Nom : o'halloran, patronyme irlandais hérité de son père. √ Prénom : aifric nuala, deux prénoms peu communs pour les états-unis. sa défunte mère les a choisi, aifric parce que c'était jolie et nuala, le prénom de sa propre grand-mère. √ Âge : vingt six printemps. √ date et lieu de naissance : le vingt six mai à glendalough en irlande. √ vos origines : irlandaise pure souche. √ Métier : fraîchement psychologue, même s'il l'a fait douter. √ Orientation sexuelle : la barbe, les mains rugueuses, les hommes. √ Statut matrimonial : célibataire, dans une impasse. √ côté financier : riche, elle n'a jamais manquée de rien. Caractère : douce, vivante, à l'écoute, souriante, positive, généreuse, empathique, authentique, sincère, discrète, organisée, loyale, spontanée, drôle, rêveuse, têtue, boudeuse... √ groupe : coeur d'artichaut.
the last songpetite, elle avait peur des ténèbres, la noirceur la plus profonde, la plus totale, celle dans laquelle vous ne voyez même pas vos propres mains. Aujourd'hui, la peur s'est transformée en crainte, si la noirceur ne l'effraie plus, elle se sent oppressée lorsqu'il fait trop noir, elle déteste ne rien voir.
√ elle aime la musique, elle aime en écouter, elle aime danser, elle aime en jouer. Aifric, elle joue du piano depuis qu'elle est toute petite, ça la détend. Elle aime le classique, bethoven, mozzart, tchaïkovski, mais elle aime d'autres styles musicaux.
√ elle a toujours été très attentive, portant attention aux gens qui l'entourent et tentant de les comprendre. elle est douée pour cerner les gens, pour s'immiscer dans leur esprit et c'est ce qui fait d'elle un bon psychologue.
√ elle adore les animaux, elle a deux chats et un chien, elle est complètement dingue d'eux, ce qui est tout à fait normal vu leurs bouilles adorables.
√ elle n'est pas très fanatique de viande rouge, elle préfère de loin la viande blanche et les fruits de mer. Elle aime la nourriture biologique et elle a horreur des abattoirs, elle préfère de loin les animaux élevés dans le respect, pas ceux entassés les uns par dessus les autres et maltraités.
√ en plus de parler anglais, Aifric, elle parle l'irlandais et le français.
√ elle a toujours gardée un côté un peu enfantin, adorant les manèges, les fêtes foraines, les parcs aquatiques, les zoos, les surprises, les bonbons... malgré tout, elle est très mature, mais elle garde son coeur d'enfant.
√ ses relations amoureuses ont toujours tournées au fiasco, mais elle n'a jamais perdue espoir de trouver le grand amour. Elle sait que ça fait quelque peu fleur-bleue, mais elle l'accepte parfaitement. Aifric, elle n'est pas du genre à coucher avec n'importe qui, au contraire, elle doit d'abord connaître l'homme en question, ressentir plus que de l'attirance physique pour lui.
√ elle a une grande famille et elle l'adore, Aifric, elle est très familiale, faisant passer ses proches avant elle-même, la plupart du temps.
√ elle aime bouger, faire du sport, jouer au volley-ball, faire du jogging, elle aime le cardio, le yoga, le kick-boxing.
√ elle aime la lecture, la poésie, la psychologie, bien entendu. Elle lit à chaque soir avant de se coucher, elle en a besoin, elle dévore les livres en très peu de temps.
story of my lifeElle lève le regard, Aifric, ses yeux se posent sur le visage de l’homme qui pousse la porte de son bureau. Pendant un instant, elle a la désagréable impression que son cœur s’arrête. Son regard se fige sur lui, ses yeux le détaillent. Aifric, elle reste muette durant l’espace d’un instant, avant de secouer légèrement la tête pour sortir de sa stupéfaction.
« Jarred ? Vous pouvez entrer. » Elle lui désigne le fauteuil d’un geste de la main, avant de faire le tour de son bureau et de se poser sur le fauteuil d’en face.
« Bonjour, docteur O’Halloran. » Le brun se pose alors sur le grand fauteuil, son regard ne se détachant pas de celui de la jeune femme. Elle a l’impression de se perdre elle-même à la vision de ce visage, elle perd ses moyens, ce qui n’est pas coutume chez elle. Elle scrute son visage, ses yeux, comme si elle pouvait lire en lui, le dévisageant plus qu’elle ne le voudrait. Les mots lui échappent, elle reste à nouveau muette, Aifric, tandis qu’un léger sourire se forme sur les lèvres de l’homme.
« Vous allez bien, doc ? Vous semblez tendue. » À nouveau, elle secoue la tête et se passe une main sur le visage.
« Oui, excusez-vous. Je ne m’attendais pas à vous voir ici. Vous voulez quelque chose à boire ? Un thé, un café, de l’eau, avant de débuter la séance ? » Elle lui sourit, avant de se lever alors que son sourire à lui s’agrandit sur ses lèvres.
« Juste un verre d’eau, merci. » Elle lui sourit légèrement puis se dirige vers le frigo, en sort le pichet de crystal, avant de verser l’eau citronnée dans deux verres remplis de glaces. Elle profite de cet instant pour se changer les idées, pour essayer de se ressaisir, avant de lui sembler davantage étrange et aucunement professionnelle. Elle a tout simplement été subjuguée par lui, par ses yeux, par sa beauté et sa présence, tout comme à cette première fois, où elle l’a rencontré alors qu’elle était coincée dans le véhicule et qu’il l’a sortie de là. Aujourd’hui, elle ne s’attendait pas à le revoir, pas ici, pas au boulot. Aifric, elle s’approche de lui, lui tend le verre et retourne s’asseoir, saisissant son carnet et son stylo. Elle est prête à l’écouter, à lui poser des questions, à agir professionnellement, comme il se doit.
❖❖❖
« Je fais toujours ces fichus cauchemars, je l’entends crier, je sens encore l’odeur de la fumée. Je dors seulement quelques heures par nuit et je me réveil en panique à tous coups. » Il passe ses deux mains sur son visage, laisse échapper un soupire.
« À chaque fois, j’essaie de le ramener, de l’empêcher de tomber et c’est inévitable. C’est douloureux, vraiment douloureux. » La colère, l’impuissance, ils dominent ses traits, suivit par la tristesse, la douleur.
« J’aurais pu le sauver, tenir juste quelques secondes de plus. » Elle se lève, se pose à côté de li sur le fauteuil. Aifric, elle dépose doucement sa main sur son bras, dans un geste qui se veut réconfortant et totalement innocent. Ils en sont à leur sixième séance et c’est la toute première fois qu’il se confie vraiment, qu’il plonge au cœur du sujet, de la raison de sa présence ici.
« C’est encore tellement frais dans votre tête, Jarred. Vous avez vécu un événement épouvantable. Les cauchemars sont tout à fait normaux, c’est votre douleur qui parle, votre culpabilité. Si vous aviez tenu quelques secondes de plus, vous auriez pu y passer aussi. Vous n’y pouviez rien, c’est la triste réalité. Ce qui s’est produit n’est pas de votre faute, Jarred. » Il l’écoute, il la laisse parler, mais rapidement des larmes se libèrent de ses yeux, il les échappe.
« J’aurais dû y passer aussi ! » À nouveau, la colère, la souffrance, l’impuissance. Il secoue la tête, se lève brutalement.
« Ouais, j’aurais dû crever moi aussi, plutôt que de vivre avec ces images. » Il tourne en rond dans la pièce, la colère prend possession de tout son être, les larmes s’accumulent. Elle se lève, Aifric, elle s’approche de lui, elle saisit son visage entre ses deux mains. Lui, il s’arrête, il se tait, le regard figé dans le sien.
« Et lui, il aurait voulu que tu vives, que tu continues pour lui. Que… » C’est lui qui saisit son visage, cette fois. Ses lèvres se plaquent contre les siennes, avant qu’elle ne puisse réagir. Cependant, elle ne le repousse pas immédiatement, même si elle aurait dû. Elle s’est montrée trop familière avec lui, comme lui ce soir où il l’a sauvée. Il plaque son corps contre le sien, fais parcourir ses mains sur son dos, bientôt sur son derrière et c’est là qu’elle reprend possession de son propre corps, Aifric. Elle délaisse ses lèvres à contrecœur, saisit à nouveau son visage.
« Jarred… je ne peux pas faire ça. Tu le sais très bien. » Elle n’aurait jamais dû, mais il y a toujours eu cette tension entre eux, depuis le tout premier jour. Il ferme les yeux, lisse échapper un soupire.
« Je sais… je suis désolé, j’aurais pas dû faire ça. » Elle se mord légèrement la lèvre, nerveuse, ils n’auraient pas dû et pourtant, elle lutte pour en rester là.
« Ça va, c’est les émotions… on devrait en rester là pour aujourd’hui. » Il saisit, il comprend et il y a cette honte, celle d’avoir pleuré devant elle, de s’être montrer si vulnérable, si faible. Il quitte la pièce, la laissant là, elle chavirée, la tête à l’envers. Aujourd’hui, elle ne peut plus rien nier. Déjà se manque de professionnalisme, ce manque de jugement. Non, elle n’aurait pas dû céder à ses pulsions, maintenant, elle meure d’envie de recommencer et elle sait parfaitement qu’elle ne peut pas se le permettre. C’est hors de question, ils ne doivent pas recommencer, c'est formellement interdit.
all the single ladyton pseudo : Arsinoé.
√ âge : 21ans.
√ pays : Canada.
√ fréquence de connexion : 4 jours par semaine.
√ comment t'es arrivé ici? : La jolie Athanasia m'a montrée le chemin menant à ce beau forum
.
√ un commentaire? : Si des membres désirent avoir un lien avec une petite psychologue, faut pas hésiter