Nom : au choix. √ Prénom : Seth. √ Âge : 32 ans. √ date et lieu de naissance : au choix. √ vos origines : au choix. √ Métier : à la tête d'un réseau de drogue reconnu. Mais il pourrait avoir un autre métier le jour pour ne pas éveiller les soupçons sur lui. √ Orientation sexuelle : hétérosexuel √ Statut matrimonial : au choix. √ côté financier : plus que bon Caractère : influent, charismatique, séducteur, froid, quelque peu arrogant, intelligent. √ groupe : réponse ici.

the last song

L'histoire est entièrement libre, il y a juste ses trois petits points à respecter :
- Il est dans des affaires louches depuis très longtemps au point qu'il a créé son propre réseau de trafic de drogue et toutes autres choses illégales.
- Il a passé plusieurs années à Atlanta (possibilité qu'il y soit né là-bas ou non) et a rencontré Catalina quand il avait 18 ans et elle 15. Sa douceur et sa différence lui ont tapé dans l'œil.  Ils sont sortit ensemble pendant plusieurs mois. Relation qui ne l'a pas empêché de manipuler Catalina pour que celle-ci vole, consomme et deal pour lui.
- Il a très mal pris que sa poupée de chiffon comme il la voyait a disparu de la circulation. Elle lui devait d'ailleurs beaucoup d'argent raison de plus de la trouver rapidement. Quand il eu vingt ans, il a retrouvé Catalina à Memphis et l'a menacé chez elle, arme en main, avant de repartir comme si de rien n'était. Il pourrait  être repartit chez lui dans une autre ville puis revenir aujourd'hui à Memphis pour s'y installer. Soit pour épandre son réseau de drogue et/ou que Catalina lui manquait. Et faire par la même occasion faire pression sur elle.


story of my life

catalina forbes mon passé, mon bourreau √ « Seth … » Non. Ce n'était pas possible qu'il soit là. Devant mes yeux. Ici. A Memphis. Chez moi. Ça ne pouvait être qu'une hallucination. Qu'un effet secondaire que procure le manque de quelque chose. de ma dose de cocaïne.  Et pourtant, j'avais l'infime conviction que ce n'était pas mon manque de cocaïne de ma cure de désintox qui me jouait des tours. L'inverse aurait pu être vrai, combien de fois ne l'avais-je pas imaginé me quêtant dans des couloirs sombres prêts à me bondir dessus quand l'occasion se présentait ?  Beaucoup de fois. Trop souvent à mon goût. Et pour mon plus grand déplaisir il avait trouvé l'occasion d'être ici. Assis sur un des fauteuils du salon, les jambes croisés tel le roi qu'il était autrefois à mes yeux. Autrefois. Un frisson glacial parcourra mon dos. C'était aussi du passé ça. D'avoir peur de lui. Et pourtant, le sourire qu'il m'adressa en regardant mon regard exorbité de ne toujours pas croire qu'il est dans mon salon me faisait penser le contraire. Et il devait sans doute l'avoir remarqué. Fermant les yeux doucement, j'avalai difficilement de grandes gorgées d'oxygène.  C'était un rêve que je faisais. Un affreux cauchemar qui allait se terminer quand j'allais ouvrir mes yeux et que j'allais découvrir mon fauteuil inoccupé. C'était ça. Pourtant, quand je rouvris mes yeux, Seth était toujours là. Majestueux et plus que fier de l'effet qu'il faisait. Je devais me reprendre. Le foutre à la porte. Je n'étais plus la gamine de quinze ans qui était folle amoureuse de lui au point de faire des choses illégales pour lui. D'être sa marionnette. D'avoir tombé dans la drogue pour lui. De continuer à voler en jouant de mes charmes. J'avais grandit. Et je devais le lui montrer. « Comment tu …  » Mes efforts fut détruits à néant. Je bredouillais comme une gamine. Merde. Trois ans était passés ce n'était pas rien. Sa voix me parvint à mes oreilles répondant accessoirement à ma question muette de comment il m'avait retrouvé. « Comment je t'ai retrouvé ? Ce n'était pas simple, il y avait beaucoup de bonnes écoles avec un excellent programme de mathématiques. Mais je n'ai pas désespérer. Tu ne sais pas à quel point cet outil magique qu'on appelle internet m'a fortement aidé quand je suis tombé sur les photos de classe qu'ils mettent sur leur site. Le reste n'était qu'un jeu d'enfant pour découvrir à quel adresse tu habitais. » Sa voix était intacte à mes souvenirs. Charmeuse, rauque avec un tantinet de dangerosité. Tout lui. Tout Seth. Il m'avait retrouvé et accessoirement savait où j'habitais. Mes yeux s'agrandir à la pensée qu'il aurait pu voir ma mère et mes sœurs. Il dut s'en apercevoir vu la suite de ses propos. « Si tu cherches ta famille, elles ne sont pas là. Quand je suis arrivé, elles sortaient voir un film au cinéma et m'a laisser entrer pour que je t'attends. Tu sais à quel point je peux être persuasif quand je veux quelque chose. » Il avait du user de ses charmes pour arriver à ses fins. Comme il me l'avait appris autrefois. Un soupire de soulagement sortit de ma gorge à la pensée que ma famille était saine et sauve.  Maintenant il fallait plus que je me débarrasse de lui avant qu'elles ne reviennent du cinéma. « Qu'est-ce que tu veux ?  » Et le plus rapidement possible serait le mieux. Vu le regard que me jeta Seth, celui-ci n'était pas sur la même longueur d'onde et prenait tout son temps pour m'expliquer pourquoi il était la. Même si au fond de moi, je savais exactement pourquoi il m'avait retrouvé. « Tu sais ce que je veux Catalina. Je veux ce que tu me dois et s'il faut que j'use de la force pour récupérer mon argent, je le ferais sans hésiter.  » Appuyant ses dires, il sortit une arme de son blouson. Pensait-il me faire peur avec ça ? Un ricanement sortit de ma gorge quand je me passais l'une de mes mains dans mes cheveux pour les ébouriffer. Finalement, le manque de drogue se faisait ressentir. Il n'y avait que moi pour rire devant un homme armé. « Je n'ai pas plus peur de toi Seth.  » Mes prunelles capta le mouvement de ce dernier quand il se leva, apportant son arme avec lui, pour se diriger en ma direction.   « Peut-être mais vois-tu je m'en fiche. Si je suis venu ici c'est pour te rappeler que j'attends toujours mon argent. S'il faut que j'utilise cette arme pour te faire bouger, je le ferais. Sans hésiter. Et je ne pense pas que tu aimerais perdre une de tes sœurs ou ta mère parce que tu ne respectes pas tes engagements.  » Mes dents se serrèrent à ses paroles encore plus au contact de sa main sur ma joue quand il l'avait lever pour remettre une mèche de mes cheveux derrière l'oreille. Mes yeux se fermèrent intuitivement alors que j'entendis la porte d'entrée claquée signalant qu'il était partit. J'avais eu tord. J'avais peur de lui. Comme je l'avais été quand mon cœur avait été le sien et que j'avais découverts qui il était vraiment.