| | | Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana |  |
|  | | Sujet: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 18:35 | |
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Cara - Lana Hawkeye
La vie est loin d'être un long fleuve tranquille Nom : Hawkeye. √ Prénom : Cara - Lana. Mes parents ont longuement hésité entre ces deux prénoms. Pour ne pas trancher, ils ont opté pour les deux à la fois √ Âge : Vingt-sept ans. √ date et lieu de naissance : Le 14 Février 1987 à Memphis. √ vos origines : Américaines. √ Métier : Directrice d'un grand magasine de mode. Je suis à la tête d'une équipe qui gère que ce soit l'esthétique que le contenu de ce magasine. Et moi ? Je donne mon accord ou plutôt mon désaccord, je me pavane devant les médias et je me permets de demandes des plus extravagantes à mes gentilles assistantes. √ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. A vrai dire, je n'ai jamais tenté quoi que soit avec quelqu'un du même sexe.√ Statut matrimonial : Célibataire. Je n'ai pas le temps pour m'occuper de ça. √ côté financier : Aisée. Caractère : Mister Hyde et Dr Jeckyll, c'est un petit peu moi. Ce que je peux montrer de moi aux autres, c'est une femme forte, ambitieuse, qui inspire le respect et l'autorité. Une femme dynamique et passionnée par son métier. Il est hors de question pour moi de me montrer autrement que telle. J'ai l'air arrogante, hautaine et impulsive. Mais pour le peu de personne qui me connaissent, je suis sensible, attachante, aventurière, passionnée, drôle et généreuse. √ groupe : Haut les coeurs. the last songJe ne peux pas démarrer ma journée sans un bon café noir sans sucre. √ J'ai un côté aventurière, mystérieuse qui fait craquer un bon nombre de garçons. Cependant, peu de personne arrivent à passer au travers de ma carapace et à me découvrir telle que je peux l'être avec ma famille ou avec des personnes qui compte énormément. √ J'ai passé quelques jours en cellule à Acapulco pour avoir franchies les frontières mexicaines en toute illégalité. Mais je ne me rappelle presque de rien avec tout l'alcool que j'avais ingurgité ce jour là. Merci le pari de mauvais goût. √ Je déteste quand les choses m'échappent ou que ce que j'ai programmé ne se passe pas comme je l'entend. Je suis une directrice, il est donc logique que je prenne les devants. Je déteste les gens qui vivent au jour le jour, sans jamais rien programmé de leur vie. √ Il y a cinq ans, j'ai plié bagage après m'être violemment disputé avec mon père. J'ai donc posé mes valises au Mexique pendant un mois. Un mois rempli de débauche, de fêtes, de non prises de tête. √ Mon plat préféré ? Je dirais plutôt mon traiteur préféré. Je déteste faire la cuisine et ce n'est pas du tout dans mes cordes. Si vous voulez être sûr de bien manger, ne me demandez jamais de vous faire à manger. √ J'adore le cinéma. C'est la seule activité pour laquelle je m'accorde plusieurs soirées par semaine pour m'y rendre après le travail √ Je n'ai jamais supporté le divorce de mes parents. En réalité, j'en ai toujours voulu à mon père de nous avoir abandonné ma mère et moi. √ Après avoir passé un mois au Mexique, et après avoir passé une nuit remplie d'amour et de tendresse avec un homme dont j'étais fasciné, je l'ai laissé en plan, sans même lui dire au revoir, ni même le réveiller. Je suis partie dans laisser de traces derrière moi. √ J'adore la mode et c'est bien pour cela que je suis devenue directrice d'un magasine de mode. C'était mon but dès que j'ai commencé dans cette branche. story of my lifeJe me souviens … L'année 1997 : « Ma chérie, ton père et moi allons divorcer. » Ces mots résonnaient dans ma tête comme une mélodie de mauvais goût. J’avais alors 10 ans. Et je détestais mes parents depuis le jour où ils m’ont annoncé cette nouvelle. J’en voulais à mon père d’avoir un penchant plus important pour la bouteille que pour sa famille. Il n’a jamais su être là quand il le fallait, c’est d’ailleurs pour cela que ma mère décide de plier bagage et de divorcer. Je crois qu’elle ne supportait plus ces soirées qu’elle passait à attendre mon père. Elle sur le canapé, mon père dévalisant les bars de la ville, à la recherche de bouteilles d’alcool. Tous les soirs, c’était le même cinéma, il revenait à la maison dans un état plus que pitoyable. Je le détestais, d’avoir fait de notre vie un enfer, depuis qu’il considère la bouteille d’alcool comme la femme de sa vie. Il n’avait pas qu’elle comme femme il avait également toutes les voitures qui meublaient son garage. Il n’y a que dans ce domaine que mon père était le meilleur et était heureux. Même avec sa famille, il n’était pas aussi tendre que lorsqu’il bichonnait ses moteurs sur quatre roues. Ce n’était pas faute de passer de nombreuses heures à lui poser des questions sur ce qu’il faisait sur ces voitures, à passer du temps auprès de lui lorsqu’il travaillait. J’ai toujours rêvé d’être proche de mon père, comme toutes les petites filles. On dit souvent que les petites filles sont attirées par leur papa, pour moi c’était également le cas. Sauf que je me battais contre un mur, un mur d’une épaisseur incroyable et impénétrable. Mon père était indifférent à mes attentions. Et pour cela, je le détestais de n’avoir rien fait, de ne s’être jamais manifesté pour nous garder, ma mère et moi, près de lui. J’étais en âge de comprendre et ce que je ne comprenais surtout pas, c’était bien la non-réaction de mon père le jour où ma mère lui annonçait qu’elle voulait divorcer. Je me souviens … L'année 1999 : J’avais 12 ans, du moins je m’apprêtais à les fêter. Depuis le divorce de mes parents, je n’avais presque pas revu mon père. Je lui en voulais toujours autant de nous avoir littéralement abandonnée pour s’adonner encore plus à son activité favorite : la boisson alcoolisée. Je ressentais un grand sentiment d’abandon et c’est en refusant de le voir que je lui faisais payer. Depuis, j’étais devenue une gosse arrogante et presque garce. Je me laissais plus marcher sur les pieds et je paraissais hautaine et autoritaire. Mais ce n’était qu’une facette, déjà à cette âge là je m’étais forgé une sacrée carapace, assez épaisse pour que personne ne la détruise aussi facilement. Ma mère venait de se marier avec un homme qui avait beaucoup plus d’attention pour nous. Il faut dire qu’il ne pouvait pas faire pire que mon propre père. C’était un homme plutôt riche et c’est bien pour cela qu’il avait plus d’attentions. Mais je l’aimais bien, il me considérait vraiment comme sa propre fille et je l’aimais presque autant que mon père biologique. Peu de temps après leur mariage, ma mère était tombée enceinte, de jumeaux, un garçon et une petite fille. La différence d’âge était énorme mais je le prenais plutôt bien. J’avais souvent réclamé à mes parents un petit frère ou une petite sœur. Ma mère m’avait toujours répondu que ce n’était pas le moment.Alors, je me sentais comme une grande sœur pleine de responsabilités et j’en étais heureuse. Je me souviens … L’année 2005 :J’avais 18 ans. J’avais obtenu mon examen de terminale haut la main. J’étais une jeune femme très studieuse et déterminée. Pour la suite de mes études, j’avais décidé de consacrer ma carrière à la mode et au journalisme. Mon rêve ? Faire partie de la réalisation d’un grand magasine de mode, pour ne pas dire en être la directrice. Côté famille, tout se passait pour le mieux. Ma mère et mon beau-père vivaient des jours heureux avec leur petite famille. Les jumeaux se portaient à merveille et faisaient le bonheur de leurs parents. Mon père ? J’avais repris contact avec lui, après multiples tentatives de sa part. J’avais décidé de pardonner, mais de ne pas oublier. Nous avions fait des compromis afin que notre relation soit la meilleure possible. Je lui avais demandé d’arrêter de boire, de se soigner et en contrepartie, je venais le voir plus souvent et passais plus de temps avec lui. Cela fonctionnait et j’avais retrouvé mon père, telle que je l’avais imaginé. Certes, il était toujours autant passionné par son métier mais il ne buvait plus et se faisait soigner pour ce problème. Ma carapace s’était d’autant plus fortifiée, de peur de perdre à tout moment, une nouvelle fois, mon père. Je me protégeais grâce à elle. Je ne voulais pas souffrir et je ne voulais surtout pas le démontrer. Ma vie de jeune femme me permettait encore plus de construire cette facette de moi. Je n’étais encore jamais tombée amoureuse. Pourtant, je savais que je plaisais aux garçons et j’avais bien des propositions. J’eus quelques relations qui ne s’éternisaient jamais. Aucun d’eux n’avaient réussi à me voir telle que je peux l’être avec mon frère et ma sœur ou bien même avec mes parents. C’était bien pour cette raison que chaque histoire n’a pas duré aussi longtemps que je l’aurai souhaité, prétextant que j’étais superficielle. Non, je ne l’étais surtout pas. J’avais juste un caractère fort, un fort tempérament qui peut en bousculer plus d’un. Et derrière cela, j’étais quelqu’un de sensible, de naturelle, d’attachant, de doux, de généreux. Il m’arrivait de verser des larmes lorsque je repense au divorce de mes parents, à la vie rêvée que je voulais, à mon avenir. J’étais touchante, me disait ma mère lorsqu’elle venait me consoler lorsque j’avais une baisse de morale. Je me souviens … L’année 2009 : J’avais 22 ans à présent. Rien de ma vie n’avait changé, hormis deux trois petites choses. J’étais lancé dans les études que je voulais et ma famille était presque parfaite. Il s’est juste produit un évènement que j’aurai tellement voulu qu’il ne se produise jamais. Un évènement que je voudrais oublier à tout jamais. Flash backUn homme d’une quarantaine d’année, Rick, se trouvait dans son canapé, la télécommande dans la main et zappant à tout va. L’homme se trouvait seul chez lui et seul, le son de la télévision se faisait entendre. Tout à coup, la porte d’entrée claqua violemment et le bruit de talons sur le carrelage s’approchaient petit à petit du salon. Cara-Lana se pointa devant son père, le regard noir et intense. Elle se posta devant lui, devant le poste de télévision, les bras croisés.
- Tu n’as rien à me dire par hasard ?
Rick se mit à réfléchir et ne voyant pas de quoi sa fille voulait parler
- Je ne vois pas de quoi tu parles Cara..
- Ah bon, tu ne vois pas ? Et cette soirée chez ton soi-disant pote là, cette soirée où vous avez bu comme des trous ? Tu t’en souviens ? Ah bah non, tu ne t’en souviens pas, t’étais tellement bourré !! Tu me dégoutes. Tu m’avais fais une promesse, papa.
Rick ne répondit pas à sa fille, tellement honteux d’avoir recommencé à boire ce jour là, tellement honteux de ne pas avoir tenu sa promesse pour sa fille. Il ne lui répondit pas, assumant sa bêtise, ou plutôt ses bêtises, cette fois là, n’avait pas été la seule.
- Et je sais très bien que c’est loin d’être la seule fois où tu as recommencé à boire, papa. Tu n’auras jamais été capable de tenir tes promesses, même pour ta propre fille. Tu n’as d’ailleurs jamais su me garder auprès de toi, papa.
Sur ces dernières paroles, Cara repartit comme elle était venue, aussi furieuse, laissant un père désemparée et honteux.Pour résumer, on m’avait rapporté que mon père recommençait à boire. Je ne voulais pas les croire ces gens qui rapportent toujours les rumeurs. Mais j’eus la confirmation par des photos. Alors je voulais que ce soit mon père qui m’en parle, plutôt que ce ne soit moi qui le fasse. Mais jamais, il n’avait eu ce courage, jamais il n’avait eu de courage dans toute sa vie, même pour arrêter l’alcool. Alors j’avais plié bagages à mon tour, lui en voulant terriblement de m’avoir mentir, d’avoir trahi ma confiance, de pas avoir tenu ses promesses. Et j’étais parti pour le Mexique, afin de me vider la tête, de passer du temps sans me prendre la tête et surtout pour être vraiment moi-même. Là-bas, j’avais fais toutes sortes de rencontres. Mais une seules d’entre elles m’avaient marqué, elle avait marqué mon esprit jusqu’à mon âme. J’avais rencontré cet homme par hasard, dans un café. Il me fascinait, je n’avais pas compris comment cela était possible mais ce jour je n’avais pas pu m’empêcher d’aller à sa rencontre. Nous avions fait connaissance pour ne plus jamais se séparer par la suite. Il m’a fait revivre, avec lui je me sentais libre comme l’air, naturelle. Je me redécouvrais telle que je l’étais réellement. Nous avons fait les 400 coups à Acapulco ensemble. Boire de l’alcool, prendre de la drogue, passer les frontières du nouveau-Mexique en tout illégalité, passer plusieurs heures en cellule et que sais-je encore. Nous étions devenus liés comme les doigts d’une main, sans jamais se séparer. Pourtant, il n’y avait aucune attention entre nous, juste de l’amitié. J’étais attirée par lui comme un aimant et c’était réciproque, mais je ne voulais pas m’embarquer dans une relation alors que je savais que je n’étais là que pour quelques semaines. J’étais restée exactement un mois, un mois de ma vie qui a été sans doute le plus merveilleux. La veille de mon départ, je lui avais accordé ce que l’on désirait autant l’un que l’autre. Nous avions passé la nuit ensemble, une nuit remplie d’amour, de tendresse, d’attention. J’étais encore plus fascinée par lui, encore plus attirée par lui. Je ne savais comment cela était possible. Mais je m’étais assez amusée, j’avais assez pris de temps pour moi. Ma mère devait être morte d’inquiétude, j’étais partie sans dire un mot à personne, encore moins à mon père. Alors lorsqu’il dormait à points fermés, je m’étais éclipsée sans rien dire, sans laisser de mot. Je ne voulais pas qu’il se souvienne de moi, ni qu’il me retrouve. Certes, c’était une belle histoire mais c’en resterait là, point final. L’année 2014 : J’ai maintenant 27 ans. Ma vie est rythmée comme sur du papier à musique. Je suis à la tête d’un grand magasine de mode et j’ai donc toute une équipe à mes pieds, à diriger et à faire marcher comme je l’entends. Je ne dirais pas que je suis l’une des patronnes les plus cools, bien au contraire. Je n’ai pas changé dans mon caractère et je crois même qu’il s’est d’autant plus endurci depuis mon retour du Mexique, depuis cette rencontre. J’ai décidé que je n’avais pas de temps à consacrer à mes amours, je suis alors célibataire. La seule personne qui pourrait me faire succomber aux joies de l’amour, c’est cet homme que j’ai laissé en plan au Mexique. Mon père ? Nous nous revoyons de temps en temps, mais je n’ai pas pardonné. A chaque fois que l’on se voit, notre discussion se termine toujours en dispute. Je ne lui laisse aucuns répits et encore moins de seconde chance. Il travaille toujours autant dans son garage. Il a d’ailleurs un nouvel employé depuis plusieurs semaines maintenant. all the single ladyton pseudo : Ju'. √ âge : Vingt-deux ans. √ pays : France. √ fréquence de connexion : Autant que je peux mais dans l'idéal je dirais 5j/7. √ comment t'es arrivé ici? : Une pub sur Facebook. √ un commentaire? : Je suis vraiment contente de vous avoir rejoint. |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 18:49 | |
|  La plus belle !  Bienvenue par ici princesse  T'es trop sex  Merci de le tenter, encore une fois ! Ah... et j'adore vraiment trop ton titre  |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 18:51 | |
| Comme dis-je tout à l'heure à Joy, je suis nouvelle aussi mais Bienvenue tout de même  |
| | | | Chloe Sheeranadmin + Offer me that deathless death ≡ messages : 2178
≡ arrivée : 09/12/2014
≡ célébrité : nina dobrev
| | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 18:52 | |
| bienvenue ici |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 19:02 | |
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| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 19:10 | |
| J'adore ce titre Bienvenue  |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 20:07 | |
| Merci à toi |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 20:27 | |
| Ca fait un bout de temps que je ne l'avais point vu sur un RP Aslhey. BIENVENUE |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 20:49 | |
| Bienvenue |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 20:50 | |
| Bienvenue parmi nous et n'hésites pas si tu as des questions. |
| | | | Embry Sheeranfondateur + love the way you lie ≡ messages : 4823
≡ arrivée : 02/12/2014
≡ célébrité : michiel huisman.
| | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 21:08 | |
| Bienvenue la belle  |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 21:23 | |
| bienvenuuuuuuue  bonne chance pour ta fiche |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 21:24 | |
| Hellcome La belle Ashley  Bonne continuation pour ta fiche  |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Mer 17 Déc - 22:04 | |
| Merciii à tous, que du beau monde |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Ven 19 Déc - 3:13 | |
| le titre bienvenue |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Ven 19 Déc - 11:05 | |
| Merciii  |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Ven 19 Déc - 11:45 | |
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| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Ven 19 Déc - 13:03 | |
|  Super si ça te convient Owi quand tu veux babe  |
| | | | Embry Sheeranfondateur + love the way you lie ≡ messages : 4823
≡ arrivée : 02/12/2014
≡ célébrité : michiel huisman.
| | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana Ven 19 Déc - 14:08 | |
| bravo tu es validé Si c'est bon pour Abraham, c'est bon pour moi Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.   |
| | | | | | Sujet: Re: Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana | |
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| | | | | | Un lapsus c'est comme un cunnilingus, si ta langue dérape, t'es dans la merde • Cara-Lana | |
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