Nom : né sous X, c'est tout naturellement qu'il porte le nom de sa famille adoptive, soit O'Reilly. √ Prénom : Alec Sebastian sans raison particulière, juste parce que ça plaisait à ses parents. √ Âge : vingt-quatre ans, même si parfois on se demande s'il n'est pas encore un ado de seize piges ! √ date et lieu de naissance : un 24 septembre à Detroit. √ vos origines : difficile à dire étant donné qu'il ne sait rien de ses parents, mais on suppose qu'il est américain. √ Métier : étudiant raté en droit, il a accumulé pas mal de petits boulots pas très folichons après avoir tout laissé tomber, aujourd'hui il est homme à tout faire à l'hôpital, ouais parce qu'il y passe pas encore assez de temps comme ça. √ Orientation sexuelle : tout ce qu'il y a de plus hétéro, il aime bien trop les filles pour s'intéresser aux quéquettes. √ Statut matrimonial : il aurait presque envie de se croire sur FB est vous répondre "c'est compliqué", mais ça ferait un peu drama queen alors on va se contenter de célibataire. √ côté financier : c'est pas très brillant, mais il commence à enfin s'en sortir. Caractère : sociable il parle facilement à tout le monde, la timidité ne faisant pas parti de son vocabulaire. Il est rarement nerveux, ou inquiet, ou même stressé, il a toujours pris les choses comme elle venait sans se prendre la tête. Il aime rire, bouger et a toujours des idées pour quoi faire, c'est une véritable petite boule d'énergie. Il aime écouter les autres parler, plutôt empathique il a une facilité déconcertante à comprendre et à cerner les gens qui l'entourent. Alec a toujours eu la capacité de voir le bon coté des choses, il a toujours été optimiste, ça rend les choses souvent plus simples. bien qu'il soit foncièrement gentil, il ne faut pas croire qu'il soit totalement passif pour autant. Alec a un tempérament qui peut vite s'enflammer, et il a tendance à être emporté. Un coté de sa personnalité qu'il a développé relativement récemment est sa tendance à être secret. Il parle peu de lui à présent, cachant plus que tout sa maladie. Il a une fâcheuse tendance à penser avec sa queue, c'est un chaud lapin mine de rien. Alec a également la fâcheuse tendance à être jaloux, un sale défaut qu'il l'insupporte et qu'il tente de cacher du mieux qu'il le peut. Et malgré tous les efforts qu'il fait, il est pour son plus grand malheur d'une maladresse sans nom... √ groupe : cœur d'artichaut.
the last songil était le petit gros à lunettes de service quand il était gamin, c'est vers 18 ans qu'il a commencé à perdre du poids.
√ il a un vieux toutou, un berger australien rouge, du nom de Google, qu'il a dû laisser chez ses parents, mais il le prend régulièrement pour le promener.
√ il adore passer des journées en calbute à regarder des séries ou à jouer aux jeux vidéos, et n'essayez même pas de le couper dans son élan, il risquerait de s'énerver.
√ il joue de la guitare depuis des années, et paraît qu'il chante plutôt bien, mais franchement il préfère pas le faire en dehors de sa chambre. même si le karaoké ça le fait bien délirer.
√ il part en voyage une fois par année avec son frère et sa sœur, chaque fois ils visitent un nouveau pays.
√ il ne sait rien de sa famille biologique, même si rencontrer sa mère le titille de plus en plus. mais il ne veut pas le faire en étant malade, de peur qu'elle pense qu'il n'est là que pour ses reins.
√ il ne parle jamais de sa maladie, son insuffisance rénale chronique c'est son plus grand secret aujourd'hui. et puis son boulot à l'hôpital est un bon alibi pour le temps qu'il y passe pour ses dialyses.
√ il fait parti d'une équipe de rugby depuis pas mal d'années à présent, même si théoriquement il ne devrait plus pratiquer de sport.
√ c'est un fan incontesté d'histoires de zombies, de SF, et de tous ces trucs, alors vous avez de fortes chances de la croiser dans des conventions.
√ il adore les sushis, enfin surtout le wasabi. en mettre trois fois trop, c'est un peu sa passion en réalité.
√ il ne supporte pas les photos de lui étant gamin, il crie toujours sur ses parents lorsqu'ils ressortent les vieux albums à cause de ça.
√ il va souvent au cinéma tout seul, il se met dans un coin et enlève ses chaussures dès que la salle est plongée dans l'obscurité.
√ avant il habitait à Detroit, il a emménagé à Memphis quand il avait sept ans.
story of my life
Il n'a pas envie d'être là. Vraiment pas, et ça se voit, ça se sent. Sa jambe bat la mesure sur le sol, alors qu'il jette des regards nerveux de chaque coté du couloir. Il est seul à attendre sur cette chaise inconfortable, dans ce couloir froid qui sent le désinfectant. Même lorsqu'Anya revient, un café entre ses mains, Alec ne réagit pas. Pourtant Anya, sa grande sœur est un peu son roc, sa moitié, son tout. Elle aussi est une pièce rapportée à la famille O'Reilly, mais une pièce dont il a l'impression qu'elle aurait toujours dû être à ses cotés. Mais en ce moment, le brun est bien trop nerveux pour que sa seule présence réussisse à l'apaiser. Alors lorsqu'elle s'assoit juste là, à quelques centimètres de lui et l'observe l'air inquiet, Alec ne prend même pas la peine de la regarder en retour. Il continue de s'agiter, frottant à présent ses mains moites contre son jeans. Anya dépose son gobelet en plastique à ses pieds, et sa main vient arrêter celle de son frère, dans un geste doux et délicat. Enfin Alec s'arrête net de bouger, et regarde son aînée. Elle peut voir dans ses yeux qu'il a peur, et c'est bien la première fois qu'elle peut observer cette émotion dans son regard. C'est un peu comme un coup de poignard en plein cœur pour la brunette, mais elle tente de rester forte, pour lui.
"Monsieur O'Reilly ? C'est à vous." Le docteur s'avance jusqu'au jeune homme et lui tend une main forte, lui servant un sourire qui se veut chaleureux, mais qui paraît tellement faux aux yeux d'Alec. Puis il fait de même avec la jeune femme, avant de les inviter à le suivre d'un geste de la main. Aujourd'hui, Alec n'a rien dit à ses parents, ils sont déjà bien assez inquiets pour leur fils comme ça. Il aurait voulu être seul, mais Anya ne lui a pas laissé le choix, elle s'est imposée refusant catégoriquement qu'il affronte seul ce moment. Il aurait pu lui mentir, lui dire que son rendez-vous était repoussé, mais Anya est bien trop maline pour se laisser berner de la sorte par son petit frère. Alors lorsqu'ils rentrent dans la salle, c'est en se tenant la main, et ils ne se lâcheront plus.
"Bien Monsieur O'Reilly Il ouvre le dossier posé devant lui, le parcourt rapidement du regard, avant de croiser ses mains sur son bureau et de regarder Alec droit dans les yeux.
Vos résultats sont revenus, et comme nous le craignions il s'agit bien d'une insuffisance rénale chronique." Il ne prend pas de pincettes, lâche la sentence d'une traite, ne laissant derrière ses mots qu'un Alec abasourdi, et une Anya qui commence déjà à le questionner, comme si c'était sa manière à elle de garder la tête hors de l'eau.
"Est-ce qu'il y a une possibilité que nous soyons compatibles avec Alec ?" Elle a peur de connaître déjà la réponse, mais elle ne peut s'empêcher de demander quand même. Elle sait qu'aucun membre de leur famille n'est biologiquement relié aux autres, que les trois enfants O'Reilly ont été adoptés, mais elle ne peut s'empêcher d'espérer.
"Et bien, les chances sont minces, mais nous pouvons tout à fait faire un test de compatibilité." Elle acquiesce, serrant un peu plus fort la main de son frère, comme pour lui insuffler sa propre force. Mais Alec n'a pas bougé d'un pouce, il n'a pas réagi. Il se contente de fixer le presse papier posé sur le bureau en chêne massif. Et lorsque son docteur lui expliquera ce qui l'attend à présent, le brun continuera d'observer cet objet, sûrement l’œuvre de l'un de ses enfants. Parce que clairement un docteur ne peut pas décemment décidé de son plein grès d'acheter un truc aussi laid ! Voilà ce à quoi pense Alec, et franchement il aurait préféré pouvoir continuer à ne penser qu'à ce pauvre caillou peint pour le reste de sa vie, plutôt que de devoir affronter tout ce qui va lui tomber dessus désormais.
Il en a juste marre de vivre chez ses parents. En vérité il en a marre de pas mal de trucs, même. Mais au moins il a arrêté d'agresser le monde pour un rien pour se venger de tout ce qui lui tape sur les nerfs. Oh bien sûr, ça lui a pris pas mal de temps avant d'avaler le fait qu'il soit malade, mais il a fini par s'y faire. Et s'il peut rien y changer de coté-là, il s'est dit qu'il pouvait bien se barrer de chez ses parents. Alors il a décidé que s'incruster chez son frangin et son coloc' ça serait une bonne idée ! Il a téléphoné la veille pour annoncer la nouvelle à Galen. De toute façon, c'est pas comme si entre eux ils se faisaient des courbettes et tournaient autour du pot pendant mille ans. Un simple
"Hey vieille couille, j'ai de quoi payer ma part du loyer alors je m'installe demain dans la chambre que t'as en rab." laissé sur son répondeur, ça a suffi entre les deux frangins, enfin Alec se dit que ça a suffi. Parce que si c'était pas le cas, il l'aurait rappelé. Il se serait pas gêné pour l'envoyer chier, ça Al en est certain. Alors il est là devant la porte avec son sac à dos, hésitant entre entrer comme si il était chez lui, ou toquer comme un type civilisé. Finalement il opte pour une mix des deux, le brun toque et entre sans attendre une seconde.
"Salut les gens, ici votre nouveau coloc' !" Il gueule un peu fort histoire qu'on l'entende débarquer, parce que doit bien y avoir quelqu'un dans les parages si il s'est pas pris la porte d'entrée en plein milieu de la gueule en tentant de l'ouvrir. Mais il voit personne, du coup il pose son sac et enlève ses chaussures - un vieux réflexe - avant de se mettre à parcourir l'appartement.
"Bordel Galen tu fous La phrase reste en suspend l'espace de quelques secondes, alors qu'Alec vient d'ouvrir la porte de la cuisine.
quoi" La fin est prononcée avec un air d'ahuris. En face du brun, ce n'est pas son frangin qui se tient, non. C'est une petite rouquine qui le dévisage incrédule.
"Marlee ?" Comme si la réponse n'était pas évidente... Oui, Marlee. Cette fille pour qui il a un crush depuis son adolescence, et avec qui il commence à peine à flirter.
Putain... Galen est un connard sans nom, il a jamais dit que son coloc' était UNE PUTAIN DE COLOC', et pas n'importe laquelle, bordel ! Enfin pour la défense du big bro, il en a aucun idée lui, que Marlee ben c'est LA fille dont Alec parle tout le temps. Dans quelle galère il vient de se foutre ?! Il en oublierait presque que la jolie rousse était à deux doigts de lui détruire la tronche à coup de botte de radis...
"Pose ces radis sur le plan de travail, Marlee... je te veux aucun mal, j'suis juste le nouveau colocataire. Et je suppose, vu la gueule qu'on tire, que Galen t'as jamais dit non plus que j'étais son frère." En position défensive, histoire de se protéger d'une attaque soudaine de légumes roses et blancs, Alec sait pas trop s'il doit rire ou pleurer de la situation... Faut dire que si habituellement il gère pas mal la drague avec les filles, avec Marlee c'est un peu la galère.
all the single ladyton pseudo : Bismuth.
√ âge : 25 piges.
√ pays : Suisse.
√ fréquence de connexion : Ça dépendra de la quantité de job que j'aurai au travail, et de ma vie sociale.
√ comment t'es arrivé ici? : bazzart est mon amiii.
√ un commentaire? : prout ?
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le scena était en compet et ca ne la bottait pas ;)
bon courage pour cette fiche 
(et en voyant qu'une autre tente sa chance, je me dis que j'ai vraiment bien fait ! mes nerfs auraient jamais tenu le coup 
