Nom : sheeran. le sang américain qui file dans les veines. la grand-mère qui possède des origines française. √ Prénom : embry. √ Âge : trente-six ans. le temps qui marque le visage. le peine qui dévore les traits. √ date et lieu de naissance : le mois de décembre, la neige pour couvrir le paysage, le froid qui colle à la peau. √ vos origines : américaines. √ Métier : enquêteur, les crimes qu'il résout et les fous qu'il pousse derrière les barreaux. depuis la mort de sa femme, il le cherche lui. le connard. le tueur en série. le folie qui frôle l'esprit. √ Orientation sexuelle : les femmes. la siennes. les autres qu'il prend sans aimer. les autres qu'il prend sans tendresse. √ Statut matrimonial : la bague qu'il garde au doigt. l'anneau qu'il n'arrive pas à retirer. la femme qui lui a été enlevé. √ côté financier : il vit correctement. Caractère : brisé, perdu, solitaire, violent, secret, obsédé par lui, paternel, protecteur, méfiant. √ groupe : coeur de pierre
the last songLa pièce tapissée des meurtres de cet homme. La folie qui ronge le crâne. Il vacille. La femme tuée. L’enfant entre les mains, mais il ne contrôle plus rien. Que la folie pour guider les pas, que la peine qu’il ne contrôle plus. La pièce qui ne parle que de lui. La pièce qui concerne le tueur en série. Il veut le retrouver. Il veut la vengeance.
√ l'alcool qu'il aime un peu trop et la fille dont il ne sait plus s'occuper. la famille pour l'aider. la meilleure amie pour venir le voir et s'occuper de lui.
√ la peine qu'il ne contrôle pas. le temps qu'il passe en solitaire. les lits qu'ils croisent quand l'alcool se fait trop important. que des femmes pour jeter. que des femmes pour briser.
√ la tombe qu'il rejoint chaque matin. le besoin de lui parler. le besoin de la voir.
√ la fille qu'i adore. le père idéal par le passé, mais la tristesse qui le rend distant. il l'aime. sa perle. son trésor. elle est pourtant là pour veiller sur elle de loin, venir la prendre quelques jours pour la rapporter. la meilleure amie de Callie. Sa coéquipière.
√ la petite soeur qu'il protège trop. le connard qu'il tente de garder loin d'elle. son instinct protecteur qui prend le dessus. plus fort que lui, mais des autres qu'il s'éloigne depuis la mort de sa femme. six mois. les jours qui ne filent pas. le temps qui ne passe pas. le temps trop lent.
√ il ne parle pas de lui. les mots qu'il n'offre pas et la bague qu'il garde au doigt. plus simple de passer pour le salaud qui trompe sa femme.
√ la mort qui n'a pas été médiatisée. les demandes qu'il a fait, la police qui à tout faire pour le garder en état, mais vers le fond qu'il sombre de plus en plus.
√ la violence qu bouffe le ventre. il ne ferait jamais de mal à sa fille, à sa famille, mais les prisonniers qui doivent endurer les coups. que cette envie de briser. que cette envie de se défouler sur les connards de ce monde.
my life is a piece of shitLe cœur qui se serre lorsqu’il s’approche de la maison. Quelque chose cloche. Quelque chose de différent. Il le sait. L’ambiance qui n’est pas la même. Le frisson qui passe le long du dos. La petite qui n’est pas là. Chez une amie où elle allait dormir ce soir.
Sa femme qui attend. Sa femme qu’il aime.
Il gare la voiture. Le souffle qui passe difficilement. Le souffle qui vacille.
Il sort. Les pieds qui s’enfoncent dans le sol, les pas qu’il fait vers la demeure. Le cœur qui bat au fond du torse. La porte entrouverte. Le souffle qui ne file plus entre les lèvres, la peur qui ronge au fond des tripes.
Le temps en suspend et l’arme qu’il attrape entre les doigts. Les idées qui filent au fond du crâne et le calme qu’il tente de reprendre. Le regard qui file dans l’embrasure de la porte. Rien.
Il entre. Le silence qui fait passer des frissons le long de la colonne.
Le dos qu’il pose au mur. Le souffle qu’il retient.
Il la cherche. Callie. Sa femme.
La mâchoire qui se contracte alors qu’il avance. Qu’il sonde les pièces. Les escaliers en derniers recours et la peur qui se fait de plus en plus oppressante, étouffante.
Il monte. L’escalier qui craque sous les pieds. Une vieille maison qu’il aimait, mais qui n’a rien de silencieuse. L’odeur âcre qui se fait plus présente. Les larmes qui filent aux yeux. Il ne veut pas comprendre. Il ne veut pas avouer. Il ne veut pas savoir. Il ne veut rien entendre.
La porte qu’il pousse du pied.
Le cœur qui s’arrête au fond du torse, le cœur qui lâche et l’arme qu’il lâche au sol. Il n’arrive plus à penser correctement.
Le cadavre qui orne le lit. La superbe placée. La femme tuée par les mains de celui qu’il tente de faire enfermer. Le tueur en série. Le dragon rouge.
Le chaos au crâne. Le chaos qui file à la tête. Il vacille. Le bout de papier qu’il attrape.
Dommage que tu fille ne soit pas là. Ça sera pour une prochaine fois.Le noir au regard. Il perd la notion du temps.
Il s’effondre.
god help meAnnabeth qui n’est pas là. Quelques jours chez Amelia. Il lui a demandé. Cette peur qui le ronge. Cette peur de la trouver morte. Cette peur de ne plus être apte à redevint l’homme qu’il était avant. La folie de vengeance qui s’accroche au crâne et la suspension qu’il a reçue pour quelque temps. Il ne fonctionne plus comme il se doit. Qu’un fantôme. Qu’un autre pour semer le chaos. Les coups qu’il donne aux prisonniers sans penser, aux connards qui s’attaquent aux femmes, aux tueurs. Il ne supporte plus rien.
L’alcool qui engourdit les sens. La maison qu’il ne supporte pas. Cette impression de voir son ombre qui file, cette impression de la voir à chaque tournant. Le goulot qu’il porte les lèvres et le rhum qu’il avale, l’alcool qui brûle la gorge.
Il ne supporte plus l’endroit. Il ne supporte plus la demeure. La chambre de sa fille qu’il a vidée. Quelques affaires importantes qu’il a décidé de garder. Et le feu qu’il lance au plancher. Le feu qu’il laisse consumer la maison. Aucun appel.
Il sort. Il regarde la maison se briser. Les voisins trop loin pour en écoper.
Le passé qu’il brule. Il ne supporte plus rien.
all the single ladyton pseudo : belzé.
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