Nom : Williams. √ Prénom : Jude. √ Âge : 27 ans. √ date et lieu de naissance : Le 7 juin, à Londres. √ vos origines : Il est né en Angleterre, mais habite Memphis depuis qu'il a dix ans. √ Métier : Il est bassiste dans un groupe rock qui jouit d'une belle notoriété. √ Orientation sexuelle : Parfaitement hétérosexuel. Il ne s'est jamais posé de question à ce sujet, pour lui, il n'y a que les femmes qui comptent. √ Statut matrimonial : C'est un célibataire endurci. Il n'a jamais été dans une relation sérieuse, et ça lui va parfaitement. Il collectionne les conquêtes, soir après soir. √ côté financier : Tout va bien de ce côté. Son groupe a suffisamment de succès pour lui permettre de ne pas s'inquiéter au niveau financier. Caractère : C’est une personne indépendante, charismatique, dynamique. Il a toujours le mot pour faire rire, et est particulièrement attentionné envers les gens qu’il apprécie. Côté cœur, c’est un indéniable salaud, qui vend du rêve pour obtenir ce qu’il veut. Beau parleur, un brin jaloux. Lorsqu’on ne le connaît pas vraiment, on ne voit que ce qu’il veut bien montrer, c’est-à-dire un jeune homme amusant, intelligent et passionné. Il est rare qu’il se prenne d’affection pour une personne, mais lorsque ça arrive, c’est pour la vie. C’est un ami fidèle et loyal, qui donnerait sa vie pour l’autre. Il a tendance à attendre beaucoup des gens, alors qu'il ne donne pas forcément. √ groupe : Arnacoeur.
the last songIl fume la cigarette, c’est sa pire addiction, avec la caféine. Il lui arrive de fumer de la mari, mais c’est plutôt occasionnel. Et il aime bien l’alcool. Il est loin d’être alcoolique, mais disons que quand il décide de faire la fête, il n’est pas rare qu’il s’éveille avec une sacré gueule de bois et quelques souvenirs manquants.
√ Comme il vit aux États-Unis depuis qu’il a dix ans, il a perdu son accent anglais pour adopter l’américain. Par contre, lorsqu’il est ivre ou en colère, son accent britannique ressort de manière plutôt évidente.
√ Il ignore d’où lui vient ce refus de l’engagement. Il n’a jamais eu le cœur brisé, n’a pas été abandonné par l’un de ses parents, ni quoi que ce soit qui pourrait expliquer son attitude générale. Mais bon, il s’en fiche au fond, ne cherche pas à comprendre.
√ Lorsqu’il était jeune, il rêvait d’être pompier. Un métier bien mâle, dangereux, parfait pour lui procurer sa dose quotidienne d’adrénaline. Au final, son métier actuel lui convient beaucoup plus.
√ Sa mère lui a appris à cuisiner lorsqu’il était jeune, et honnêtement, il adore ça. Parfois, son mode de vie le pousse à se nourrir exclusivement de fast food, mais lorsque l’occasion se présente, il ne rechigne pas à l’idée de passer des heures devant les fourneaux. Et puis, ça impressionne les filles, c’est un plus.
√ Sur un coup de tête, il a adopté un chiot. Ça fait environ un an. Un berger allemand, qui prend désormais beaucoup de place dans son appartement. Parfois, il le confie à une voisine, lorsqu’il est trop occupé pour lui fournir suffisamment d’attention.
√ Il a grandi au rythme du rock underground bien anglais. Il baigne dans la musique depuis l’enfance, ses parents en étant passionnés. Dans le groupe, c’est Kellan le leader, mais Jude ne donne pas sa place. Il l’aide à composer, à écrire, à faire les arrangements. La musique, c’est sa réelle drogue, son seul amour.
√ Il possède encore le doudou qui a accompagné son enfance. Certes, il ne dort plus avec, il est plutôt planqué sur sa table de chevet, sans doute un peu camouflé par des tasses de café vides et des boîtes de préservatif. Il n’arrive juste pas à s’en séparer.
√ Il est sévèrement allergique aux piqures d’abeilles. Vous devriez le voir quand l’une de ces bestioles s’approche trop de lui, il panique, il crie, il a envie de pleurer. Une phobie comme une autre.
√ Étrangement, il aimerait bien avoir des enfants. Pas tout de suite, on se calme. Dans un avenir lointain. Il adore les gosses, est fasciné par leur joie de vivre, leurs rires enfantins, leurs petites bouilles adorables. Mais bon, ça impliquerait une relation à long terme, et ça, pas certain que ça lui tente.
story of my lifeConfortablement installé dans le fauteuil moelleux de la salle d’attente, Jude hésite. Il meurt d’envie de griller une cigarette, mais il se doute bien que ce ne sera pas très bien perçu. Il se trouve aux bureaux d’un magasine rock, rien de bien glamour, mais l’entrevue qu’il s’apprête à donner aidera sans doute le groupe à décrocher de nouveaux contrats. Il serait dans son intérêt de se tenir calme, discret, charmant. Mais au fond, il s’en fout, Jude n’est pas du genre à se soucier outre mesure de ce que les gens pensent de lui. Il cède donc à l’envie, fouille dans sa poche pour en extirper son paquet. Il allume une cigarette avec son briquet aux couleurs de l’Angleterre, et adresse un clin d’œil à la réceptionniste qui lui adresse un regard agacé. Bandante, la petite. Bon, ce n’est pas particulièrement son genre, avec sa peau basanée et sa chevelure de jais. Il a toujours eu un faible pour les blondes. Mais bon, c’est une femme, et à ses yeux, elles ont toutes ce potentiel. Il aime jouer avec elles, user de son charme, relever le défi. D’ailleurs, il se lève, s’approche d’elle avec nonchalance, se met à baratiner n’importe quoi, juste pour qu’elle ne l’expulse pas. Et bon, après l’entrevue, ce n’est pas dit qu’il ne tentera pas de la convaincre d’aller prendre un verre. Mais pour l’instant, le journaliste est prêt à le recevoir.
Une fois installé dans le bureau du journaliste, Jude ressent une petite nervosité. Il a beau avoir la certitude de ce qu’il est, que leur groupe est excellent et qu’il dira tout ce qu’il faut, il ne peut s’empêcher de ressentir un certain trac. C’est qu’on s’habitue difficilement à la célébrité, aussi modeste soit-elle. Il affiche toujours cet air désinvolte, ce je-m’en-foutisme caractéristique aux gens qui en ont vu d’autres. Mais, au fond, chaque jour il remercie sa chance. Rares sont ceux qui réussissent à vivre de leur art, et désormais qu’il a goûté au succès, il ne pourrait plus revenir en arrière.
« Alors! Monsieur Williams. J’aimerais bien en savoir un peu plus sur vous, sur la formation du groupe. Je veux vous inclure dans ma colonne concernant les groupes émergeants, mais j’avoue que je n’aime pas tellement imposer mes questions. Je préfère qu’on discute plus librement, si ça vous convient. » Jude hausse les épaules, un peu surpris par les méthodes de travail de ce journaliste. Il est plutôt habitué aux questions directes, mais bon, à dire vrai il s’en fiche. L’important, c’est que l’article soit publié.
« Euh. Bon, le groupe existe un peu depuis toujours. Je connais Kellan depuis que j’ai dix ans, on a toujours été des passionnés de musique. Quand on était ado, on travaillait le week-end et on dépensait tout notre argent dans des concerts, des cds, des trucs du genre. Au départ on a commencé le groupe sans trop y croire, mais ça passait le temps, et on se faisait des scénarios, on se voyait sur toutes les plus grandes scènes du monde… » Il sourit en repensant à cette belle époque où ils se vendaient du rêve sans imaginer qu’un jour, ils réussiraient vraiment. Bon, ils ne sont pas
si connus, ils se contentent de faire les scènes locales ou de participer à des festivals. Mais Jude travaille actuellement sur un prochain contrat, il se peut fortement qu’ils fassent la première partie d’un groupe beaucoup plus connu. Et ça, ça leur ouvrirait certainement des portes, c’est sûr.
« Et le nom du groupe? The Dirty Conviction… Ça sort d’où?! » Cette fois, Jude rit carrément. Cette manie qu’ont les gens de toujours croire que le nom du groupe a un sens caché. Ils avaient seize ans, ils avaient volé une bouteille de vodka aux parents de Kellan, ils ont pris le premier nom débile qui leur est passé en tête.
« On préfère ne pas s’expliquer sur notre nom. Mais ça sonne plutôt bien, non…? Je pense que nos fans comprennent le sens profond de ce nom. C’est inexplicable. Question de feeling. » Il a drôlement l’air sérieux là, racontant toutes ces bêtises. Il meurt d’envie d’éclater de rire, imaginant déjà comment il va raconter toute cette entrevue à son partenaire. Il est certain que Kellan saura apprécier l’anecdote.
« Justement, vos fans… Le succès, c’est comment pour vous? » Il hausse un sourcil. Au final, le journaliste semble bien vouloir les poser, ses questions.
« Génial? Je ne sais pas tellement quoi dire d’autre. C’est comme… si notre rêve se réalisait. Peu de gens vivent cette chance, nous oui. J’imagine que ça peut apporter son lot d’expériences négatives, mais pour l’instant, je n’en vois pas. » Se faire reconnaître dans la rue (même si c’est encore rare, il faut l’avouer), les filles à ses pieds, l’argent qui, sans couler à flot, ne manque pas… tout cela en exerçant sa passion. Il faudrait vraiment être débile pour y voir quelque chose de négatif. L’entrevue se poursuit doucement, alors qu’ils parlent de leurs influences musicales, des concerts à venir, des nouvelles compositions faites par Kellan. Au bout d’une heure, il ressort du bureau, jette un coup d’œil à son portable pour voir s’il a reçu des messages. Kellan l’invite à passer à son appartement, précisant que Summer s’y trouve, ainsi que quelques autres potes. Il est à la fois amusé et agacé, comme chaque fois qu’il est question de la jeune femme. Sa plus grande fan, sans aucun doute. Bon, elle est un peu étouffante, sans doute. Ça fait bien dix ans qu’elle le suit un peu partout, qu’elle assiste à la plupart de leurs spectacles, qu’elle s’impose peu à peu dans sa vie. Mais au fond, il l’aime bien, assez en tout cas pour l’imaginer dans son lit. Bon, ce n’est peut-être pas le meilleur des critères, il imagine la plupart des femmes entre ses draps… Il se souvient bien de cette soirée où ça a failli déraper, où il a agi en véritable connard. Il a toujours maintenu qu’il ne se souvient pas de cette soirée, parce qu’il avait trop bu. Mais il s’en rappelle trop bien, comment il a voulu lui offrir ce qu’elle désirait apparemment depuis toujours, comment il a tenté de lui forcer la main quand elle jouait la carte de la vierge effarouchée. Au moins, elle ne s’est pas laissée faire. Cette baffe en plein visage, il l’a carrément méritée, et il le sait. Après, il s’était imaginé qu’elle lui foutrait la paix, qu’elle jetterait son dévolu sur un autre. Mais elle est toujours là, jamais loin. Il ne la comprend pas, il ne cherche pas à le faire non plus, il veut juste éviter de renouveler l’expérience de cette fameuse soirée. Un jour, sans doute, il réussira à l’avoir. C’est con, il n’ose pas vraiment se l’avouer, mais elle lui plaît bien cette fille, ou du moins, elle l’attire. C’est à suivre, donc. Pour l’instant, il se contente de proposer à la jolie réceptionniste de l’accompagner chez Kellan, et avec un peu de chance ils termineront la soirée à l’horizontale.
all the single ladyton pseudo : RedVelvet.
√ âge : 25 ans, je suis vieille.
√ pays : Canada.
√ fréquence de connexion : Je dirais autour de 5/7.
√ comment t'es arrivé ici? : J'y ai longtemps été, puis mon personnage ne m'inspirait plus. I'm back bitches!
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