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feeling a moment (wolfgang)

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MessageSujet: feeling a moment (wolfgang) feeling a moment (wolfgang) EmptyMer 18 Mar - 21:50



Passer du temps avec Edwin redonnait le sourire à Annabelle, il s'occupait d'elle comme Elias ne l'avait pas fait depuis des années et c'était agréable de se sentir aimé, épaulé par quelqu'un qu'on apprécie. Au fond, son mari lui manquait, mais elle avait pris l'habitude de très peu le voir avec toutes ses missions dans on ne sait quel pays d'Afrique. Cela ne changeait pas réellement sa vie, à part le fait qu'elle avait l'image constante d'Elias avec une autre femme qu'elle, ça la détruisait, elle pleurait le soir mais elle donnait la faute à sa maladie qui la faisait se mettre dans tous ses états. Elle pouvait passer de la joie à la tristesse en moins d'une minute, devenir agressive pour n'importe quelle raison, et ça pouvait paraitre insupportable pour les personnes qui ne la connaissaient pas. Fort heureusement, Edwin était assez compréhensif avec elle, il arrivait à calmer ses ardeurs quand il le fallait, à apaiser sa tension permanente même si au fond, elle avait toujours ses pensées noires et ses sautes d'humeur.

Grâce aux vacances universitaires, Anna avait beaucoup plus de temps libre pour elle, elle pouvait vaquer à ses occupations sans se soucier de personne. De toute façon, les autres se fichaient pas mal de ce qu'elle ressentait, elle restait dans sa bulle ces temps-ci et ça lui convenait parfaitement de vivre ainsi. Sa vie se résumait à son travail, à dormir et à penser à tellement de choses qu'elle s'en donnait mal à la tête. Son médecin lui avait conseillé de se reposer, mais ce n'était pas possible pour elle de penser à autre chose qu'à son mari, qu'à son avenir avec lui. En réalité, elle n'avait pas réellement d'avenir puisqu'un mariage avait suffit à les unir, ils ne partageaient rien d'autres, Elias ne désirant pas réellement avoir d'enfants à cause de son travail très prenant. Et en ce moment, ça la préoccupait, c'était presque devenu un fantasme, parce que ça n'avait rien de réel. A trente six ans, elle savait très bien que faire un enfant pourrait être considéré comme une erreur, elle avait espéré tant de fois devenir mère, devenir une femme, une vraie, mais ce qu'elle reflétait était tout autre.

Alors, pour se donner bonne conscience, elle avait décidé de se rendre dans un orphelinat de la ville. Pour être honnête, l'endroit n'avait rien à envier, et les enfants non plus apparemment. Elle en avait vaguement entendu parler, surtout du directeur qui semblait se préférer à tant d'enfants jetés. Mais qu'importe, ça ne lui faisait pas peur d'aller affronter cet homme, peut être trouverait-elle un gamin à sauver ? Au fond, était-ce vraiment ce qu'elle désirait ? Annabelle n'avait de pitié pour personne, on lui en avait suffisamment donné alors ce n'était pas son genre de faire la même chose. Et pourtant, elle se retrouvait devant l'établissement, hésitant à entrer, ne sachant plus vraiment si son envie d'être mère était réelle. Qu'importe, elle franchit la porte et n'hésita plus une seule seconde, se retrouvant nez-à-nez avec un homme assez... surprenant. Son visage lui disait vaguement quelque chose, mais elle ne releva pas, car ce n'était pas possible qu'elle le connaisse. Une cicatrice était présente sur son visage mais elle ne s'attarda pas longtemps dessus, il était plutôt impressionnant, charismatique, mais surtout, il avait l'air mystérieux et pas des plus sympas. Elle tendit la main gentiment, se présentant. "Annabelle Mills." Lâcha-t-elle en laissant apparaitre un très léger sourire sur son visage. "J'entreprends d'adopter un enfant, et votre établissement m'a paru le meilleur endroit." Elle aurait pu choisir un autre orphelinat mais celui-ci lui paraissait être le bon, ces enfants n'étaient que des ratés aux yeux de tous, elle voulait constater.

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MessageSujet: Re: feeling a moment (wolfgang) feeling a moment (wolfgang) EmptyVen 20 Mar - 20:45


FURY

Les enfants qui courent. Correction immédiate. Les chacals à la carcasse putride qui s'épuisent après une charogne, un animal mort qu’ils ont ramassé, lapin ou chat, qu’importe, c’est crevé et sans danger. Eux qui passent sous le regard inquisiteur, attendent un sourire, un mot, quelque chose pour indiquer qu’ils ne font pas fausse route, que le maitre des lieux est d’accord. Figure paternelle à laquelle s’associe Wolf. Lui le terrible, lui qui laisse passer les horreurs et cogne lorsqu’ils se permettent la banalité. Des monstres qu’il façonne, des gosses bons pour l’asile. Pour le moment, ils sont à sa charge. Un jeu. Comment vont-ils s’en sortir dans une famille, vont-ils réitérer les erreurs ? Curiosité malsaine. Rien d’autre qui le pousse à ces supercheries, ces diableries d’un homme qui s’ennuie loin de la scène et des acclamations. Probablement une forme de narcissisme, l’envie de prouver qu’il sait encore jouer mais différemment. Marionnettiste. Des lettres arrivent chaque jour, s’entassent à son bureau, d’autres qu’il brule, déchire, abandonne, jette par la fenêtre ou donne à manger aux rats. Des intéressés, des incapables, des menteurs, des profiteurs. Sans intérêt. De la gentillesse, des naïfs, des abrutis, des bisounours, c’est ce qu’il attend. Eux les sauveurs, eux qui pensent arracher un animal de l’abattoir.

La journée s’épuise à quelques papiers, lettres et autres nécessités que son rôle de directeur demande. Une plaie. Chaque jour il se demande pourquoi, POURQUOI ce choix. Peut-être qu’il n’y a qu’un rappel du passé, de ce que lui a vécu. L’enfermement, l’éloignement et les pensionnats. Un juste retour des choses, une vengeance sur des inconnus.

Les portes qui s’ouvrent et laissent passer une inconnue. Il observe, tête penchée de côté, curieux de cette nouvelle qui ose pénétrer en territoire dangereux. D’ordinaire, ils prennent rendez-vous, ne viennent pas à l’improviste. Mains qui se serrent, prénom qu’elle lui donne. Aucun souvenir. Dix ans. C’est lointain, c’est une vie passée et calcinée. « Wolfgang Klinger » L’allemand qui traine à ses mots. Un rictus qui s’étire aux paroles de Mills. « Rectification, vous désirez un monstre. Une préférence peut-être ? Pyromane, cannibale, inceste, homicide. Le choix est vaste » Les troubles qu’il énonce, certains vrais, d’autres faux, ou peut-être que… Il ne ment jamais Klinger. « L’unique fille que vous verrez n’est pas à vendre… » Sa belle Mhyrra, le joyau d’une collection, la précieuse cachée à l’étage. « …considérez qu’elle m’appartient. Les autres... peu importe. Faites votre marché. C’est pourquoi vous êtes ici » Un regard de biais et le voilà qui tourne le dos, repars, un geste qui indique de le suivre jusqu’au salon, pas le bureau, plus tard. « Mais vous savez que la procédure est longue. Qu’à la fin de l’entrevue, l’enfant ne sera pas à vous. Il est nécessaire de savoir si vous êtes apte à en élever un » Mots qui se répercutent aux murs. Les fauves cavalent dans les couloirs, rejoignent le salon. Petits soldats et leur plus beau sourire. Beaux menteurs. « Un trouble en particulier qui vous intéresse ? »

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MessageSujet: Re: feeling a moment (wolfgang) feeling a moment (wolfgang) EmptySam 21 Mar - 22:29



A peine entrée, et on a déjà cette impression d'être dans une prison. Ou un asile psychiatrique. D'ordinaire, ça aurait très pu apeurer Annabelle mais elle est bien plus forte que ça, la pitié elle n'en veut pas et pourtant ici, les enfants en auraient bien besoin. Ce n'est qu'une première impression, elle n'a pas encore vu les enfants, les petits courir, s'amuser... C'est tout simplement glauque pour accueillir tant d'enfants, ça donne la chaire de poule et pourtant, elle ne recule pas, elle est décidée à entrer dans cet endroit qui lui fait peur au fond. Et ce n'est pas le seul problème, l'homme qui se présente à elle n'a rien de sympathique, il est froid comme la glace, son accent allemand résonne dans les oreilles d'Anna, un accent qu'elle a l'impression de connaitre. Wolfgang Klinger. Tout compte fait, ce nom s'accorde parfaitement avec l'endroit, un air de psychopathe lui colle au visage et pourtant, il tient un orphelinat. Une apparence tout simplement.

La façon dont il décrit les enfants qu'il garde en dit long sur ce qu'elle doit penser. Il ne ressent donc rien pour ces gosses ? Il a dû faire un choix, celui de les garder, de s'en occuper, et pourtant, on a l'impression qu'il les déteste, il les décrit comme des monstres, ce qu'ils sont apparemment. Annabelle arque un sourcil, elle ne comprend pas comment on peut faire ce métier et réagir ainsi, surtout face à de potentiels adoptants. "Je suis certaine que ce ne sont pas des monstres." Réplique-t-elle en essayant de se forcer à sourire malgré son air qui la déconcerte de plus en plus. Il essaie peut être de lui faire peur, Wolf, mais ça ne fonctionne pas, elle garde son air déterminé sur le visage, elle n'a pas peur. "A choisir, un pyromane pourrait me convenir." Pour mettre le feu à sa maison avec Elias à l'intérieur, ça pourrait lui enlever un poids, lui soulager la conscience, ou même lui faire comprendre ce qu'elle a ressenti lorsqu'il lui a avoué ce qu'il lui avait fait. Mais qu'importe, elle n'est pas là pour penser à Elias, c'est du passé, il est l'heure de se reconstruire, et ça commence ici et maintenant. "De toute façon, je n'envisage pas de prendre une fille." Ces paroles lui glacent le sang, elle a l'impression que c'est un pervers qui parle et elle se demande bien comment on peut autoriser un homme pareil à s'occuper d'un tel endroit. Elle hausse les épaules, puis le suit vers le salon où se trouve les enfants. Ils ont l'air de s'y plaire, même si au fond, ils n'ont pas de véritables sourires sur leurs visages, ils se forcent, c'est comme s'ils étaient dans leur bulle, et d'ailleurs ils ne remarquent même pas qu'Annabelle a fait son entrée. Elle soupire en l'écoutant parler, elle sait très bien que la procédure est longue, mais qu'importe, elle est bien décidée à agir, même s'il fait tout pour l'en empêcher. "Je sais à quoi m'en tenir, merci." Parce qu'il a l'air de la prendre pour une idiote, alors elle rectifie, elle connait très bien toutes ces choses, ces procédures, et ce n'est pas lui et ses faux airs de méchants qui vont l'effrayer. Il commence à l'agacer à parler ainsi, imbécile. Et irrespectueux. "Vous ne ressentez dont rien pour eux ?" Elle lève les yeux au ciel. "Je me demande pourquoi vous faites ce métier, si ce n'est pour rabaisser les autres." Sa mère l'a abandonné ? C'est à se demander.

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MessageSujet: Re: feeling a moment (wolfgang) feeling a moment (wolfgang) EmptyMer 25 Mar - 19:16


FURY

« Je suis certaine que ce ne sont pas des monstres » Un éclat de rire qui se propage à la gorge, soulève les lippes et se tait. Il se demande un instant comment est-il possible d’être aussi optimisme, comment peut-elle encore croire que les enfants qui sont ici, qu’il recueille la plupart du temps dans des centres spécialisés, ne sont pas des monstres. COMMENT ?! Chacun des sept est dégénéré, foutu de naissance, cinglé et bon pour la décharge. En rien ils ne sont fait pour être vendus à des familles, juste bons pour être échangés contre des billets comme de vulgaires animaux. « Tout dépend de votre définition du monstre. Mais un enfant sera toujours plus effrayant qu’un adulte, car ne possédant aucune limite à son imagination » Aucune barrière de conscience, un bien et mal curieusement mal dissocié. Les enfants et leur sadisme qu’on excuse. Ce sont de vrais diables, des erreurs, des horreurs sur lesquelles il a totale autorité. Il suffit de voir leur regard, les têtes qui se baissent. Ils sont dressés et rien de plus.

La remarque l’étonne une fraction de seconde, assez pour l’amuser, se permettre l’ébauche d’un sourire, d’une expression ombragée. « Auriez-vous l’intention de transformer un enfant en arme ? » La réplique vient toujours, des mots qu’il ne laisse jamais en suspens, toujours prendre le dessus, gagner le duel. Un pryomane. Il se demande quelle en serait l’utilité. Brûler des voisins curieux ? Ou peut-être un mari infidèle ? Cette question se garde à sa mémoire.

Les paroles de la terreur. Mhyrra qu’il mentionne, la protégée-piégée à ses envies, la gamine pour qui il ne comprend pas encore ce qu’il ressent. Desaxé. La confusion qu’elle porte est terrifiante. Gamine enfermée à l’étage, gosse qui va chercher à tambouriner aux portes en comprenant qu’il y a une issue. Pas de coups, pas encore, pour plus tard. « Pourquoi un garçon plutôt qu’une fille ? Quel est le facteur qui détermine votre choix ? » La réponse l’intéresse. Chacun est différent et il aime à entendre la raison de leur choix.

Le soupir qu’elle se permet l’agace déjà. L’envie d’enrouler ses doigts autour du cou, de lui arracher toute envie d’impolitesse et d’air supérieur. Une idée ravissante qui percute ses envies. Les doigts qui jouent sur l’accoudoir du fauteuil. Wolfgang abandonne les pulsions assassines… pour un temps. « Je ne suis pas leur père, je ne suis qu’une figure d’autorité à laquelle ils ont besoin de se rattacher pour essayer de se construire » Paroles assurées, des vérités prononcées. Devrait-il ressentir un semblant d’émotion, de l’attachement ou pire, de l’amour ? « Ce sont des enfants qui sont vendus. Il est inutile de s’attacher à la viande » Les propos de l’horreur. Des enfants qu’il compare à des bœufs envoyés à l’abattoir. Des enfants qu’il vend sans souci de conscience, sans vouloir connaître le lieu de destination, tant qu’on veut bien de leur présence. « Mais sachez que j’ai plus d’affection pour eux, que pour les personnes à la langue fourchue » La menace se tend aux paroles. Les ambres qui hurlent à la folie. D’un regard il ordonne aux sept d’avancer, de se présenter, d’expliquer en quoi ils seraient des enfants parfaits. Paroles connues à la perfection mais piètres comédiens.


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MessageSujet: Re: feeling a moment (wolfgang) feeling a moment (wolfgang) EmptyDim 29 Mar - 19:16



Il rit lorsqu'elle lui annonce que ce ne sont pas des monstres et elle le regarde, ahurie. En réalité, elle ne sait pas quoi penser de lui, de cette façon qu'il a de traiter les gens. Parce qu'il la regarde avec un air supérieur qui ne lui plait pas vraiment. Il est effrayant, sauf qu'elle n'est pas du genre à avoir peur pour si peu, et s'il veut l'effrayer, il a du pain sur la planche. "Je suis d'accord avec vous, ils n'ont pas de limite à leur imagination, mais ça n'en fait pas des monstres pour autant." Anna soupire, parce qu'il la désespère avec ses paroles toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Les enfants n'ont peut être pas de limite à leur imagination, mais il est censé être là pour leur enseigner les choses que l'on peut faire ou non. Alors dans ce cas, c'est peut être lui qui les incite à être mauvais, des monstres, comme il dit si bien. "Je ne pense pas que l'on ait la même définition du monstre, alors je ne compte pas débattre avec vous." Répond-t-elle sèchement, parce qu'il l'agace à vouloir avoir raison. OK, il connait peut être ces gosses, mais qui est-il pour se permettre de les juger si méchamment ? Personne, il ne les a visiblement pas sauvé en les accueillant ici.

L'idée même de brûler son mari pour son infidélité la fait sourire, et lorsqu'elle lui réplique que ça pourrait l'intéresser, il esquisse un petit sourire, peut être est-il amusé par la situation ? Elle n'en est pas en tout cas, les paroles ont dépassé son esprit parce qu'elle sait que même si elle avait l'occasion de faire du mal à Elias, elle ne le ferait pas, ou du moins, pas en le tuant dans d'atroces souffrances. "Loin de moi cette idée." Pas si loin que ça, mais rien que le fait d'y avoir songé une seconde lui donne un frisson. Elle ne sait pas comment réagir et cet homme l'intimide, mais elle arrive à rester de marbre. "Un garçon sera toujours plus proche de sa mère." Même si au fond, elle ne serait jamais la vraie mère de cet enfant, mais elle désirait une proximité constante, et surtout, elle ne se voyait pas élever une fille, elles sont encore plus fourbes que les garçons et elle n'avait certainement pas envie de se prendre la tête à faire des trucs de filles parce que ce n'était pas son genre. Après, elle savait qu'elle avait le choix en venant ici, pas comme les femmes enceintes qui espèrent avoir tel ou tel sexe. "Puis de toute façon, mes raisons ne vous regardent pas." Froide, comme l'impression qu'il lui renvoie, elle n'a pas envie d'être sympa, ce n'est pas son but.

"Parce que vous pensez être l'homme idéal, l'homme sur qui ils doivent prendre exemple ?" Parce qu'il n'en avait pas l'air, il n'avait rien de sympa et elle se demandait comment il avait atterri ici, à faire ce boulot qu'il n'avait même pas l'air d'apprécier. Wolfgang continuait de comparer les enfants à des monstres, et Annabelle n'était plus certaine de vouloir discuter avec lui, de minutes en minutes, il l'horripilait au plus haut point. Elle avait envie de lui donner une baffe, de le secouer ou même de le pousser dans des escaliers, juste pour voir ce qu'il ressentirait s'il était plus bas que terre. Enfin bon, à la vue de sa cicatrice sur le visage, il avait déjà dû ressentir ceci, mais elle n'avait pas eu le plaisir de le voir détruit, comme ces enfants. "Vous êtes malpoli. Et le seul monstre que je vois ici, c'est vous." Lâche-t-elle, même si elle ne se sent pas en sécurité, elle s'affirme, elle n'a pas peur. Non... Les enfants se présentent à tour de rôle devant elle, elle a l'impression qu'ils récitent un texte et pour autant, ça ne l'effraie pas, ils ont été éduqué comme ceci, par ce type.

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