Nom : Kane, le nom qu'il entend chaque jour. Le nom sous lequel il est connu. √ Prénom : Colin. √ Âge : 24 ans. √ date et lieu de naissance : 12 mars, Oxford. √ vos origines : Anglaise. √ Métier : Il n'en à pas réellement, il va ici là se débrouillant comme il le peut. Impossible de trouver quelque chose de permanent, lui même ne l'étant pas. Pour le moment, il travail comme dealer. Vendant tout ce qui peut-être vendue sur le marché noir. √ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, de belles courbes s'est ce qu'il préfère. √ Statut matrimonial : Célibataire, il ne s'attache à rien ni personne. √ côté financier : Il se débrouille, ni riche, ni pauvre. Caractère : ° bruyant ° impulsif ° arrogant ° insouciant ° fidèle ° intelligent ° Attentif ° audacieux ° blasé ° Confiant ° Curieux ° Joueur ° négatif ° solitaire ° Social ° Sensible. √ groupe : coeur de pierre.
the last songUn fumeur, un vrai. Même s'il sait très bien que cela le détruit, il s'en fiche. Il ne vivra pas vieux de toute façon, alors autant profiter des petits plaisir de la vie. Vous pouvez le voir une cigarette à la main, aussi bien qu'avec un joint au coin des lèvres.
√ Il à déjà consommé de la cocaïne, en consomme encore d'ailleurs. Pas de façon régulière, mais quelques fois par mois lors de soirées.
√ Il a des gouts de luxe, aimant tout ce qui beau et qui représente l'abondance financière. Il ne possède pas beaucoup, mais tout ce qu'il a vaux quelque chose. Son bien le plus précieux est d'ailleurs sa voiture. Audi A4, n'oser pas lui demander comment il a réussis à ce payer cela, vous ne voulez pas réellement savoir. Par conter il ne se ventera jamais de ce qu’il possede.
√ Il ne bois que de la bière, ne prend jamais ou que très rarement de l'alcool fort.
√ Il adore les femmes et malgré le bon nombre d’entre elles qu’il ramène dans son lit, il les respecte entièrement. Il se souvient d’ailleurs du nom de chacune d’elle et fait très attention pour ne blesser aucune d’entre-elles.
√Il à une pensée tournée vers l’anarchie, ne croyant aucunement au système mis en place présentement. Il se joue d’ailleurs bien de celui-ci, lui échappant toujours. Glissant entre les doigts des officiers à chaque loi qu’il enfreint. C’est un jeu pour lui, défier les lois, prouver que rien ne fonctionne dans ce monde dysfonctionnel.
√ Pour lui les belles paroles ne valent pas grand chose, il préfère de loin aborder un langage crue et vulgaire. Autant dire ce que l’on pense réellement, pas le temps pour la subtilité. Par contre, lorsque la situation le demande il peut parler comme un vrai duc, avec l’un de ses sourires charmeur au visage.
√L’école n’a jamais été un point fort pour lui, il n’a d’ailleurs jamais terminé sa scolarité. Il se doute avoir un problème de concentration, certainement due à la quantité de marijuana qu’il à consommer étant en croissance.
√Kane est un grand imbécile heureux, du moins c’était lui auparavant, maintenant il n’est qu’une version grise de ce qu’il était. Par contre il n’est pas rare de voir l’éclat de cette joie au fond de sa pupille, jamais bien longtemps, ses démons le reprenne bien rapidement entre leurs griffes.
√ Il prend bien garde à ne s'attacher à personne, dès que des sentiments ou de l'attachement ce font sentir il prend ses jambes à son coup. Coupant tout les ponts et disparaissant sans laisser de trace.
√Les sous-entendues sont constamment présent lors de ses conversations, ainsi que sont petit sourire d’idiot, ce qui fait son charme.
√ Il est guidé par l'impulsivité, s'il à envie de quelque chose il va se servir et ne se gênera pas pour le faire. Aucun regret qu'il dit.
√ Il ne juge aucune action, ni aucun style vestimentaire ou comportement. Pour lui chacun est libre de faire ce qu'il désire du moment que cela n'affecte personne d'autre.
story of my life
CHAPITRE I Un petit corps en position foetale, des larmes coulant le long de ses joues et une douleur lancinante au creux de la cage thoracique. Une douleur qu'un enfant de cet âge là ne devrait jamais avoir à connaitre. Il ferma les yeux, une image de sa mère apparus, rapidement suivi par celle de son père. Les deux ayant un regard réprobateur poser sur lui. C'était au moins un regard, déjà mieux que d'être ignoré comme il l'était toujours. Il faisait tout pour essayer de rendre ses parents fiers, pour qu'ils le regardent. Pourtant, il ne semblait être qu'un fardeau pour eux. « Colin Kane, qu'est-ce que je vais faire de toi? » Il entendait le désespoir dans la voix de sa mère, il savait très bien qu'elle regrettait ce jour où elle avait fait preuve de faiblesse, devant ce médecin, et qu'elle avait gardée son bébé. Elle aurait du l'avorter et ce qu'elle répétait sans cesse lorsque son garçon faisait une bêtise. L’enfant savait qu’il n’était pas le bienvenue et cela créa quelque chose de malsain. Quelque chose qui ne devrait jamais avoir lieu d’être. Cela créa un enfant, capable de se détacher de tous sentiments. Un enfant capable de faire abstraction, pour un moment, de toute sensibilité. Un enfant qui par contre se devait d’exploser à un moment un autre, de dépenser tout ce qu’il avait emmagasiner à l’intérieur de lui-même. Malgré tout, Kane n’a jamais arrêté d’essayer d’impressionner ses parents, de leurs prouver qu’ils n’avaient pas fait d’erreurs en le laissant vivre. Le petit garçon n’abandonnerait jamais.
CHAPITRE II C'est au début de l'adolescence que le garçon arrêta d'essayer si fort. Maintenant, il se foutait de tout. Profitant de sa jeunesse au maximum. Les filles, l'alcool et les drogues étaient de mises. Il était le roi de son monde, vivant à 200 miles à l'heure avec ses deux mousquetaires. Ils étaient le trio du tonnerre. Ses meilleurs amis étaient comme sa famille, non ils étaient sa famille. Les seuls sur qui il pouvait compter et les seuls qu'il aimait véritablement. Il devint un vrai bout en train, faisant le plus de bruit possible et se faisant remarquer de tous. Il ne serait plus jamais invisible, pour personne. « Kane, Colin Kane. » Il sourit à la jeune fille qui se tenait devant lui. Ne se gênant aucunement pour parcourir le corps de la demoiselle de son regard. Il ne se doutait pas que ce moment aurait une répercussion sur toute sa vie. Le sourire que la jeune femme lui rendit, avant de lui glisser son nom à l'oreille et de continuer son chemin, le rendit complètement fou. Une seule pensée se trouvait dans son cerveau, il allait se ''taper'' cette fille. Ce qui arriva et ce fut l'une des expériences les plus intenses qu'il vécut. Cette fille le rendait fou. L'amour le vrai, il ne voyait qu'elle et faisait tout pour elle. Bien sûr, il agissait toujours comme si rien n'avait d'importance et qu'elle n'était qu'une bonne baise. Pourtant, il en avait mal, il avait mal de tant l'aimer. Le jour où il lui avoua enfin ses sentiments, était un jour gris. Les deux adolescents se trouvaient quelque part près de Londres, assis côte à côte sur un banc. Leurs deux esprits n'étaient pas bien clair, effet secondaire de la soirée de la veille, mais il réussit quand même à lui murmurer le fameux je t'aime. Ce fut la première et la dernière fois qu’il murmura ces doux mots.
CHAPITRE III Le rayon matinal du soleil levant vint inonder la petite ruelle dans laquelle se trouvait l'homme. Assis contre une poubelle, le regard dans le vide et une cigarette à la bouche. Il pensait, il revoyait la scène à nouveau. Il sentait la douleur au fond de son ventre. Les petites querelles arrivaient souvent avec James, pourtant cette fois il sentait que c'était peut-être la fin. La fin des années d'amitié, des années de complicité, de mauvais coup, de soutien lors des moments difficiles et par-dessus tout d'amour. James, il était comme son frère, sa boussole. Il était celui qui l'empêchait de se noyer dans l'océan de mon qu'était la terre. Il était celui qui le ramenait sur le droit chemin. Si ce n'était pas de lui, Kane ne savait pas ce qu'il serait devenu. Surement encore plus perdue et mal en point qu'il l'était déjà. Il aspira une dernière ''poff'' de fumé avant d'écraser son mégot par terre et de se lever, décidé. Il ne pouvait pas laisser cela comme cela, il n'allait pas rester immobile à regarder son meilleur ami s'éloigner de lui. Certainement pas pour une raison si idiote. Il commença donc à marcher dans les rues vides pour se rendre à la demeure de James. L'air froid du matin lui mordait les bras et le visage, pourtant il ne sentait absolument rien.Il marcha dans un état second, ses pieds connaissaient le chemin et ce n'est que grâce à eux qu'il se rendit à destination, car son esprit voyageait bien loin de là. Il cogna, deux bref coup et attendit. Aucune réponse, mais il savait James à l'intérieur. La planche à roulette le trahissait, il ne partait jamais sans elle. Kane se déplaça donc, il allait réussir à le faire descendre peut importe à quel prix. Il entra dans la coure des Watson et attrapa un petit caillou qui traînait sur le sol. Il le fit tournoyer quelque instant entre ses doigts avant de l'envoyer valser contre la vitre de la chambre dudit James. Sa silhouette se dessina derrière la vitre, une larme descendis au coin des yeux de Kane. Il ne pouvait pas le perdre, il l'aimait bien trop pour cela. Alors que le blond s'apprêtait à se retourner et à disparaitre de nouveau de la vie de Kane celui-ci lança un cri. Il ne sait pas trop ce qui sortie de cet appel de désespoir, mais cela sembla fonctionner, car quelques secondes plus tard le déclic de la porte d'entrée ce fit entendre. Il resta planté là, devant lui. Ne sachant trop quoi dire. Chaque fois qu’il ouvrait la bouche il finissait par tout foutre en l’air, il préféra donc la garder fermer. Pourtant il fallait qu’il dise quelque chose, qu’il réagisse et qu’il essaye de réparer les pots cassés. Il planta ses yeux dans ceux de James, ce simple geste sembla tout dire pour lui. Il lui envoya tout l'amour qu'il avait pour lui et dieu sait que de l'amour il en avait. « Allez mec, tu sais bien qu'on a traversé bien plus, ce n'était rien ce qui s'est passé. » C'était tout à fait vrai, pourtant ce n'était pas pour autant que ce geste n'avait pas de poids. Pour James c'était la goutte qui a fait déborder le vase, qui était déjà beaucoup trop plein. « Retourne chez toi Kane, j’ai rien à te dire. » Il regarda, impuissant le corps de son ami se retournée et rejoindre la porte. L’impuissance, ce sentiment qu’il ressentait beaucoup trop souvent, cette impression d’être étouffer et de ne plus pouvoir respirer, de tout voir devant soit sans jamais pouvoir rien faire. Il fit la seule qui lui sembla approprié pour le moment. « JAMES, TU PEUX PAS PARTIR T’ES COMME MA FAMILLE.» Il se sentait proche du désespoir, ce dernier qui n’attendait que le bon moment pour lui sauter à la gorge. Le petit rouquin se retourna, regarda Kane droit dans les yeux avant de répondre lâchement : « Et comme t’a famille je t’ai jamais vraiment aimé. » Cette phrase il ne la pensait pas réellement. Il aimait Kane, il y a un moment cependant dans la vie ou il faut commencer à penser à sois. Kane était devenue trop à gérer pour James qui ne voulait pas le laisser tomber, mais qui ne pouvait plus tomber avec lui. Cette phrase fut comme un déclic dans la tête du brun. Quelque chose lâcha, il ne voyait plus clair. La douleur avait été si puissante qu’il n’était plus capable de l’endurer. Il lui fallait l’évacuer. Il n’était plus tout à fait lui même. « Je suis Kane, COLIN FUCKING KANE! J’AI PAS BESOIN DE VOUS DE TOUTE FAÇON! » Il sauta à la gorge de son ami. Pas dans l’intention de le blesser, enfin il n’y avait plus rien dans son cerveau, que de la douleur. Il avait tellement mal qu’il ne savait plus ce qu’il faisait. Il ne compris pas son geste lorsqu’il leva le poing haut pour l’abattre sur la mâchoire de James. Il ne compris pas pourquoi un craquement retentit dans l’aube. Il ne compris pas non plus pourquoi après de nombreux fracassement contre le sol, le corps de James devint inerte. Tout ce qui ce passait dans la tête de Kane c’était la douleur et cette phrase qu’il se répétait sans cesse. « Seul, je suis seul et personne ne m’aime. » Cinq bonnes minutes passèrent avant qu’il ne revienne à lui, qu’il voit son meilleur ami inerte sur le sol, le visage en sang. Il se retourna rapidement et vomit tout ce qui restait de nourriture dans son ventre. Qu’est-ce qu’il venait de faire? Comment? Une plus grande douleur pris naissance dans le fond de son cœur, une douleur qui ne disparaitrait jamais. La phrase qu’il prononçait pris alors tout son sens. Il devait rester seul, il était un monstre, un enfant brisé. Il ne pouvait pas se permettre d’approcher personne, il était un malédiction et il ce fit la promesse de ne plus jamais être proche de quelqu’un.
all the single ladyton pseudo : Elie.
√ âge : 32458 année de vie
√ pays : Le ciel, oui je suis une déesse incliner vous devant moi
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√ fréquence de connexion : je passe tous les jours, je répond au minimum une fois semaine!.
√ comment t'es arrivé ici? : BAZZART.
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