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« Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich

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MessageSujet: « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich EmptyLun 15 Déc - 21:49




SI TU SAUTES, JE SAUTES.


Tout le monde sur Terre a besoin de quelqu’un sur qui compter ; que ce soit une accompagnatrice dévouée, une confidente fiable, ou un ami fidèle.


La dernière fois que je l'ai eu au téléphone, il y a une semaine, il m'a dit qu'il emménageait à Memphis. Il a enfin souhaité se poser quelque part. C'est alors que je me suis dit : et pourquoi pas moi ? Après tout, je voyage de pays en pays, de ville en ville depuis trois ans maintenant. Il ne m'a pas fallut longtemps pour me décider. J'ai pris les billets d'avion, et j'ai atterri dans cette ville, dans ce vaste inconnu. Je n'ai pas perdu de temps pour me trouver un petit chez moi, un magnifique loft. Je me suis installée rapidement, et j'ai commencé à le chercher. Je ne l'avais pas vu depuis tellement. Il me manquait comme personne sur cette terre ne m'avait manqué. Il était le seul à me connaître presque aussi bien que je me connais moi-même. J'ai passé une journée entière afin de trouver où il habitait. Et, coïncidence : il avait posé ses valises à seulement quelques pâtés de maison.

Le moment tant attendu de le revoir allait enfin avoir lieu. Et pour l'occasion, je me suis bien habillée : un short taille haute avec un top fluide, des petits escarpins, un chignon pour coiffure, un maquillage légé. J'étais prête. J'avais l'impression d'être une gamine au moment de noël. Je n'avais qu'une envie, lui sauter dans les bras. Et pourtant, je n'arrivais pas à sortir de chez moi. Un sentiment bizarre parcourait mon corps. C'était comme si je sentais qu'il avait besoin de moi. Et que dire de l'inverse. J'avais tellement besoin de lui, que j'étais prête à tout pour lui. D'un seul coup, je me suis décidée. Je n'ai pas perdu de temps pour me lever, prendre mon sac à main et sortir de chez moi.

La nuit commençait tout juste à pointer le bout de son nez. Il faisait froid, mais rien d'insurmontable pour un mois de décembre. J'avais déjà repéré les lieux, et je savais exactement dans quelle direction aller pour me rendre chez Ulrich. J'étais limite en train de courir. Je voulais le revoir, j'avais besoin de le revoir, de le serrer dans mes bras, d'entendre le son de sa voix. On a beau s'appeler souvent, ce n'est pas pareil de parler au téléphone et de parler face à face. Même si je le connais tellement que j'entends au son de sa voix s'il ne va pas bien. Enfin ! Je me tenais juste devant sa porte. Un petit coup de sonnette. Je n'avais plus qu'à attendre qu'il m'ouvre. J'étais émue, et un large sourire innocent trônait sur mon visage.


love.disaster
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MessageSujet: Re: « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich EmptyMer 17 Déc - 0:43


si tu sautes je saute
je t'aime, oui j't'aime

Ulrich abattit sa main sur le réveil dans l'espoir de l'éteindre, en vain. Il ne tarda pas à comprendre que ce qui venait de sonner n'était en aucun cas le réveil qui, à cette heure de la journée, était désespérément muet, mais bien la sonnette de son appartement. Chose tout à fait surprenante. En effet, il venait d'emménager à Memphis et ne connaissait encore personne dans le coin, si ce n'est ses quelques collègues. Et il avait beau réfléchir, il ne les connaissait pas suffisamment pour pouvoir attendre ou espérer une visite de courtoisie. Il émergea de sous les couvertures, mais son visage retomba mollement à plat contre son oreiller. Il avait eu beaucoup de mal à s'endormir la nuit précédente, alors, pour une petite sieste, il avait pris des somnifères. Une dose probablement un peu trop forte, histoire de s’assommer et rattraper ses heures de sommeil manquées. En vain, bien sûr, puisque le seul résultat était qu'en plus d'être épuisé, la fatigue se lisait sur son visage. Il avait néanmoins fini par se redresser et se lever paresseusement en direction de la salle de bain, ne manquant pas de beugler un rocailleux « J'arrive. » dépourvu de conviction.

Il grimaça en découvrant son reflet dans le miroir. Une mine épouvantable. Un air de mort-vivant. Ce même air qu'il avait aux lendemains de trop grosses cuites. Il passa sa main sur sa joue. Mal rasé, ébouriffé. Cela lui donnait un certain charme bien sûr, du moins, pour celles et ceux qui apprécient les loques au réveil. Il aspergea donc son visage d'eau dans l'espoir de gommer ses cernes et lorsqu'il redressa la tête, il se trouva déjà un meilleur air. Il retourna dans sa chambre à la hâte et enfila un jean et un vieux pull d'un bleu marine passé qui traînait dans sa maigre garde-robe depuis au moins six ans. C'est sans grande motivation qu'il se dirigea enfin vers la porte d'entrée, qu'il ouvrit avec une lenteur déconcertante. « Désolé de vous avoir fait attendre, j'étais en tr... » Il se figea et ses yeux fatigués se mirent à briller, à la fois émus et heureux. Son regard détailla la jeune femme de haut en bas. « Oh putain. » Il la dévisagea. « Oh putain de merde. » La porte s'ouvrit en grand dans un geste presque violent tant il était dynamique, et Ulrich bondit sur le palier pour prendre la jolie blonde dans ses bras. « J'y crois pas... » Il se mit à rire.

Vous voyez ces scène à l'eau de rose dans les téléfilms romantiques ? Celle-ci aurait tout à fait pu en être une. Il la saisit par la taille et, emporté par son élan, fit un tour complet sur lui-même avec la demoiselle serrée tout contre son cœur. « So'... » Sa voix se brisa sous le coup de l'émotion. Il enfouit son visage dans le creux de son cou avec énormément de tendresse, respirant son parfum, s'en imprégnant un maximum. « T'es magnifique. » soufflait-il en boucle d'une voix presque inaudible. Elle était resplendissante. Elle était rayonnante. Elle était superbe et, mieux que tout le reste : elle était là. Elle était là pour lui. Pour le sauver, une nouvelle fois. « Merci. » Il resserra une dernière fois son étreinte autour de ce petit corps frêle dont il sentait les battements de cœur, avant de se détacher légèrement, tout en conservant néanmoins une main sur sa taille et l'autre sur son épaule. Il ne voulait plus la lâcher. Plus jamais. « Laisse-moi te regarder... » Il la dévisagea de nouveau, mais cette fois, sur son visage s'était dessiné un sourire. Un sourire trahissant tout le bonheur qu'il ressentait et qu'il ne parvenait que maladroitement à exprimer. « T'es tellement belle. » Il s'écarta pour la laisser entrer et, même si une flopée de questions lui brûlait les lèvres, il parvint à se raisonner pour procéder méthodiquement : chaque chose en son temps, maintenant qu'elle était là, près de lui, ils avaient toute la vie devant eux. « J'en reviens toujours pas... Depuis quand tu es à Memphis ? Tu vas rester longtemps ? » Il referma la porte derrière eux et fit volte-face pour se noyer dans son regard. Ses grands yeux clairs baignés de larmes. Des yeux qui avaient dû voir bien des merveilles dans le monde et qui, pourtant, ce jour-là, étaient dans un appartement sombre et désordonné, juste pour venir le contempler.
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MessageSujet: Re: « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich « Si tu sautes, je sautes ≈ Ulrich EmptyMer 17 Déc - 15:50




SI TU SAUTES, JE SAUTES.


Tout le monde sur Terre a besoin de quelqu’un sur qui compter ; que ce soit une accompagnatrice dévouée, une confidente fiable, ou un ami fidèle.


Qu'est-ce que mes sentiments pour lui étaient forts. C'est la première chose qui m'est passée par la tête quand je l'ai vu, quand il a enfin ouvert la porte. Il avait beau essayé de ne pas le montrer, n'importe qui pouvait voir qu'il venait juste de se lever. Mais ça n'enlevait rien à sa beauté et son charme que j'aimais tant. J'y crois pas... dit-il. Bon, je le reconnais, j'avais moi aussi du mal à réaliser qu'il était là, en chair et en os, devant moi. Il m'a pris dans ses bras, et s'est posé dans mon cou. Je t'aime beau gosse lui ai-je chuchoté à l'oreille. J'en avais les larmes aux yeux, lui aussi. Comme dans les films à l'eau de rose que j'aimais tant. Sauf que là, c'était réel, bel et bien réel. En entendant son « merci », j'ai vite compris qu'il avait besoin de moi. Pour dire vrai, on avait toujours besoin l'un de l'autre. On s'était rencontré quand on était presque au plus bas, chacun de notre côté. Je le revois, sur ce pont, prêt à sauter. S'il l'avait fait, je l'aurais fait aussi. Mais non, sans me connaître, il m'a pourtant fait confiance. Et depuis, on est inséparables, comme vous le voyez là. Malgré tout, on a chacun notre vie de notre côté, mais il ne se passe pas une semaine sans qu'on se raconte tout ce qu'on vit, qu'on se dise qu'on se manque et qu'on tient énormément à l'autre.

Après ce moment de tendresse, il s'est mis à me regarder. Et en prime, il a esquissé un sourire, un magnifique sourire de beau gosse qui lui allait si bien. Juste le voir comme ça me rendait heureuse, et j'étais très contente d'avoir passé une journée entière à le chercher, à savoir où il était. Maintenant qu'on s'est retrouvés, je pense qu'on ne va pas se quitter de si tôt, et tant mieux. J'ai besoin de lui. J'ai toujours eu peur de poser mes valises, d'arrêter de me promener de ville en ville et de pays en pays. Mais à ses côtés, je n'avais plus peur de rien. Oui, c'est culcul et cliché, mais c'est pourtant tellement moi. J'aime le romantisme, j'ai besoin d'une épaule sur laquelle me reposer, d'un ami à soutenir, d'un homme à aimer. Il était tout à la fois, l'homme de ma vie, mon frère, mon meilleur ami. Bien évidement, il ne faut pas croire qu'on ne se dispute jamais. Elles dures seulement pas longtemps. On n'arrive pas à ne plus se parler bien longtemps. C'est ça l'amitié, la vraie, non ? T'es tellement belle ! Quel gentleman.

Il m'a invité à entrer. J'ai posé ma main sur sa joue, pour plonger mon regard dans le siens. Et là, on savait l'un comme l'autre ce qu'on pensait au plus profond de nous. J'en reviens toujours pas... Depuis quand tu es à Memphis ? Tu vas rester longtemps ? Un grand sourire trônait sur mon visage. Je ne te quitte plus Rick, je reste avec toi. Je serais donc à Memphis tant que tu y seras. dis-je joyeusement, ma main posée dans la sienne. Plus jamais ! Plus jamais on resterais séparés. Sofiann et Ulrich sont de retour, pour vous jouer un mauvais tour...

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