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(ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time

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(ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time Empty
MessageSujet: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 17:23


   Ruby Agnesi
   
n’oublies jamais ce que tu es, car le monde ne l’oubliera pas. Puise là ta force, ou tu t’en repentiras comme d’une faiblesse. Fais-t-en une armure, et nul ne pourras l’utiliser pour te blesser.
(+ game of thrones)

   
Nom : agnesi du nom de cette famille qu'elle déteste, au sein de laquelle elle n'est jamais parvenue à trouver sa place, comme si elle n'était pas née dans la bonne famille. dès qu'elle a eu l'âge de la majorité, de l'émancipation, elle s'est enfuie, loin d'eux et de leur richesse qui lui donnait envie de vomir, loin de l'italie malgré son amour pour son pays natal. Prénom : ruby comme la pierre précieuse. pourtant, la jeune femme déteste le rouge donc elle est loin d'aimer cette pierre. pourtant, elle aime beaucoup son prénom. peut-être la seule bonne idée qu'ont eu ses parents à son égard. Âge : vingt-huit ans, à deux ans à peine de l'année charnière des trente ans. les dix-huit premières années ont été italiennes, avec cette impression de ne pas être maîtresse de sa vie mais d'observer du dehors une vie qui n'était pas la sienne. les six années suivantes ont vu aboutir son projet professionnel, la découverte d'une nouvelle culture et de l'amour au sein de la famille dans laquelle elle était jeune fille au pair. tout aurait pu être rose sans la trahison et la descente aux enfers, l'envie de ne plus rien faire. deux ans. deux ans de drogue, d'alcool et de prostitution, une spirale dans laquelle elle était entrée et de laquelle elle ne pouvait plus sortir seule. deux années qu'elle préférerait oublier, deux années qui lui collent à la peau sans cesse et dont elle a terriblement honte. puis il y a eu cet ange gardien, un médecin qui l'aida à remonter la pente, qui lui fit rencontrer les bonnes personnes. ce fut un long et périlleux combat mais elle finit par retrouver qui elle était vraiment tout au fond d'elle et depuis, elle essaie de reconstruire sa vie et d'éviter à d'autres jeunes de tomber dans le même piège qu'elle. date et lieu de naissance : le dix-neuf mars mille neuf-cent quatre-vingt sept dans la ville de milano en italie ; région de la lombardie vos origines : italienne et fière de l'être même si les années qu'elle a passé en italie sont loin d'être les plus belles à cause de sa famille qu'elle déteste au plus haut point. pourtant, elle aime la culture italienne et surtout l'accueil des italiens même si sa famille était loin d'être un exemple à ce sujet. Métier : arrivée à memphis en tant que jeune fille au pair, elle suivait en parallèle des études d'infirmière puéricultrice. depuis quatre ans, elle exerce dans un hôpital de jour en service d'hépatologie pédiatrique. actuellement, elle tient également un blog de critiques littéraires à ses heures perdues.  Orientation sexuelle : hétérosexuelle, elle n'a jamais été attirée par les femmes et ne pense pas que cela changera un jour. a énormément de mal avec sa sexualité depuis ses deux ans d'enfer... elle se sent sale et refuse toute relation, ne se sentant pas digne de cela... Statut matrimonial : célibataire depuis six ans. a eu rêvé du prince charmant mais ne pense plus le mériter. côté financier : moyen. ni riche, ni pauvre. elle a de quoi organiser sa vie tranquillement, se faire quelques petits plaisirs et donner à quelques associations, pour des causes qui lui tiennent particulièrement à cœur. elle ne vit pas au dessus de ses moyens ; quand aux économies issues de l'argent sale qui lui restent encore, elle aimerait bien s'en débarrasser tout bonnement. elle a juste une peur: ressembler un jour à ses parents : de riches bourgeois italiens, avares et absolument antipathiques. Caractère : ruby est une jeune femme qui aime prendre soin des autres, comme le démontre son métier. elle est douce, empathique et bienveillante. cependant, elle est également très méfiante et secrète avec les gens qui tentent d'en savoir plus sur elle et qui se rapprochent trop d'elle à son goût. elle a très peu d'amis et n'accorde que très rarement sa confiance. au travail, avec ses collègues, elle n’entretient que le strict minimum au niveau relation cependant, ces derniers ont confiance en son travail car ils savent qu'elle est très consciencieuse. c'est également une personne honnête qui déteste par dessus tout le mensonge ; fidèle et généreuse. enfin, elle peut être très rancunière et a du mal à pardonner, susceptible, anxieuse et nerveuse dans certaines situations critiques.  groupe : cœur de pierre, elle qui autrefois était plutôt du genre cœur d’artichaut. mais la vie laisse ses stigmates, oblige à ériger des murailles pour ne pas se faire bouffer par le néant. crédits :bannière by fuckyeahleaseydoux (tumblr).

   
the last song
   Adore cuisiner spécialement les spécialités italiennes et les pâtisseries. D'ailleurs, elle ramène souvent des petites gourmandises à ces collègues au travail même si le reste du temps, elle se montre très distante avec eux, refusant qu'on s'attache à elle Ses origines italiennes s'entendent toujours dans son accent. Se déplace presque exclusivement à pied ou à vélo, porte une attention toute particulière à la défense de l'environnement et à la bientraitance des animaux également. Est capable de faire des nuits blanches juste pour terminer un livre, même quand elle travaille le lendemain. Elle a besoin de très peu de sommeil pour régénérer son énergie. Elle lit facilement un livre par semaine. Elle lit absolument tout les styles de livres, sans cesse à la recherche de nouvelles découvertes Préfère le salé au sucré mais n'est pas une grosse mangeuse. Elle a eu rêvé de se marier et d'avoir des enfants, elle a aujourd'hui abandonné cette idée, l'enfouissant au fond d'elle-même pour ne pas trop y penser tellement cela lui ferait mal... Est une fan inconditionnelle des films Disney d'ailleurs, un de ses rêves serait de pouvoir aller à Disneyland A une sainte horreur de l'alcool et de la drogue, elle n'en supporte même plus l'odeur, cela fait remonter en elle trop de mauvais souvenirs. Aime beaucoup les travaux manuels et tout spécialement la broderie au point de croix. Aime la pluie et est passionnée par la nature ; plus spécialement les fleurs. A pratiqué pendant de nombreuses années la danse classique et en garde l'habitude de se tenir toujours bien droite  A un grain de beauté sur la hanche gauche, qui détonne avec sa peau albâtre  Sa boisson de prédilection est le sirop de citron Pratique le badminton une fois par semaine et va très souvent à la natation Porte très souvent des jupes et des robes avec une paire de bottines ou ballerines selon la saison et un chemisier. Ne prend pas toujours le temps de se maquiller car préfère gagner quelques minutes de plus de sommeil à la place. Ne s'attache pratiquement jamais les cheveux à part pour travailler.  Adore les comédies musicales Est passionnée par l'époque médiévale et par les mythes et légendes. Déteste par dessus être en retard ou à la bourre. Est engagée dans de nombreuses associations
   
   
all the single lady
   ton pseudo : SH âge : dix-neuf ans. pays : bleu. blanc. rouge. fréquence de connexion : au moins une fois par semaine pour les rps et très régulièrement pour répondre aux demandes de liens et tout le reste (en moyenne 4j/7). comment t'es arrivé ici? : via bazzart  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3213263352 et parce que le forum est juste trop parfait. un commentaire? : j'ai vraiment hâte de faire grandir ruby parmi vous  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 866971559  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 281361005  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3922449974 .
   
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(ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time Empty
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story of my life

+ childhood
Tu étais enfermée dans ta chambre, seule, comme bien souvent. Tu entendais au loin les cris de tes frères et sœurs qui s’amusaient ensemble et l’agitation familiale. Tu retenais tes larmes de couler, tu n’étais plus une petite fille dorénavant, tu devais être forte. Pourtant, cette impression te collait toujours à la peau : celle de ne pas être née au sein de la bonne famille. A l’école, tous les enfants t’enviaient, tu bénéficiais de nombreux avantages, tout ça parce que tu étais une fille Agnesi pourtant, au plus profond de toi, tu n’avais qu’une seule envie : échanger ta place avec ces autres enfants, devenir une anonyme, faire partie d’une famille où tu te sentirais vraiment aimée, importante. Tout l’inverse de ta situation actuelle. Tu étais la dernière d’une famille de sept enfants. Tes parents étaient très connus à Milan pour être les dirigeants d’une grande marque reconnue de prêt à porter de luxe. L’argent ne manquait pas ; tu aurais pu demander n’importe quoi, tu l’aurais obtenu mais de tous les biens matériels, tu t’en fichais bien. Ce dont tu avais besoin, c’était de l’amour, des câlins et tendresses de tes parents dont tu n’avais jamais bénéficié. Tu avais l’impression d’être le vilain petit canard de la famille, la seule qui n’était pas excitée par toutes ces mondanités. On te forçait à enfiler ces robes dans lesquelles tu étouffais pour te rendre à des cérémonies bourgeoises, pour montrer aux médias l’image de la famille parfaite. Tu t’efforçais à garder sans cesse le sourire aux lèvres, tu essayais sans cesse que tes parents fassent attention à toi, soient fiers de toi mais rien n’y faisait. Pourtant, tu avais d’excellents résultats à l’école, tu te pliais à toutes les exigences de tes parents, allant même contre ta nature profonde mais tes parents étaient sans cesse occupés à compter encore et encore leur fortune. Ils gardaient tout pour eux, bien trop avares pour partager, bien trop antipathiques également, ils te dégouttaient. Et tes frères et sœurs te dégouttaient tout autant. Tu avais trois ans de différence avec celui qui venait tout de suite avant toi et tu n’aurais jamais dû venir au monde. Tes parents avaient décidé de s’arrêter avec ton grand frère, tu avais été une farce de la nature, l’indésirée et tu l’avais toujours senti, tu étais toujours restée l’intruse au milieu de ta famille. Tes frères et sœurs profitaient te ta gentillesse et de ta naïveté également, ils rejetaient toutes les fautes sur toi. Tu étais devenue un bouc émissaire pour eux. Tu t’étais pendant longtemps efforcée de convenir à leurs attentes, leur faisant plaisir, faisant même les tâches ingrates parfois mais tu t’étais vite rendue à l’évidence que jamais tu ne te ferais apprécier par eux. Alors tu avais abandonné, t’enfermant dans ta passion de toujours : la lecture. Parfois tu passais des soirées sans sortir de ta chambre et personne ne s’en rendait réellement compte ou plutôt, personne n’y prêtait attention. Pendant ce temps, tu t’évadais dans des mondes imaginaires et tu rêvais d’un monde meilleur. Tu n’aimais pas l’indifférence qu’avaient les membres de ta famille pour les plus pauvres, l’ingratitude qu’ils leur témoignaient. A l’école, tu étais amie avec des camarades plus pauvres que toi mais tu savais qu’ils parlaient dans ton dos, qu’ils t’enviaient, qu’ils rêvaient d’être à ta place… Si seulement ils savaient… Tu leur aurais bien donné ta place, sans aucune hésitation. Rapidement naquit en toi l’obsession de quitter cette famille, qui s’en soucierait ? Tes parents étaient aveuglés par l’argent quand à tes frères et sœurs, ils étaient bien trop obsédés par l’idée de trouver une place dans l’entreprise familiale ou plutôt devrais-je dire : l’empire familial. Toi, ta seule obsession était de fuir mais avant cela, tu devais finir tes études secondaires. Tu ne pouvais pas partir comme ça, à l’inconnu, sans rien sous le bras. Et puis pour dire vrai, tu avais peur, peur de l’inconnu tout en étant également excitée par cette idée. Mais s’il y avait une chose dont tu étais sûre c’était que tu ne voulais pas vivre cette vie de faste dont ton nom de famille te faisait hériter. Tu voulais redevenir une anonyme et trouver qui tu étais réellement au fond de toi. Tu voulais être libre, ne plus être enchaînée par l’ensemble des conventions de ta famille, partir loin, loin de cette vie milanaise qui n’était pas faite pour toi bien que tu adorais l’Italie. Tu avais besoin de respirer, prendre le large, pour toujours, sans retour et sans, regrets, aucun. Tu ne souffrirais plus jamais de l’indifférence de ta famille. C’est à l’âge de dix-huit ans que tu pris enfin le large, le vent de l’aventure te brûlant la gorge. Au revoir l’Italie, bonjour les États-Unis. Tu y avais trouvé une famille pour t’accueillir en tant que jeune fille au pair. Tu y ferais des ménages, le temps pour toi de partir à la découverte de l’inconnu, d’une nouvelle culture, d’une nouvelle langue également. Tu espérais à terme pouvoir être naturalisée et ainsi prétendre débuter des études dans ce pays. Plus précisément des études d’infirmière puéricultrice. C’est ce métier qui te faisait vibrer, depuis de nombreuses années déjà. Tu avais envie de prendre soin des gens, des enfants plus particulièrement avec qui tu avais toujours eu la relation facile.

+ eighteen years. emancipation.
Ta première année sur le sol américain, à Memphis plus précisément fut un véritable rêve. Tout ne fut cependant pas toujours facile. Par chance tu te liais d’amitié avec le fils aîné de la famille dans laquelle tu étais accueillie. Il t’apprit la langue anglaise et te fit découvrir la ville de Memphis. Cette ville devint petit à petit ton chez toi. L’année suivante, tu réussis à  intégrer une école pour mener à bien ton objectif professionnel. Cependant, un problème s’imposa vite à tes yeux : le coût des études. Il t’était tout bonnement impossible de payer la somme avec les maigres économies que tu avais réussi à faire. Tu n’avais qu’une seule solution : faire appel à ta famille, après tout, ils te devaient bien ça et puis, ce n’était certainement pas cette somme qui allait leur manquer. Dans ce projet, tu étais soutenue par ton premier ami à Memphis : Mason, le fils aîné de la famille dans laquelle tu étais jeune fille au pair. Il te guida dans toutes les démarches, t’ouvrit beaucoup de portes et petit à petit, tu éprouvais à son encontre des sentiments bien plus forts que de la simple amitié. Il était exactement le genre d’homme dont tu avais toujours rêvé, un homme brun, bien élevé, pas du tout macho mais tu avais peur, peur de lui dire tes réels sentiments. Tu avais peur de sa réaction, peur pour qu’il te prenne pour une fille facile… Ton père et ta mère t’envoyèrent l’argent demandé, sans doute l’une des seules bonnes choses dont tu puisses leur être reconnaissante et tu entamas ces études qui te passionnèrent de bout en bout. Tu quittais bientôt ton poste de jeune fille au pair et emménagea dans un logement étudiant. Plus les mois passaient et plus tu avais l’impression de faire enfin quelque chose de ta vie, d’avoir enfin trouvé ta voie. Ta famille ne te manquait à aucun instant, loin de là. Tu avais simplement l’impression d’être enfin libre et tu savourais cette liberté. Le rêve américain, c’est ainsi qu’on l’appelait ici et bien, c’est réellement ce que tu avais l’impression de vivre : un rêve éveillé. Tu menais tes études avec succès, année après année mais tout n’était pas facile moralement. C’était des études qui demandaient une constante remise en question mais tu étais passionnée alors toutes les difficultés, tous les découragements, tous les obstacles te passaient par-dessus. Tu continuais sans cesse d’entretenir une relation avec Mason qui était devenu une sorte de protecteur pour toi. Tu restais toujours attirée par lui mais tu avais toujours peur de lui en faire part et puis, tu ne te sentais pas d’entamer ce genre d’histoire pour le moment, tu préférais tout d’abord terminer tes études, avoir enfin un diplôme sous le bras, pouvoir enfin commencer à construire quelque chose par toi-même. Cependant, le destin allait faire envoler toutes tes bonnes résolutions, pour le meilleur et pour le pire…
Ce jour-là, tu avais vingt-trois ans, tu finissais ton année de spécialisation et tu préparais ton mémoire. Ce dernier te prenait toute ton énergie et tout ton temps. Tu ne voulais pas le faire à l’arrache, tu voulais quelque chose de parfait. Trop perfectionniste ? Peut-être bien… Mais jusque-là, ce trait de caractère t’avait toujours souri.  Ce soir-là, tu t’étais donc isolée dans ta chambre avec ton ordinateur, travaillant sur une des parties de ton mémoire, tu réécrivais encore et encore certaines phrases dont la tournure ne te convenait pas. Comme toujours, les idées te venaient dans la tête en italien puis tu les traduisais en anglais. Au fond de toi, tu étais toujours une italienne même si tu te sentais également plus que jamais américaine. Finalement, tu étais plutôt un subtil mélange entre l’Italie et les États-Unis, la rencontre de deux continents : l’Europe et l’Amérique. De l’Italie, tu aimais sa culture, ses habitants toujours chaleureux et également sa langue. Quant aux États-Unis, c’était devenu  ton chez toi. Tu ne te voyais dorénavant pas vivre autre part. Depuis quelques jours, tu avais abandonné ta chevelure blonde de toujours pour une couleur rousse. Tu avais envie de changement, tu te sentais plus que jamais devenir une femme. Mason toqua, il venait te rendre visite comme souvent. Tu lui dis d’entrer et il arriva avec ce sourire sur les lèvres qui te faisait sans cesse craquer… Tu lui fis la bise puis lui demandais s’il désirait boire ou manger quelque chose mais il ne te laissa même pas terminer ta phrase que ses lèvres avaient pris possession des tiennes. Il se recula ensuite, ses yeux plongés dans les tiens. La surprise passée, tu revins vite sur terre, tout ce dont tu avais toujours rêvé était en train de se produire. Tu lui rendis son baiser, d’abord timidement puis plus passionnément, un vertige te pris bientôt, le vertige du premier baiser… Tout cela était peut-être trop beau pour être vrai… Les jours passèrent et vous vous découvrirent chaque jour un peu plus. Il te murmura à l’oreille les mots que tu avais toujours rêvé d’entendre. Tu te sentais enfin aimée, désirée ; ce sentiment que tu n’avais jamais ressenti, même enfant, toi qui avais toujours eu l’impression d’être indésirable… Tu te laissas prendre à ce jeu, peut-être trop naïvement. Il faut dire que Mason avait tout du gentleman par excellence. Quelques mois plus tard, tu obtins ton diplôme et parvins à obtenir la nationalité américaine grâce à tes excellents résultats et à l’appui du chef de service de l’hôpital dans lequel tu avais effectué ton stage professionnalisant. Ça faisait six ans que tu étais arrivée aux États-Unis et tout ce dont tu avais toujours rêvé, peut-être même plus te souriait : le travail, l’amour, le sentiment d’accomplissement de soi. Tu prévoyais de postuler dans un service de pédiatrie, tu ne t’attendais pas une seule seconde au coup de massue qui allait te tomber sur la tête et qui allait tout remettre en cause… Le début de l’enfer…

+ twenty-four years. everything collapses.
Tu t’attendais à tout sauf à cette découverte… Tout était rose et tout est devenu noir ; le soleil qui régnait en toi a laissé place à l’orage. Mason, lui avec qui tu te voyais naïvement finir ta vie t’a trahi, il a planté en ton cœur le couteau qui allait tout faire basculer, à jamais. Toi qui goûtais enfin au bonheur, tu allais de nouveau rencontrer l’enfer et cette fois de manière bien plus violente. C’était un soir de novembre. Tu étais en période d’essai dans un service qui te passionnait. Avant de rentrer chez toi et malgré la fatigue, tu avais décidé de faire un saut chez Mason, à l’improviste, de lui faire une petite surprise. Tu avais le double des clés ; tu entras donc comme à ton habitude et tu tombas sur une scène que tu n’oublieras jamais : Mason dans les bras d’une autre femme, tous les deux à moitié nus. Tu refusais d’y croire pourtant, tout était devant tes yeux, il n’y avait pas de doute à avoir. Tu avais envie de pleurer, de vomir, de crier pourtant, tu ne lui ferais pas ce plaisir, jamais. Tu allais sortir de sa vie avec dignité. Tu ne dis pas un seul mot, lui, tenta de t’expliquer mais tu n’écoutais rien. Quelle explication pouvait bien tenir la route ? Aucune. Tu déposais les clés sur la commode en le montrant bien à Mason puis tu partis et tu courus jusque chez toi, le vent froid de la nuit te brûlant la gorge. Tu éteignis ton portable, tu ne voulais plus entendre parler de personne. Le lendemain, tu déposais ta lettre de démission sans plus d’explication, tu n’avais plus envie de travailler. Tu avais besoin d’une pause. Tu savais que cela allait peut être compromettre à jamais la possibilité pour toi d’obtenir un poste fixe mais tu ne pouvais te permettre de continuer de travailler dans cet état, pour le bien des patients, pour ton bien à toi également. Tu ne pleurais pas, non, il ne méritait pas tes larmes, tu emmagasinais tout en toi et tu avais juste envie de fuir, de ne plus risquer de le rencontrer chaque matin cependant, tu n’avais pas à quitter cette ville pour lui, tu ne lui donnerais pas cette victoire… Pourtant, ton cœur était brisé en mille morceaux et tu n’étais pas sûre qu’un jour il puisse se colmater de nouveau… Tu ne voulais pas qu’il puisse te reconnaître alors tu délaissais tes cheveux roux pour des cheveux bruns et tu optais pour un style vestimentaire totalement différent : du sage tu passais au sexy voire même vulgaire, tu n’avais pas froid aux yeux, tu n’avais peur de rien pire, tu avais envie de flirter avec le danger… Tu ne savais sans doute pas à quel jeu tu jouais. Tu restais plusieurs semaines enfermée chez toi, coupant tout contact avec tes amis d’alors qui ne te reconnaissaient d’ailleurs pas. Tu te montrais odieuse avec eux, tu faisais rejaillir la souffrance que tu avais au fond de toi en violence avant tout envers toi-même. Tu commenças ensuite à fréquenter des lieux mal famés, buvant encore et encore de l’alcool pour oublier, oublier le bonheur que tu avais touché du doigt, oublier le pétrin dans lequel tu étais en train de te mettre de manière consentie. C’est un de ces soirs que tu fis la connaissance de cet homme, tu avais bu un peu (beaucoup) trop d’alcool et peut être bien consommé un peu de drogue également. Tu ne te rendais plus compte de la réalité. Il savait sans doute dénicher les femmes paumées il faut dire que sur ce point-là, avec toi, il avait déniché le pactole. Il te promit monts et merveilles, de l’argent à profusion et sans beaucoup d’effort. Juste offrir ton corps qu’il jugeait de parfait avec ces formes européennes. Tu n’étais même pas obligée de t’en rendre compte, avec un peu de drogue et d’alcool tu ne sentirais rien, tu serais comme anesthésiée, tu serais simplement une poupée gonflable entre leurs mains et tu gagnerais de l’argent, beaucoup d’argent. Cet argent dont tu avais besoin pour payer ton loyer, pour payer ta nourriture. Comment l’obtenir autrement ? Tu avais perdu la force, tu avais perdu l’espoir. Tu entrais donc dans cette spirale, tu devins pour cet homme une véritable poule aux œufs d’or et plus les soirs passaient plus tu te droguais et buvait de l’alcool, le jour comme la nuit. La nuit pour ne rien sentir, le jour pour oublier ce que tu faisais, qui tu étais devenue… Tu avais honte mais tu ne pouvais te sortir de là ? Que ferais-tu ? Tu n’avais rien d’autre à quoi t’accrocher dorénavant… Chaque soir l’enfer recommençait. Et tu étais spectatrice impuissante de ta déchéance… Tu n’avais pas la force de te battre, de changer les choses… Tu n’étais peut être pas assez courageuse, trop faible… Ta vie s’effondrait et tu ne faisais rien pour empêcher cela… Parfois tu avais envie de te suicider, de prendre des médicaments ou bien de te jeter sous une voiture pour qu’enfin l’enfer s’arrête… Mais même pour cela tu n’étais pas assez courageuse pourtant, tu avais réfléchi à toutes les possibilités… Tu n’avais pas le courage de faire le geste qui mettrait fin à ta vie, tu ne voulais pas être une lâche… A mois que tout au fond de toi, tu saches que peut-être une autre issue était possible ? Que pour cela il te faudrait simplement rencontrer la bonne personne ? Un ange gardien mis sur ta route ?

+ twenty-six years . redemption.
rebuild , in fear.

Cet ange gardien, tu le rencontrais en la personne du médecin qui avait été ton mentor dans tes débuts en tant qu’infirmière. Tout cela te paraissait bien loin maintenant. Seulement deux ans avaient passés depuis mais pour toi ça paraissait être une éternité. Tu te demandais même comment diantre tu avais bien pu tenir tout ce temps dans cet enfer… Tu le rencontrais par hasard, un beau jour où tu avais eu l’envie soudaine d’aller prendre l’air, de goûter aux rayons du soleil que tu n’avais plus vus depuis un bout de temps ; malgré ton allure et ta couleur de cheveux, il te reconnut immédiatement, il se demandait où tu étais passée, toi qui avais été une si talentueuse étudiante. Il comprit immédiatement le pétrin dans lequel tu t’étais mise. Que serais-tu devenue sans lui ? Tu n’oses même pas l’imaginer un seul instant. Il te prit sous son aile, sans arrière-pensée, aucune. De toute façon, tu lui faisais déjà une confiance aveugle, il avait su gagner ton respect lors de ton stage. A partir de ce soir-là, tu ne revis jamais l’homme pour lequel tu te prostituais, lui qui t’avais aidée un peu plus à t’enfoncer dans cet enfer. Depuis ce jour-là, tu crains également à chaque instant de la croiser à un coin de rue, pire que ça, qu’il te cherche, toi, sa poule aux œufs d’or, tu le crains, tu ne sais pas de quoi il est capable après tout, tu étais partie comme ça, du jour au lendemain, sans qu’il ne s’y attende et pire encore, alors qu’il avait de nombreux clients qui te désiraient. Tu imaginais la rage dans laquelle il avait dû être. Tu imaginais aussi qu’il pouvait avoir envie de détruire ta vie dorénavant alors tu vivais chaque jour la peur au ventre. Tu avais déménagé dans un autre quartier de Memphis pour prendre un énième nouveau départ mais ce pan de ta vie ne te quittera jamais vraiment, il fait partie de toi ; il te colle à la peau. La remontée de l’enfer fut un chemin long et périlleux. Tu te rendis compte à quel point il était facile de tomber mais également si difficile de se relever. Tu quittais petit à petit la léthargie dans laquelle t’avait plongé le mélange explosif de la drogue et de l’alcool et tu te rendis compte de l’horreur dans laquelle tu t’étais fourrée par toi-même. Tu avais honte, tu ne pensais plus mériter rien du tout pourtant, cet homme, ton ange gardien t’accordait sa confiance, il t’accompagnait sur ton chemin de reconstruction. Tu ne devais pas le décevoir. Tu devais te battre, ne serait-ce que pour lui, pour pas que tous les efforts qu’il a fait soient vains. Tu passais par des cures de désintoxication, des séances chez toutes sortes de psy, tu y mettais du tien, tu étais déterminée à t’en sortir. Tu avais retrouvé ta couleur de cheveux d’enfance : ton blond vénitien. Tu retrouvais celle que tu avais toujours été au plus profond de toi. Tu te reconstruisais, tu repris petit à petit goût à la vie… L’homme qui t’avait pris sous son aile était un sage, réellement. Il ne cessait de te donner des conseils avisés, il savait te comprendre également, dans les hauts et dans les bas peut être que lui aussi avait connu les désillusions de la vie mais ça, certainement ne le seras-tu jamais… Tu serais bien trop gênée d’oser lui poser la question… C’était également un médecin talentueux et reconnu, un modèle pour de nombreux jeunes se destinant à la médecine. Il était respecté par tout son service et il t’offrit cette chance que tu ne pensais pas mériter : celle de passer quelques mois dans son service pour retrouver cette partie de toi qui ne t’avais jamais réellement quitté, cette partie empathique, cette envie de prendre soin des autres, retrouver le goût pour ce métier qui te faisait vibrer depuis toujours. L’homme gardait toujours un œil bienveillant et protecteur sur toi, il te vit remonter la pente, pas après pas, avec des rechutes bien entendu. Il savait que le bout du chemin n’était pas si loin, que bientôt tu n’aurais plus besoin de lui, que tu pourrais voler de tes propres ailes mais pour l’instant, tu avais peur, bien trop peur de rechuter s’il n’était pas là pour t’accompagner. Tu avais peur de toi, peur que tu retombes de toi-même dans l’enfer… Deux années avaient laissé en toi des cicatrices pour toute la vie… Tu te sentais sale, tu n’avais plus qu’une obsession : te débarrasser de tout l’argent sale qu’il pouvait encore te rester. Et puis, tu voulais faire quelque chose de bien de ta vie dorénavant, aider les jeunes et les moins jeunes pour qu’ils ne tombent pas dans le même piège que toi, pour qu’ils osent demander de l’aide au lieu de désespérer. Si ton témoignage pouvait aider alors tu témoignerais, tu espérais seulement que celui qui avait été ton mac ne te retrouverai pas ainsi… Tu utiliserais un pseudo, un autre que le nom qui avait été le tien quand tu te prostituais et que tu préfères que personne ne sache jamais. Oui, tu pouvais faire quelque chose de bien tout en te protégeant, tu t’en sentais capable. Tu avais envie d’oser, tu en avais marre de ne vivre qu’à moitié… A côté de ça, tu redécouvris ta passion pour la littérature, tu lisais encore et encore décidant bientôt d’ouvrir un site de critique littéraire qui connaît aujourd’hui un certain succès.  
Depuis un an maintenant, tu as retrouvé la joie de travailler avec des enfants, tu arrives dorénavant à vivre en ayant confiance en toi, sans avoir besoin de l’aide de ton ange gardien qui garde malgré tout encore un œil sur toi, même sans que tu ne t’en rendes forcément compte. Tu as retrouvé une vie équilibrée même s’il t’est toujours nécessaire de voir encore un psychologue car la blessure est encore béante en toi… Tu as retrouvé la joie de travailler, tu as retrouvé celle que tu es réellement mais il te reste encore des étapes à franchir et tu le sais bien à commencer par celle de tout ce qui touche aux relations amoureuses. Il y a bien eu quelques hommes avec qui tu aurais pu imaginer un avenir mais tu as du mal à faire confiance et surtout, tu as du mal à admettre que tu peux mériter ce bonheur…  Tu te sens encore tellement sale au fond de toi et tu as peur de parler de cette partie de ta vie avec ces hommes, tu sais bien que cela les ferait fuir alors tu préfères les garder comme amis et mettre des barrières à toute autre sorte de relation. Tu ne veux pas construire une relation sur un mensonge et, ne pas mentionner cette partie de ta vie serait à tes yeux un mensonge impardonnable alors, tu préfères vivre dans les regrets car tu as peur du regard que pourraient porter les hommes sur toi après une telle révélation… Et puis de toute façon, tu es bien trop protectrice avec tes amis et tu sais qu’ils méritent sans aucun doute bien mieux que toi… Alors parfois, tu essaie toi-même de leur trouver une petite-amie même si ça te brise le cœur…
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 17:24

Bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 4079240578

Je ne connaissais pas Lea mais j'adore ton avatar (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3213263352
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 18:26

Je suis fan de ton pseudo. (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3848817537
Bienvenue parmi nous la belle, bon courage pour ta fiche et n'hésite pas à contacter le staff si besoin est. I love you
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Embry Sheeran
Embry Sheeran
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 18:34

Trop belle cette demoiselle que je connais pas (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3555259597 Bienvenue sur le forum et si tu as des questions nous sommes là.
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 18:56

+ maverick : merci beaucoup  scratch un policier  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3213263352  ça rockse du tonnerre  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 247030707

+ lee-ann :  merci  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3213263352 je suis absolument fan de ton pseudo également et de ta signature  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1448151159

+ jack : omg le parfait jamie (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 *meurs* (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3245689909 en plus ton avatar et les gifs sont juste parfaits  (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2056804181  merci beaucoup I love you I love you
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 19:21

Tu as choisis Léa en Rousse en tu en fais une italienne, on va devoir se trouver un lien, nous. Qui sait, de cousines éloignées, peut être ? Bref faudra en discuter ! *-*
Bienvenue sur le forum, très bon choix d'avatar, j'aime voir des petits français à l'honneur. Amuse toi bien (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 4079240578
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 20:19

Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptySam 4 Avr - 21:55

Lee-Ann Weissmüller a écrit:
Je suis fan de ton pseudo. (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3848817537

+ 1
bienvenue (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1707376606
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptyDim 5 Avr - 11:08

Oh, Léa, c'est tellement rare de la voir sur un forum, j'approuve tellement ton choix de vava (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1701133522 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1701133522
Bonne chance pour la suite de ta fiche.
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptyDim 5 Avr - 15:33

+ aubrey : je suis complètement fan de ton pseudo et puis jane levy quoi scratch :crush: donc ça sera avec grand plaisir pour le lien, oui on pourra discuter pour le lien familial car faut dire que ruby déteste sa famille (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2925365648 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2303963680
merci et finalement j'ai plutôt fini par opter pour la version blonde de léa (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3213263352 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2303963680

+ eva : merci (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2806664374

+ reysen : merci (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3848817537 j'aime beaucoup ta signature (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3079596329

+ aalmers: simon baker (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 merci (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3848817537
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptyDim 5 Avr - 21:20

bravo tu es validé

mais quelle fiche, j'ai mis du temps à la lire mais c'était un vrai régal. (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1448151159 et qu'est-ce que Léa est belle sur l'image de ta présentation. (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2303963680

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar pour ne pas qu'une autre personne tente avec la même tête que toi. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par le speed dating si tu souhaite que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 430px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . Et surtout. Have fun.
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time EmptyDim 5 Avr - 21:26

Merci beaucoup, contente que la fiche t'ai plu (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 3848817537 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 2056804181
& adelaïde est juste splendide sur ton avatar (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 1524610190 I love you
je me vais de ce pas faire toutes les petites formalités (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 586312074 (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time 989100662
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MessageSujet: Re: (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time (ruby) l’amour est aussi délicat qu’une flamme, une fois qu’elle s’est éteinte elle ne se rallume jamais. + quote by once upon a time Empty

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