Leeroy Preston & Eileen Wayland

Eileen avait complètement merdé au sujet de cette relation. Eileen a toujours pensé que l'argent pouvait tout faire et que les apparences étaient le plus important. Ce qui fait d'elle une personne plutôt détestable. Pourtant elle avait un bon fond, c'est seulement qu'elle n'avait pas reçu la meilleure des éducations. Ce qui lui faudrait c'est quelqu'un qui la remette sur le droit chemin et qui lui montre que la vie ce n'est pas un monopoly, mais comment faire avec un père qui cède à tous ces caprices. Pas plus tard qu'hier il lui a dire qu'il était très fière d'elle car ils faisaient partie des familles les plus riches de Memphis et que grâce à elle, les choses ne changeront jamais. La relation qu'elle avait eut avec Leeroy l'a faisait se sentir différente, il ne la regardait pas comme les autres. C'est surement ce qu'elle aimait le plus chez lui, le fait de se sentir spéciale. Malheureusement, leur relation était vouée à l'échec. Elle savait parfaitement que son père n'accepterait jamais une telle chose surtout qu'il l'avait déjà marié.

Ce soir là, elle était venue faire la fête avec ses copines, elles avaient prévus de venir boire quelques verres avant de partir en limousine pour faire la fête jusqu'au bout de la nuit en boite de nuit. Eileen adorait se faire attendre mais à croire que ses copines encore plus. Alors qu'elle venait de se faire déposer devant le bar et qu'elle était sortie de sa voiture, elle venait de recevoir un message de ses amies pour lui dire qu'elles arrivaient beaucoup plus tard suite à un empêchement. Elle s'apprêtait à demander à son chauffeur de la ramener chez elle, elle aperçut à travers les fenêtres du bar Leeroy. Assit tout seul, en train de se saouler la gueule et visiblement très déprimer. "Chauffeur s'il vous plait, allez garer ma voiture, je vous appelle quand j'ai besoin de vous. Merci beaucoup. ", elle adorait cette phrase, bien qu'elle essayait quand même d'être le plus aimable possible avec son personnel.

A peine eut-elle le temps de mettre un pied dans le bar que Lerroy se leva de sa place pour s'apprêter à partir. « Je sais que tu m’aimes mais arrête de me suivre. », visiblement les choses allaient beaucoup plus mal que ce qu'elle pensait "Ne m'insulte pas s'il te plait, en attendant ce n'est pas moi qui suit en train de noyer mon chagrin dans un verre !".