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drink to that
one two three. one two three. breathe.

Peut-être que boire l’aiderait à oublier son mal, les pensées qui le rongent depuis des années. Jack avait eu espoir, espoir de se sortir de cette obsession lorsqu’il avait commencé à écrire ses livres. Il n’a pourtant plus espoir depuis quelque temps, depuis qu’il sent la pression prendre possession de son âme.
Dans le fond du bar, il laisse ses phalanges se serrer autour de son verre, s’y prendre un peu trop fort. Les verres s’accumulent depuis quelques heures et il se sent étrangement bien. Jack n’a rien du père idéal et il se demande encore ce que sa femme a pu lui trouver. Sa vie n’est basée que sur les mensonges qu’il accumule depuis des années. Des mensonges qu’il finit par croire. D’une certaine façon, il espère se détacher de ses idées noires, de ses envies oppressantes, mais elles le frappent toujours d’assaut. De plus en plus fort.

Ses iris acier arpentent l’endroit. Il repousser les femmes qui tentent de prendre place à sa table. Il n’a pas envie de parler. Jack n’est surement pas l’homme le plus sociable. Ce soir, il cherche seulement à se sentir mieux. En lui, c’est le chaos. Entre l’envie de passer à autre chose et celle de céder à ses pulsions, il ne sait plus comment se comporter.
La porte du bar se pousse et lorsqu’il voit la femme qui fait son entrée, il ne peut empêcher les souvenirs de refaire surface. Il ne l’avait jamais recroisé après cette nuit. Autant dire que c’est complexe. Ils avaient été amants pendant plusieurs semaines. Leurs ébats étaient aussi tendres que violents. Un soir, ça avait dérapé. Ca été le début de sa chute. L’alcool trop présent avait eu raison de sa conscience et il avait laissé ses phalanges se serrer un peu trop fort autour de sa gorge. Jackson, il ne sait pas se comporter en la voyant. Il se sent mal à l’aise, mais il peut remarquer qu’elle est toujours aussi séduisante. Ce n’est pas sans raison qu’il avait passé beaucoup de temps en sa compagnie.

Il ne peut pas laisser la jeune femme passer sans se rendre vers elle, même si leur relation date d’il y a longtemps, il s’était toujours senti coupable. Ça avait été plus fort que lui et surement que la brune avait dû porter une écharpe pendant des semaines. Jack avale la dernière gorgée de son verre et lorsqu’elle se trouve au bar, il ne peut s’empêcher de se lever pour se diriger vers elle.
C’est une connerie. Elle ne doit même plus se souvenir de leur passé commun. Il n’en a pas la moindre idée, mais ç’a été sa chute. Le goût de cette obsession qui ne le quitte plus. Il s’approche, se percutant à son odeur qu’il reconnait et qui réveille des souvenirs intimement délicieux. Il se pose près d’elle, prenant appui sur le bar pour la darder de son regard. « Silley.» C’est une drôle d’approche, mais en soit, leur relation n’a jamais rien eu de simple, encore moins depuis qu’il est disparu comme un voleur. C’est parce qu’il se sentait trop mal à l’aise. Mal à l’aise parce que laisser ses doigts autour de sa gorge pendant leur ébat avait été trop prenant, trop agréable. Jack, il ne sait pas quoi lui dire, mais il n’a pas envie de ne pas s’approcher. C’est plus fort que lui. Il se racle la gorge un moment. Le malaise ne lui va pas, mais elle est surement une de seule à le déstabiliser de la sorte. Il ne perd que rarement le contrôle, mais avec elle, c’est un mélange de trop de chose pour qu’il puisse faire semblant. « Je t’offre un verre?». Ça lui semble une alternative logique, plus facile, plus simple et comme il ne sait pas comment l’aborder, c’est plus saint.

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one two three. one two three. breathe.

Autre que sa femme et ses enfants, Silley est surement la seule à lui tirer quelque chose de positif. Surement la seule pour qui il éprouve des regrets. Surement parce qu’il s’en veut et qu’elle a été la parte, le déclenchement et Jack aurait préféré que ce ne soit pas le cas. Il avait laissé ses doigts s’emparer de sa gorge. Leurs ébats avaient été parfois doux et d’autre froid largement plus rude, mais Jack, il avait dépassé la ligne et il le sait parfaitement. Il s’en voulait encore, parce qu’elle n’a pas mérité cet écart de conduite. L’alcool dans son sang lui avait fait perdre la raison et leur relation s’était terminée. Silley, elle avait fait partie de sa vie. La seule relation un peu sérieuse qu’il put avoir avant sa femme.

Il serre un peu les dents quand le regard froid de la jeune femme se heurte au sien. Comment aurait-elle pu réagir autrement? Il sait. "Un verre ? Je crois que tu me dois le bar entier, Jack." Elle a raison et il n’a qu’une envie, lui donner raison, mais Jack, il est un handicapé des sentiments. Devant elle, il ne sait pas faire semblant, parce qu’elle a connu le Jack d’avant. Jackson. L’homme normal, avant qu’il ne se perde, qu’il ne dérape. Silley, elle est comme sa faiblesse. Ses phalanges se serrent un peu autour de son verre alors que son regard ne quitte pas celui de la brune. Elle est toujours aussi belle, toujours aussi attirante, mais elle le déteste et il en peut pas lui en vouloir pour ça. Jack n’est qu’un poison alors l’avoir dans sa vie une fois de plus ne pourrait que la briser une nouvelle fois. Lui qui connait le fonctionnement de l’être humain, du cerveau, il ne sait pas quoi répondre à Silley, parce qu’elle est surement la seule capable de le mettre au pied du mur. Il déteste ça, se sentir faible. "Qu'est-ce que tu fous là d'abord ?" Il soupir et passe une main sur son visage. Il n’aime pas cette sensation. Parce que Silley, elle le fait se sentir étrange. Il est incapable d’oublier les sensations de son corps contre le sien et ses doigts autour de sa gorge. Jack. Il est simplement fou. « Je vis ici.» Quoi dire de plus que la vérité cuisante.
Jack, il a tellement de choses à lui dire qu’il ne sait pas par où commencer avec elle. Il n’a pas envie d’être el faible, mais c’est un peu ce qu’il ressent face à elle. Il n’a pas envie d’être ce qu’il est, mais ça le rend fou. Il est malade et pourri jusqu’à la moelle. Il ne se soigne pas, il tente de refouler ce mal ou de l’expulser en écrivant, mais c’est de pire en pire et Jack a du mal à le repousser. « Je sais.» Il marque une pause avant de reprendre. Il faut dire que ça lui demande beaucoup de courage parce qu’en parler rend la chose un peu trop officielle et il préfère nier sa déviance. « Je sais que ça a mal fini et je ne voulais pas te faire de mal.» Il est franc. Il l’est et la vérité, il tente de la renier depuis des années. Parler d’eux lui écorche la bouche et il méprise son comportement. Il se méprise, mais il est dépendant depuis des années et maintenant c’est trop tard. Sa vie n’est faite que de mensonge et il est trop tard pour reculer.
Il fait un signe à la serveuse pour qu’elle rapport deux verres. Il faut dire qu’il en a besoin, qu’il a besoin d’oublier lui aussi alors si elle accepte, pourquoi ne pas le faire avec elle. Il se doute pourtant qu’elle risque de le repousser, de le mépriser encore plus. Elle se tourne, elle le fuit des yeux et c’est plus fort que lui de laisser ses doigts s’enrouler doucement autour de son poignet pour qu’elle lui fasse face une fois de plus. Sa poigne est ferme, mais douce. Il se contrôle. Il n’a pas envie de lui faire du mal, pas une fois de plus. « Silley.» Sa voix est faible. Devant elle, il est faible. « Je suis désolé.»

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one two three. one two three. breathe.

Jackson, il a l’habitude de se faire crier dessus, de voir les gens perdre la tête, s’emporte et avoir du mal à se contrôler. C’est sa vie, c’est son métier et il doit lui-même refouler ses crises, les maux qui le rongent alors ça le connait. Silley, il ne voulait pas lui faire du mal parce qu’il s’était attaché à elle par le passé, avant qu’il ne devienne fou, avant qu’il ne perdre les pédales et laisse ses doigts s’accrocher autour de sa gorge. Il serre les dents, parce qu’il sait qu’elle ne veut pas de lui, parce qu’il sait lire la rage dans le fond de ses iris et Jack aurait aimé pouvoir la calmer, mais il ne sait pas comment réagir face à elle. Silley, elle est une de ses faiblesses qu’il n’a jamais pu panser. Il n’aurait pas dû franchir cette ligne, parce que sa vie aurait pu en être autrement, mais c’est trop tard maintenant. Elle s’emporte et il serre ses phalanges autour de son verre pour ne dire faire, pour ne pas les laisser s’interposer sur son bras afin qu’elle se calme. Jack, il ne dit rien et se contente d’être le réceptacle de sa douleur. Elle a le droit. Parce que c’est amplement de sa faute si elle se sent de la sorte et il sait qu’elle a dû en souffrir. Il ne savait pas quoi faire, il a paniqué et est parti. Non pas parce qu’il avait envie de la laisser morte. Elle ne l’était pas et c’est justement à cause de cet attachement qu’il ressentait pour elle qu’il n’a pas laissé ses doigts se serrer un peu plus longtemps autour de sa gorge.

Il ferme les yeux un moment avant d’avaler le reste de liquide dans son verre. Ca le rend fou de la croiser ici et pour une fois de sa vie, Jackson ne sait pas comment gérer la situation. Il entend la colère dans le fond de sa gorge, il sent cette foutue colère de part en part et il finit par lui attraper le bras pour l’inciter à s’asseoir, sans presser trop fort pour marquer une fois de plus sa peau fragile. Son regard s’ancre dans le sien et Jackson, il peine à le détacher de celui de Silley. Il déteste se sentir aussi faible. Il ne savait pas quoi faire et il se voyait mal attendre à côté d’elle son réveil pour qu’elle lui saute au visage. Ça ne pouvait pas s’excuser, mais il n’avait pas pu faire autrement. Parce qu’à ce moment, il était largement perdu et enivré. Il n’avait pas envie qu’elle puisse savoir que ça venait de le perdre, de l’allumer et de déclencher ce foutu mal en lui qu’il ne pouvait plus contrôler. « Si j’avais voulu te tuer Silley, tu serais déjà morte.» Jack finit par relâcher son bras. C’est bien parce qu’il était attaché à elle qu’il n’avait pas pressé ses doigts trop longuement autour de sa gorge et c’est pour cette raison qu’elle était encore en vie. Maintenant, il était simplement en train de devenir fou. Il grogne un peu Jack avant de se pencher vers elle pour capter son regard. Si elle se lève une fois de plus, il risque de la contraindre à se poser et l’écouter. « Ça n’a aucun sens. Je ne me suis pas lassé de toi et je n’ai pas voulu te faire de mal. On était saoul et sa a dérapé Tu penses pas que j’ai paniqué quand je me sens rendu compte de ce que j’ai pu tee faire. J’admets que c’était stupide de disparaître, mais je ne savais pas comment réagir et j’ai paniqué.» C’est ce qu’il lâche et pour une fois qu’il se montre honnête. Qu’il ne ment pas comme il le fait depuis des années.

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Il ne s’attendait pas à la voir là, même s’il savait qu’elle vivait dans cette ville. L’endroit était suffisamment grand pour qu’il ne tombe pas sur elle par le fruit de quelques hasards houleux. Lorsqu’il enserrent ses phalanges autour de son bras, ça percute son échine et pose un frisson sur son épiderme. Ce contact le projette quelques années en arrière quand il se sentait mieux et la texture de sa peau est toujours aussi envoutante. Il relâche pourtant son emprise parce qu’il n’a pas envie de lui faire peur, elle est une des rares personnes pour qui il éprouve de l’intérêt. "ça je n'en doute pas, mais crois moi que je me suis posée des questions sur tes intentions premières." Il détourne un peu le regard, parce qu’une partie de lui a honte de son comportement et qu’il voudrait clairement revenir en arrière pour oublier ce geste, ce mal qu’il a pu lui faire. Silley, elle est la pointe de regret dans sa vie et le début de cette chute, de la descente aux enfers qu’il connait trop bien. Elle se pose et il sent la tension baisser du cran. C’est légitime qu’elle se protège, qu’elle se braque alors qu’elle fait apparition dans son champ de vision. Jackson, il se maudit mentalement pour ce comportement qu’il aurait aimé ne jamais avoir, parce que ça n’a fait que rendre sa vie infernale. Il a su se canaliser un temps, mais il perd le nord depuis un moment. Ça le rend fou. Lui et ces envies malsaines qui le possèdent, ce goût trop prononcé pour se faire détenteur d’une vie. La ligne est mince et il tente pourtant de s’en éloigner. Ses phalanges se serrent avec un peu de force autour de son verre et il en fini le contenu d’en trait, parce qu’il a clairement besoin de décompresser.
"Alors tu es en train de me dire que ça a dérapé parce qu'on était saouls hein ? Est-ce que tu sais combien de fois on l'a fait en ayant trop bu ? Jamais ça n'a dérapé !" Cette conversation, ça le rend fou parce que verbalisé sa déviance rend le tout un peu plus palpable et il déteste ça. Il ne contrôle plus rien et sa femme n’aide en rien à le canaliser, il s’en veut parce qu’il l’aime à sa façon, il faut croire. « J’en sais rien Silley. Ok? Je ne comprends pas plus que toi ce qui a pu m’arriver, crois-moi.» Elle est le seul à le faire parler, à savoir qu’il a quelque chose de malsain qui traîne en lui. "Tu as l'air changé Jack, et j'ai comme l'impression que cette nuit là a été le déclencheur, je me trompe ?" Elle le rend fou, avec cette façon de lire en lui. Elle le sait trop bien, parce qu’elle à connu le Jack d’avant et il sait que c’est une mauvaise idée de s’approcher d’elle pour lui parler. La brune, elle met le doigt là où ça fait mal. Jack plante son regard directement dans le sien. Il ne contrôle plus rien, il glisse et se perd de plus en plus. « Siley…» Un souffle. Sa voix est presque suppliante tellement en parler s’avère laborieux et douloureux. "Mais bordel, qu'est-ce que tu fais à Memphis ? Tu fais quoi de ta vie ? Ne me dis pas que tu es en cavale parce que je ne veux pas savoir ce genre de choses, je ne peux pas être embarqué là-dedans." Il serre un peu les dents et fini par lâcher un soupire. Jack, il n’a pas franchi cette ligne et il lutte depuis déjà trop longtemps pour qu’il cède maintenant ou dans une autre vie. « J’ai changé d’air après cette histoire, j’ai rencontré une femme et je suis marié. J’ai deux enfants.» C’est surement pas ce qu’elle s’attendait à entendre, mais c’est ce qu’il lance parce que c’est la vérité. Il ne tient pourtant pas à lui dire qu’il s’adonne à écrire des romans tordus, qu’il espionne des femmes et en fait des cadavres lorsqu’il se lance à l’écriture. C’est surement mieux que de franchir le pas et se la jouer façon faucheuse. Il passe une main dans ses cheveux et tente de calmer cette panique qui le ronge. C’est ce que ça lui fait de se trouver en face d’elle. La chute. Elle en sait trop. « Je ne suis pas en cavale Silley.» Son regard, il supporte le sien et il se calme Jack.

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one two three. one two three. breathe.

Silley, elle fait monter trop de choses en lui et il déteste ça. Il aurait aimé que cette nuit soit fausse, qu’une simple fabulation de son esprit et c’est bien réelle. Elle et cette façon qu’elle a de le regarder maintenant, de se laisser emporter parce qu’il n’est qu’une période douloureuse de son passé. Jack, il aurait voulu que ca en soit autrement. Ca a pourtant été le début de sa fin. Cette chute. Cette perte. Cette souffrance et cette envie dont il ne peut plus se détacher maintenant.
Jack, il laisse son regard se porter sur le fond de son verre alors qu’elle s’extirpe de sa vue. Qu’elle s’éclipse de sa présence. Jack, il tente de remettre un peu d’ordre parce que les souvenirs se percutent sans cesse. D’elle. Des envies qui le rongent. Des écrits qui ne le soulagent maintenant qu’à moitié. Jack, il finit par se lever après avoir avalé le restant du contenu de son verre et il se dirige vers la sortie. Il laisse quelques billets sur le comptoir et se dirige vers elle, une fois de plus. Il n’a pas la moindre idée de ce qu’il va lui dire, de ce qu’il va faire. Silley, elle est ce qui le rend encore humain. Elle. Elle et ses enfants. C’est ironique quand on pense qu’elle a été la chute. "Tu peux pas m'lâcher ? T'en as pas assez fait tu crois ? Comme si je n'avais pas assez de l'autre abruti qui me balance son bonheur à la gueule, il faut que toi, tu reviennes me rappeler combien ma vie a été merdique pendant un moment ! J'peux pas t'aider Jack, je n'sais même pas si j'ai envie de me souvenir que je t'ai vu ce soir.." Silley, elle semble enivrée par l’alcool dans son sang et elle tangue doucement sur le côté. Elle le provoque. Avec ses mots. Cette façon qu’elle a de lui parler et va serait plus sain de partir et de ne pas rester près d’elle. Parce qu’elle provoque trop de choses en lui. Jack, il soupire et passe sa main dans ses cheveux, tentant de ne pas se laisser emporter par le flot d’émotion qu’elle lui lance en plein visage.

Il s’approche d’elle pour laisser son regard se planter directement dans celui de la jeune femme. Jack, il ne dit rien, parce qu’elle a bien raison de le mépriser, de le détester. « Je pense que tu devrais rentrer chez toi.» Jack, il n’est pas son père mais il voit qu’elle ne va clairement pas bien et qu’elle est en train de perdre le contrôle. Ça risque de mal se finir. Ça. Eux. Cette rencontre. Jack, faut qu’il s’éclipse. Qu’il cesse de se heurter à ses propos trop vrais. Silley, elle pourrait être sa chute, parce qu’elle est la seule à le connaître réellement. Ce qu’il est. Ses maux. Ses vices. Son mal. Jack, il sort son portable et compose le numéro pour lui appeler un taxi. C’est mieux ainsi. Il ne peut pas gravite plus longtemps autour d’elle. C’est risqué. « Je t’ai appelé un taxi.» Un sourire et Jack, il s’éclipse.