ces poignets sont enroulés de bandage. Je peux même y voir le sang transpercer les pansements. Un énorme frisson me traversa le corps. Je me colle contre le mur de la maison puis j’écoute avec mes petites oreilles, la curiosité l’a emporté sur moi. Bien que je n’aurais pas dû. À six ans je ne comprenais rien de toutes ces histoires, mais aujourd’hui je suis capable de voir en flashback chaque moment de dispute qu’on eut mes parents.
« Bordel Céleste t’as pensé à quoi ? Tu crois que de te charcuter le corps arrangera les choses. T’as besoin d’un psy c’est simple ! »Fâché, mon père cogne un bon coup du la table. Je fis tellement le saut que mon cœur s’arrêta dans ma poitrine. Je n’eus nul au réflexe que de quitter l’endroit où j’étais en courant. Mon père était en colère, alors que ma mère le suppliait en pleurant.
« Ne me fait pas ça John. » Le bruit son briquet résonna dans mes oreilles, il venait de s’allumer une cigarette.
« Attends-moi ici j’vais préparer tes bagages. »J’entendis le bruit de ses bottes sur le plancher au travers des cris désespéré de ma mère. Quelques minutes plus tard, mon père vint me dire bonne nuit et quitta la maison avec ma mère, me laissant seul avec ma tante. Je souris aussi innocemment qu’un enfant de cet âge qui ne comprend rien puis le laissai partir de la maison. En me retournant je serai fort mon ourson en peluche dans mes bras puis vis ma tante qui laisser échapper quelques larmes sur ses joues. Elle n’était même pas capable de me sourire, elle alla me mettre au lit et referma la porte derrière elle. Le lendemain du violent épisode de la veille, je vis mon père sur le sofa. Le regard fixe, une bière à la main presque vide. Il devait avoir passé la nuit là à penser. Je regardai partout dans la maison et je compris que ma mère était partie pour de bon, mais où ? Ce n’est que quelques années plus tard que je compris que mon père avait disparut. Il n’était plus le même homme. Il s’était envolé le même soir qu’il eut été porté ma mère au centre psychiatrique. Il passa d’une bière pas soir à plusieurs et toujours, comme le matin en se levant, durant la journée et le soir. La patience n’y était plus, puis pour lui j’étais comme un rejeton qui ne devrait pas faire partie de sa vie. Le connard, il aurait pu être un père exemplaire et faire de moi un homme bon. Au lieu de ça il m’a laissé faire ce que je voulais quand je le voulais. J’étais un petit voyou. À l’école les enseignants ne voulaient pas de moi dans leur classes tellement j’étais déplaisant. J’étais comme la peste et surtout trop influent pour certains enfants dans les classes.
Je suis assis là en train de fumer un joins bien relax et je discute avec mes copains alors que ash il arrête ses yeux sur cette fille, Hazel j'crois. Je souris bêtement vu mon état très avancé. J'ai peine à me tenir le dos droit bien que je sois assis. En fais je ressemble à de la pate molle, tellement mon corps n'a plus de répondant et que je suis complètement gelé. Ça fait parti de mon quotidien maintenant être complètement stone. Ça fait longtemps que je n'ai pas été totalement sobre. S'en fais presque peur je l'avoue mais mon mode de vie en a décidé ainsi. Enfin, je regarde droit devant moi passer cette jolie blondinette que mon copain convoite depuis un certain moment. L'envie me prend de la lui prendre, puis de toute façon n'est pas comme si lui ne me l'avait jamais fais. Pourquoi je me retiendrais avec elle. Je me lève d'un bon, du coup je sais me tenir. Je replace mes cheveux en bataille, puis m'approche d'eux. J'veux entendre la conversation et surtout tout savoir. J'suis curieux j'y peux rien. Je croise mes bras sur mon torse puis souris à Hazel. Je me sens mal pour elle qu'elle ait droit à ce que Ash lui a dit, sauf que j'aurais pas fais mieux. J'aurais surement agis de la même façon puisque je suis aussi bête. Quoi que mon côté séducteur aurait pu prendre le dessus et la faire fondre littéralement. Du moins j'pense. J'suis là tout près de Ash puis je l'écoute. « ha, hazel, tes parents font dans l'originalité à c'qu'on voit ! »
« et toi, le junkie, t'as vu ton prénom... » J'hausse les sourcils un peu surpris du sens de la répartie de la blondinette puis je pouffe de rire. Ash s'en prend dans la gueule. J'suis même pas certain qu'il s'attendait à ce qu'elle lui réponde. J'tiens plus en place tellement que je trouve ça drôle, je sautille un peu et je décide de m'allumer une cigarette. En tout cas dans le cas de Ash, ça ne prit que de deux secondes et il pouffa lui aussi de rire sans oublier de lui répondre. « (rire) ouuh, la petite prude se rebelle ?! tes bouquins t'apprennent donc à riposter... ? »
« ecoute asbjorn, retourne avec tes potes te défoncer la gueule, j'ai d'autres choses à faire que de discuter avec un gars dans ton genre ! » Elle n'avait pas tord. Elle n'a rien à voir avec nous. Elle est trop parfaite pour deux cons comme nous. D'ailleurs mise à part sa beauté j'comprends pas pourquoi Ash s'accroche à elle. Il n'a pas la bonne approche et elle passe son temps en plus à le rembarrer. Il est con ou quoi ? Il s'accroche a elle comme si elle était précieuse, mais elle se fiche de lui. Et ben ! « c'est ça, ouais, tu vas surtout aller pleurer dans les jupes de ta mère. puis c'est quoi ce grand délire là, tes parents doivent vraiment péter plus haut que leur cul pour avoir appelé leur fille hazel... » Je me retournai vers Ash. Il en mettait un peu trop mais je compris que son côté sur la défensive pris le dessus sur tout. Il n'aime pas ne pas avoir raison et surtout ce faite dire c'est quatre vérités. « lâche-moi, ok ?! t'es qu'un pauvre mec, un gros connard qui en veut à la terre entière et qui s'en prend à ceux qui n'en ont rien à foutre de sa gueule... ah mais c'est ça ?! tu veux qu'on s'occupe de toi parce que t'es tellement seul et malheureux comme mec que tu sais plus quoi faire pour attirer l'attention ! » Je me raidis. Ça allait mal virer tout ça. Hazel venait de toucher une corde sensible en ce qui concerne Ash. Elle était loin d'avoir tord. Je tirai sur ma cigarette et m'éloignai de la scène. Ce n'était plus drôle. Je soupirai puis vis Hazel s'éloigner les larmes aux yeux de l'endroit où nous étions. Bordel je m'approche de Ash et lui donne un tape derrière la tête. " Mais bouges ton cul Ash ! Tu vas la regarder pleurer longtemps ? Tu l'as blessé rattrape ton coup ! " Je tirai encore sur ma cigarette puis je le regardai s'en aller vers elle. Je jettai mon ma cigarette sur le béton. J'allais garder ma vengance une autre journée. Il devait faire de lui un homme, un vrai et corriger ses erreurs.
Mon cas n’allant pas en s’arrangeant. Je prenais exemple sur mon père. Après le lycée je faisais comme lui, je m’ouvrais une bière et je m’écrasais sur le sofa. Je zappais durant des heures sans manger, mais je buvais. Je pouvais rester là laps de temps indéterminé. Je pouvais même voir mon père accompagné de filles toutes différentes les unes que les autres. Elles étaient aussi mal en point que lui. Notre maison familiale était devenue une vraie piquerie. Des bouteilles de bières trainaient partout, sur les meubles, par terre, partout. Sa puait dans cette fichue baraque ça sentait presque le mort. Les fenêtres étaient devenues jaunes avec le temps. La fumée de la cigarette collée leur donnait cette couleur. Pour un enfant, voir un adolescent comme moi ce n’était pas le meilleur endroit pour vivre. Y’avait jamais rien à manger dans le frigo, par contre de la bière y en avait et de la dope à profusion. Y’avait toujours cette poudre blanche sur la table de la cuisine, puis des seringues dans la salle de bain. Le pire endroit j’vous dis, ça m’a emmené à tenter le coup moi aussi. J’en ai profité un soir pour shopper cette merde à mon père, alors qu’il était dans sa chambre en train de faire crier celle qu’il avait ramené quelques heures plus tôt. Je me pris un joins puis un peu de poudre. Tant qu’à essayer, hein ! Puis je suis sorti en douce rejoindre mes copains. Eux non plus n’étaient pas des enfants de cœur, mais tout aussi prêt à essayer ces conneries là avec moi. J’ai fais mes expériences comme je me devais de le faire, par contre j’ai gardé une certaine dépendance à la marijuana durant quelques années. C’est peut-être psychologique mais ça me calmais, je me foutais de tout avec ça dans le corps et encore plus de mon père qui me criait dessus sans cesse. Celui-là, je le détestais.
Les années passèrent et je dois dire que plus ça allait plus je ressemblais à mon père, ce petit jobber, drogué, alcoolique qui enchaîne les putes. Enfin, moi je ne ramenais pas de fille chez moi, la gêne me gagnais avant, mais disons que cela c’est souvent fait. Je n’étais pas un ange puis adolescent avec les hormones dans le tapis, ça fait ses expériences. En plus, j’étais un petit rebelle. J’envoyais chier les enseignant, je me battais avec les autres élèves puis je me droguais. J’étais cool quoi ! En plus y’avait plus de discipline chez moi, alors j’étais libre comme l’air. Sauf y’a une journée, j’suis rentré tard complètement stone. Je me suis assis à la table, puis j’ai regardé les enveloppes sur la table. Y’avais un avis. C’était quoi ça. Je me rendis compte que c’était loin d’être ce que j’aurais imaginé, sois un avertissement pour comptes impayé. Non, ça aurait pu être tout sauf ça. C’était un avis de décès au nom de Céleste Lenox. Bordel, je n’y vu que du noir. Je serrai fort dans mes mains ce papier puis je poussai la table d’un pied ou deux. J’étais pris d’un élan de colère ce connard il m’a fait croire durant toutes ces années qu’elle était morte, mais non ! Ça ne fait qu’une semaine. Le cerveau en bouilli par la drogue, le papier en main, je m’approchai de la porte de la chambre de mon père. Il s’amusait alors que moi j’étais en rogne. Je défonçai la porte et je m’approchai du lit. J’attrapai cette chose par la main et en criant je lui dis :
« Dégages si tu veux pas que ce moi qui te dégage. »D’un élan de panique, mon père se redressa dans son lit
« Maxim qu’est-ce qui t’arrive bordel ! » Je collai le papier au visage puis ma voix se fit stridente.
« T’as osé m’faire ça. T’as osé m’faire croire qu’elle était morte ! » Mon père poussa ma main, puis se releva. Il me prit à la gorge et ajouta :
« Tu ne reposeras jamais ta main sur moi petit con. Puis j’l’ai fais parce que ta mère c’était une folle. Elle ne pensait qu’à s’enlever la vie. Elle n’était pas heureuse avec nous. » J’accrochai ma main à son poignet puis je le serrai :
« P’t’être parce que t’as pas su la rendre heureuse. Si t’étais toujours aussi saoul et gelé, j’la comprends de ne pas avoir été heureuse. » J’veux droit à une bonne droite :
« Comment t’oses petit con ! J’suis ton père, pas un de tes idiots d’amis t’as pas à me parler comme tu le fais. » Le sang coulant de mon nez, je me redressai et reculai d’un pas histoire d’essuyer mon nez avec mon avant bras. Mes yeux étaient probablement devenus noirs de colère encore plus qu’au départ. J’me suis dis dans ma tête : j’vais le tuer. J’ai tenté de me contenir, mais les coups sont partis seuls. En moins de deux, je lui offris une droite bien placée, une gauche puis une autre droite. Son visage était en sang. Y’avais sa connasse dans le cadrage de la porte qui criait comme une folle, le combiné du téléphone dans les mains. Elle avait appelé la police. Je regardai mon père gisant sur la plancher de sa chambre à moitié nu. Puis je pris une grande respiration, me laissant tomber sur le sol, mon dos contre le mur. J’entendis les sirènes des voitures de polices, puis les policiers entrer en trombe dans la maison.
Ce soir-là où j’ai presque détruit mon père je quittai la maison, ce bordel les menottes aux poignets. Ça ne me faisais ni chaud ni froid. C’était de la satisfaction que je ressentais, même si je sais que la colère ne règle rien. Il m’en voudra tout au long de sa vie, comme moi je lui en voudrai toute ma vie de m’avoir fais croire que ma mère était morte d’une maladie. Au lieu de cela, elle s’est suicidé parce qu’elle n’était pas heureuse. Que sa famille ne lui accordait pas d’importance. Au lieu de cela moi et mon père nous étions en train de nous saouler et drogué, oubliant tout le reste autour de nous. Bref, les menottes aux poignets, je marchai dans l’allée de la maison accompagné des policiers. Les voisins étaient dehors, certains étaient satisfais de me voir partir comme ça. Le petit voyou de la rue c’est fait prendre la main dans le sac. Certains pas surpris, d’autre dégouté de voir mon père sortir sur une civière. J’eus un petit sourire assis dans la voiture de police. S’il peut ne pas reparler de sa vie celui-là. J’eus droit à un procès comme n’importe lequel des criminels sur cette terre, puis je fis de la détention juvénile. On me força à terminer l’école puis je le fis. Mes cours de base c’était bien en masse. Sauf qu’en sortant je n’étais pas changé. Je m’étais calmé, mais mes vieilles habitudes reprirent du service. Pas aussi abusif qu’à l’époque mais tout de même présente.
all the single ladyton pseudo : The Fantasy.
√ âge : 23 ans.
√ pays : Canada.
√ fréquence de connexion : 4/7.
√ comment t'es arrivé ici? : Pub facebook.
√ un commentaire? : J'ai hâte de me joindre au jeu.
Accueil 
On va tout défoncer ! Notre petit triangle va envoyer du lourd uh Cca va swinger ! 
:apopo: 
:grar: 
Je suis fan de ta façon d'écrire, j'ai hâte d'en voir plus.