Nom : skövde. √ Prénom : anja. √ Âge : trente-trois ans. √ date et lieu de naissance : 23 octobre, suède. √ vos origines : suédoises. √ Métier : scientifique. √ Orientation sexuelle : hétérosexuelle. √ Statut matrimonial : célibataire. √ côté financier : bon. Caractère : douce, tendre, têtue, intelligente, sensuelle, tactile, rancunière, têtue brûlée. √ groupe : coeur de pierre.

   
the last song
   anja est originaire de la suède, elle y a pratiquement toujours vécu jusqu'à il y a quelques mois.√ cela fait trois mois qu'elle est arrivée à memphis, pour une mutation professionnelle. √ anja est une scientifique, elle occupe un poste de chercheuse dans un laboratoire d'astronomie. √ elle a du faire de très longues études pour arriver à cela et en est très fière. √ elle n'a jamais été quelqu'un de très studieux, mais son ambition était très forte, alors elle s'est faite violence. √ elle a eu une enfance simple et heureuse, elle a grandi dans une famille moyenne mais n'a jamais manqué de rien. √ elle n'avait jamais rêvé de memphis quand elle entendait parler des etats-unis, mais l'offre de mutation qu'on lui proposait était beaucoup trop belle pour qu'elle refuse. √ elle est très heureuse d'être venue ici, mais malgré tout elle a encore un peu de mal à se faire à sa nouvelle vie. √ c'est la première fois qu'elle quitte son pays et sa ville natale lui manque. √ elle a entretenu une longue relation amoureuse, un peu particulière, avec un soldat hongrois qui était donc souvent absent. √ il lui avait même demandé en mariage mais du jour au lendemain elle a cessé d'avoir de ses nouvelles. √ cela va faire un an maintenant, et elle le croit mort.

   
all the single lady
   ton pseudo : réponse ici. √ âge : réponse ici. √ pays : réponse ici. √ fréquence de connexion : réponse ici. √ comment t'es arrivé ici? : réponse ici. √ un commentaire? : réponse ici.
   

story of my life
   Cette histoire a commencé il y a dix ans. Dans les terres de Suède, Anja a vingt-trois ans, elle est à étudiante à l’université et passe une soirée dans un bar avec ses amis. C’est un vendredi soir, les bars de la ville sont pris d’assaut par les étudiants, et celui-ci ne fait pas exception. La porte d’entrée ne cesse d’ouvrir et de se refermer, sans que les clients du bar n’y fassent vraiment attention. C’est en allant au comptoir pour commenter une nouvelle tournée de mojito qu’elle fait sa connaissance. Dezso. Il est soldat dans l’armée hongroise, en permission, et avec des amis de sa garnison ils ont décidé de venir passer le week-end ici. Elle a abandonné ses amis pour le reste de la soirée, elle est passée à sa table, rencontrer ses compagnons d’armes, avant que finalement la conversation ne tourne plus qu’autour d’eux. Finalement, lui aussi se mit à abandonner sa tablée, pour passer le reste de la nuit à discuter ensemble. Ils firent la fermeture du bar, et au moment de se quitter, dans les yeux d’Anja brillait un éclat d’impatience. Il lui plaisait. C’était un soldat en congé, il n’appartenait même pas à l’armée suédoise. C’était probablement la première et la dernière fois qu’elle le verrait. Elle n’était pas adepte des coups d’un soir. Elle n’était pas une très grande habituée des soirées étudiantes non plus. Mais ce soir elle était sortie avec des amis, et cela faisait un bon moment qu’elle n’avait plus été touchée par un garçon. La porte de son appartement se referma sur lui, avec dans ses yeux une impatience réciproque. Au petit matin il n'était pas reparti. Elle ne s'était pas réveillée avec une place froide de l'autre côté du lit. Sous l'amas de couverture froissés il dormait encore. Il dormait si profondément qu'elle n'avait pas voulu le réveiller. Un véritable loir, alors qu'elle avait fini par se lever et s'activer dans l'appartement. Rien ne semblait pouvoir troubler son sommeil C'était probablement la première fois depuis longtemps qu'il devait dormir sur un matelas aussi moelleux et n'était pas réveiller aux aurores par les sirènes du rassemblement. Une bonne grasse matinée. Et une fois qu'il s'était extirpé des bras de Morphée, il était resté. Il lui avait demandé de lui faire visiter la ville. Une excuse supplémentaire pour passer encore du temps ensemble. Et au final il ne rejoint ses camarades que le dimanche soir pour repartir. L'histoire aurait tout aussi bien pu s'arrêter ainsi, mais il lui envoya des lettres. Ils continuèrent à s'écrire durant de longs mois, et sa prochaine permission c'est dans ses bras qu'il vint la passer. A l'université, ses amies lui disaient de se méfier, qu'elle n'était qu'une vulgaire poupée que le soldat venait baiser lorsqu'il en avait l'autorisation et rien d'autre. Un instrument. Un expiatoire. Mais tout ceci lui importait peu. Que cela soit vrai ou pas. Et puis il lui demanda sa main, une fois. Clouant le bec à toutes mes mégères du coin, et le sien aussi au passage. Elle avait fini par y croire, croire qu'elle n'était qu'un plan cul régulier et rien d'autre et elle s'en était satisfaite. Elle n'était pas seulement la fille dans laquelle il venait fourrer sa queue gratuitement sans avoir à se payer une putain, dès qu'il avait un congé. Elle, elle savait déjà qu'elle était tombée bien bas. Dès l'instant où elle avait accepté de prendre des billets de train pour lui prêter compagnie en Hongrie lors de l'une de ses permissions, elle savait qu'elle était perdue. Pourtant elle réussi, une fois ou deux, à quelques reprises, à lui demander de partir, de se désengager. Au fond ça ne rimait à rien d'être dans l'armée, surtout de nos jours. Il n'y a plus de guerre, tout du moins plus directement. Dix ans. Dix ans de relation à distance, des correspondance, de rendez-vous charnels ponctués de longs mois d'absence, de trajets entre la Hongrie et la Suède, entre la Suède et la Hongrie, une bague, une demande de fiançailles, des disputes, un ultimatum... Et du jour au lendemain plus rien. Les dernières lettres qu'elle avait envoyé à l'armée lui étaient revenues par la Poste. Et plus jamais elle n'en reçut de sa part. Mort. Blessé. Disparu. Elle tenta de se renseigner auprès de l'armée hongroise, mais elle ne parlait pas la langue, et dans n'importe quel pays que ce soit converser avec l'armée et pratiquement chose impossible. Elle n'avait pas de lien de parenté, elle n'était ni sa mère, ni sa soeur, ni son épouse. Elle ne représentait rien. Elle n'avait droit à rien. Il ne lui avait jamais présenté sa famille non plus. Des réponses elle n'en aura jamais. Il ne doit être mort, elle ne voit que ça.

j'aurais aimé en apprendre un peu plus sur elle que ce que j'ai mis dans le scénarioo, mais j'aime ton style et ta fiche est fluide   j'ai hâte de rp. Par contre, il manque ton groupe pour que je te valide

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