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"Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia

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MessageSujet: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptySam 24 Jan - 11:11


Jagger& Lily
Dis-lui qu't'es désolé, qu't'as dû t'gourrer d'trottoir. Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire

Il attrape l’une des grosses boites posées au dessus de son armoire. Depuis son retour de prison, il n’a pas vraiment eu le temps de ranger ses affaires, de faire le tri dans ces petites boites de rangement. Curtis à pourtant pris le soin de les ranger en sécurité, se disant qu’il y avait surement des choses importantes pour son frère. Il s’assoit sur le lit pose la boite sur ses genoux et en retire le couvercle. Des lettres, de vieux document pas vraiment important, des choses qu’il aurait du jeter depuis longtemps. Un petit papier attire son attention. Une photo. Ils devaient avoir douze ans, ou treize touts au plus. Elle est la, attrapant son bras, sa tête penché sur le coté, ses longs cheveux blonds descendant en cascades sur ses épaules. Elle à de beaux yeux pétillant, un sourire enjôleur. Lui, est à coté. Les bras croisé sur la poitrine, une moue boudeuse sur les lèvres. Il essaie d’être un vrai homme, même si à cet âge et à cette époque il ne sait pas bien ce que veux dire être un homme… Il se souvient de cette journée d’été, ils avaient passé tout l’âpre midi à s’amuser avec cet appareil photo. Elle l’avait trouvé dans les affaires de son père, et l’avait montré aux garçons, l’exposant comme un trophée. « C’est le miens » qu’elle avait proclamé. Alors ils s’étaient amusés à prendre plein de chose en photo, des choses qu’il avait trouvées drôle, comme ce vieil homme endormis sur son banc, ou cet oiseau étrange. Puis elle avait demandé à Curtis de prendre une photo d’elle et de Jagger. Curtis, alors âgé de huit ans, les suivait partout, et il avait obéis sans broncher. Puis quand l’appareil cracha la photo, elle l’agita, l’observa, y déposa un doux baiser et l’offrit à Jagger. Il avait du la ranger dans ses affaires, précieusement, comme un cadeau. Il replaça la photo dans la boite, des souvenirs comme ça il en avait plein. En photo, en objet, mais aussi dans sa tête et dans son cœur. Il s’arrêta un moment, les yeux dans le vague. Depuis combien de temps ne lui avait-il pas parlé ? Merde. Presque un an… Merde. Il n’aurait jamais pu parier sur le fait d’être éloigné d’elle si longtemps. Presque 365 jours sans la voir, sans même entendre le son de sa voix. Elle lui manqué terriblement. Ce n’était pas juste quand il y pensé, c’était tout le temps. Des qu’il voyait quelques choses de drôle, des qu’il entendait une chanson qu’il aimé, des qu’il avait envie de rire, il pensé à elle sans cesse. Et pourtant elle n’était plus la.

Il rangea ses souvenirs et sa peine dans la boite, et la remis à sa place. Tant pis pour le rangement. Il lança une balle qu’il venait de trouver à sa chienne, couché au pied de son lit. « Et tache de ne pas la réduire en poussière celle-là ». La chienne l’observe, la langue pendante, les oreilles dressées. Elle ne comprend pas grand-chose à ce qui peut lui dire. Il s'ennuie comme un rat mort en cette journée de "repos". Curtis n'est pas la, Alana travaille, le temps lui parait long. Et malgré le soleil dehors, il passe la pluparts de sa journée sur son canapé à regarder des films ou des programmes débiles que lui offre sa télé...

Dans le milieu de l’après midi, c’est son estomac qui l’oblige à quitter son canapé et son appartement. Une petite fringale, une envie d’un bon café et d’un muffin géant. Et c’est surtout pour cela qu’il adore les starbucks. Il enfile sa veste de cuire, quitte son appartement et marche un peu. Il observe les pâtisseries, puis quand viens son tour il commande un café Macchiato et : «  un de vos muffin au chocolat, un bien gonflé ». Il fait un clin d’œil à la serveuse qui lui choisit le plus gros. La nourriture, ou l’un de ses pèches mignon. Il est tellement gourmand que des petites folies tel que celle-ci sont surement ce qui lui à le plus manqué quand il était en prison. Il attend patiemment sa commande, puis se dirige sur le coté du restaurant, plateau en main. Il s’installe confortablement à une table, prêt à dévorer sa pâtisserie quand une ombre apparaît devant lui et prend place. Il s’apprête à l’accueillir très chaleureusement. Il lève la tête faisant onduler ses cheveux.

Il la voit la, en face de lui. Ses cheveux blond ondule. Son sourire de vipère sur le coin de ses lèvres. Ses grands yeux bleus qui l’observent. Merde ce qu’elle est belle. Est-elle bien réelle ?  
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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptySam 24 Jan - 17:24

jagger ∞ lily
Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu...
Memphis. Le retour de Livia, une annonce qui n’est pas passé inaperçus, ses parents avaient pratiquement organisé une soirée pour son retour et même si elle adore être au centre de l’attention elle avait qu’une seule envie retrouver Jagg’. Livia n’avait pas eu de nouvelles depuis bientôt un an et c’était trop, trop long pour elle, un manque atroce l’empêche de dormir correctement et même si elle ne s’avait pas comment vos retrouvailles aller se passer elle s’avait au moins une chose, rien n’avait changer peu importe les années qui pouvaient passer rien ne pouvait changer cette complicité et tout ce qui vous lié, personne ne pouvait changer ça et même si ton absence était pesante dans le cœur de la blonde ses souvenirs de ton sourire et de tes câlins la faisais tenir tout les matins jusqu’au jour ou ton visage illuminera sa journée.

En parlant de sa journée, Livia c’était levé tôt aujourd’hui et ce n’était pas vraiment une habitude lorsqu’elle est en vacance, mais elle devait rejoindre son fiancé qui venait la chercher devant chez elle. Oui, même si elle n’était pas d’accord avec cet arrangement elle devait prendre ses responsabilités, du moins devant son paternel, elle aller briser ce contrat et vivre sa vie mais pour  le moment elle devait suivre les règles et comme à son habitude tourner  les situations à son avantage, lily est intelligente et fourbe. Une bonne douche tiède et un bon petit déjeuner, rien de tel pour la rendre joyeuse dés le matin, à peine du crayon noir sur les yeux, Livia vivait au naturel sans maquillage la superficialité n’étant pas trop son truc elle passe une main rapide dans ses long cheveux blond les laissant tomber en cascade sur ses épaules elle attrape veste en cuir et sort de son appartement pour rejoindre son fiancé dans la voiture. A peine assise sur le siège passager, que le bruit du puissant moteur la colle contre le siège, les rues défilent si vite, elle regarde l’heure sur la radio de la voiture et soupir « Merde, j’ai oublié de prendre un dessert pour le repas ! » dit-elle en levant les yeux, elle regarde l’homme à ses côté qui hausse les épaules en ajoutant « Tu fait chier Livia ! Bon dépêche toi ! » Dit-il en s’arrêtant sur le bas côté devant un starbuck en espérant qu’ils ais quelque chose de potable. La blonde le regarde en plissant les paupières d’un regard noir, elle n’aimait pas qu’il lui parle sur ce ton « Ferme-la ! » ajoute t-elle en sortant de la voiture, elle s’arrête et lui fait un doigt puis tourne les talons et entre dans le starbuck, s’approchant du comptoir elle s’arrête derrière une femme qui passe commande, croisant les bras sur sa poitrine elle observe autour d’elle impatiente.

Il est là. Jagger, son meilleur ami, son âme-sœur et tout le blabla qui va avec bordel. Elle ne s’attendait pas à le voir ici, à le voir aussi vite, c’est trop rapide elle n’a pas eu le temps de se préparer c’est trop rapide. Elle s’apprête à faire demi-tour lorsque la caissière l’interpelle « Bonjour, que puis-je pour vous ? » dit-elle avec un grand sourire aimable, Livia la regarde toujours aussi surprise et confuse, secouant le visage elle reprend ses esprits rapidement «  Rien merci.. » dit-elle avant de détourner le regard et d’observer ce mec, ce connard qui ne lui a pas donné de nouvelle pendant plus de 9 mois. Elle inspire profondément, passe une main dans ses cheveux et se donne de l’assurance. Confiante elle approche de sa table et s’installe en face de lui, un sourire aux coins des lèvres, son visage neutre ne laissant aucuns sentiments paraître « Salut toi ! » Dit-elle simplement comme si rien ne c’était passer, comme si vous vous étiez vus la veille alors qu’au fond d’elle, son sang bouille, elle est folle de rage et même si extérieurement elle ne montre rien, dans peu de temps sa colère explosera.
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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptyLun 26 Jan - 10:00


Jagger& Lily
Dis-lui qu't'es désolé, qu't'as dû t'gourrer d'trottoir. Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire

Depuis qu’il à gouter aux cafés et pâtisserie de chez Starbucks, il y a environs deux ans, deux ans et demie, il ne peut résister à l’envie d’aller déguster un magnifique muffin. Et comme il a peu de volonté, il ne résiste pas longtemps et cède à la tentation. Il attrape l’une des grosses pépites de sa pâtisserie, et la coince entre ses dents. Il adore le chocolat, plus que tout. Les sucreries, ce sont un de ses péchés mignon. Il se régale donc avec son muffin. Une ombre s’approche, elle vient gâcher ce moment. Il lève les yeux, et aperçoive un visage familier. Il a l’impression de rêver. Un mauvais rêve. Il à penser à elle le matin même, et la voila la, maintenant, en face de lui. On dirait un mauvais Disney, ou le prince pense tellement à sa princesse qu’elle apparait devant lui. C’est bien une princesse, sauf que lui, n’est pas un prince. Il l’observe. Elle n’a pas changé d’un pouce. A croire que le temps n’as pas d’emprise sur sa beauté. Il la fixe sans rien dire.  « Salut toi ! », un sourire sur ses lèvres. Elle le salue comme on salue un vieil ami que l’on croise dans la rue. Et même si leur histoire d’amitié à commencer il y a de cela plusieurs années, elle n’est plus aujourd’hui la même histoire qu’hier. Comment peut-elle le saluer de cette manière, après tout ce qu’il c’est passé entre eux ? Comment peut-elle arriver, s’assoir, et faire comme si elle était en face d’un vieil ami… Il ne dit rien, baisse le regard puis soupire. Puis il s’apprête à parler. « J’tai pas donner l’autorisation de t’assoir… » Son ton est froid, distant, il n’as aucune envie d’être gentil avec elle. Pas maintenant, pas après ce qu’il c’est passé, pas après un an d’absence.

Le silence s’installe entre eux, il pioche une nouvelle fois un petit bout de son muffin qu’il glisse entre ses lèvres. Sa venue lui a coupé l’appétit. Il attrape son gobelet, y trempe les lèvres, puis se décide à briser ce silence qui le gène. « T’es donc revenu ? New York ne supporter pas la grande présence de « princesse Fawkes » ? » Son ton est acerbe. Même pleins de rancunes, sa curiosité le pousse à en savoir plus sur elle. Sur ce qu’elle à bien pu faire pendant ses longs mois loin de lui, ce qu’elle à bien pu vivre, et avec qui surtout… Oui surtout avec qui. L’idée de l’imaginé avec un autre homme le rend fou… Mais ce qui l’intrigue le plus c’est sa raison de son retour. Pourquoi retourner dans une ville comme Memphis alors que l’on à la possibilité de vivre à New York ? Le manque ? Ouai, la famille surtout. Et pourquoi venir lui parler surtout ?

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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptyLun 26 Jan - 23:33

jagger ∞ lily
Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu...
Nerveuse. Étrangement Livia se sentait mal, pour la première de toute sa vie la blonde se sentait vraiment mal à l’aise en compagnie de son meilleur ami, elle ne s’avait même pas si elle devait encore l’appeler de cette façon, pour elle  il rester l’homme de sa vie peu importe ce qui pouvait ce passer entre eux.  Idiote. Oui elle était idiote, un simple « salut toi » après pratiquement un an de séparation, et elle arrivait avec son grand sourire et ses yeux de biche s’assoir à sa table sans même le prévenir.  Bon, elle reste la même sans gêne et sans limite, elle l’a toujours été et ne changera pas pour toi et tes beaux yeux. Un long silence après ses simples mots, tu l’observe silencieux, un silence pesant et trop long à son goût, mais elle n’ose pas parler, elle aurait voulus te dire beaucoup de chose mais elle n’avait pas le temps son fiancé attendait dans la voiture, en parlant de lui, tu ne s’avais pas encore pour ses fiançailles et elle avait peur de ta réaction. Tu étais un impulsif, un coléreux et il tu l’as toujours était avec elle, toujours jaloux et possessif lorsqu’elle s’approcher d’un homme d’un peu trop près comment aller tu prendre cette nouvelle. Finalement tu brise la glace « Je t’ai pas donné l’autorisation de t'asseoir… » Dit-tu sur un ton froid et distant, tu avais ce ton avec la blonde que lorsque vous étiez en conflit et sa ne durée jamais très longtemps mais cette fois c’était différent elle le  savait, mais tu n’étais pas le seul à être en colère la blonde aussi t’en voulait, à peine avait telle appris pour son acceptation dans un hôpital prestigieux de New-York que tu te faisais déjà arrêter pour coup et blessures sur ton ancien patron, elle n’avait pas eu le temps de te le dire que tu était derrière les barreaux. Elle n’avait pas voulus t’inquiéter plus que nécessaire tu avais trop de chose en tête pour t’occuper de son départ, tu avais fait le con comme toujours et cette fois elle t’en voulait, elle n’avait pas eu le droit à des au revoir convenable avec l’homme le plus important de sa vie et étrangement elle avait était vraiment blesser.

Te fixant de son regard profond, elle ne bouge pas d’un millimètre puis soupir en levant les yeux avant de faire un mouvement de sa main ou orne sa bague de fiançailles, jouant avec une mèche de ses cheveux elle hausses les épaules en ignorant tes premières paroles « T’es donc revenu ? New York ne supporter pas la grande présence de la princesse Fawkes ? » Elle lâche un petit rire amuser, un nouveau pique, elle le mérite bien, mais bon après tout elle était partie à New York pour ses études rien de plus, sa vie est à Memphis et sa changera pas. Pourquoi elle était revenue ? Question stupide, elle était revenu pour toi et c’était évident, sans toi elle ne serait pas revenue, sa vie à New York était suffisamment excitante et parfaite pour elle, sauf que tu n’y étais pas, son existence n’est pas la même sans sa moitié, sans toi, sans celui qui remplis sa vie et son cœur de bonheur, un bonheur constant et vital. Attrapant la dernière moitié de ton muffin elle croque un morceau d’un geste délicatement. Ses lèvres roses caressant les bords du muffin, alors que sa bague s’agite sous ton regard, une fois le morceau de muffin avalé elle ajoute « Arrête d’être con Jagg’ ! Je suis juste trop parfaite pour New-York, puis Memphis c’est chez moi. Et toi alors, dit moi la prison c’était comment ? Tu es sortit il y à quoi… trois mois non ? C’était difficile de revenir à la civilisation, tu à réappris à passer des appels, envoyer des sms et à draguer ? Et ton service trois pièces c’est remit au travail ? Parce qu’après autant de temps sans voir l’entre jambe d’une gonzesse en chaleur tu devais être frustré, non ?  » Ajoute t-elle avec sarcasme et défi, un sourire provocateur au coin des lèvres. Elle était en colère et sa commencer à se voir dans son regard, elle te provoque totalement jusqu’à te faire devenir fou et te faire exploser de rage elle voulait que tu t’énerve, mais elle aussi était entrain de bouillir intérieurement.

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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptyMar 27 Jan - 14:35


Jagger& Lily
Dis-lui qu't'es désolé, qu't'as dû t'gourrer d'trottoir. Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire

Elle est surement la personne qu’il connait le mieux. Du moins c’est ce qu’il penser avant, puis-qu’aujourd’hui il a l’impression d’être en face d’une étrangère. Qui est-elle ? Qui est-elle devenue pendant cette longue absence ? Une pouffiasse superficielle, assumant pleinement ce rôle de princesse que papa lui a donné ? S’est elle abandonné à ce monde que son paternel à construit pour elle ? A-t-elle cédé ? Elle qui avait juré de ne jamais le faire. Il ne la reconnait plus, et cette absence lui fait bien plus mal que c’est douze mois passé loin d’elle.
Elle ne répond pas immédiatement aux piques qu’il vient de lui lancer. Elle se contente de rire. Un petit rire cristallin. Un rire qu’il aimé tant entendre autrefois. Il a l’impression qu’aujourd’hui tout à changer. Elle évidemment, mais surtout leurs relations. Elle tend la main vers sa pâtisserie, et en attrape un morceau qu’elle porte à sa bouche. « Arrête d’être con Jagg’ ! Je suis juste trop parfaite pour New-York, puis Memphis c’est chez moi. Et toi alors, dit moi la prison c’était comment ? Tu es sortit il y à quoi… trois mois non ? C’était difficile de revenir à la civilisation, tu à réappris à passer des appels, envoyer des sms et à draguer ? Et ton service trois pièces c’est remit au travail ? Parce qu’après autant de temps sans voir l’entre jambe d’une gonzesse en chaleur tu devais être frustré, non ? ». Son regard fut immédiatement attiré par ce bijou. Cet énorme bijou sur ces doigts si fin. Il ne peut s’empêcher de le voir, de reconnaitre ce qu’on appel une bague de fiançailles. Il en à un pincement au cœur. Il n’aurait jamais pu prédire, ou parier qu’il la retrouverait un an plus tard, fiancé à un homme. Sa curiosité le pousse à en savoir plus, son instinct lui dit de ne pas le faire. Certaines vérités ne sont pas bonnes à savoir. Il attrape sa main dans un geste vif, limite violent. Il l’approche de son visage, observe le bijou. Cette bague est énorme, un diamant surplombe cet argent de très bonne qualité. Elle à du couter une blinde ! Un cadeau que Jagger ne pourrait jamais lui offrir. Il ignore ce qu’elle vient de lui dire, il plante son regard dans le sien et lui répond, toujours et étonnamment, très calme. « Ton père à donc eu raison de toi. Félicitations », il ne le pense pas vraiment. Si, il pense que si elle est fiancé c’est à cause de son père, mais il ne lui souhaite pas ses « félicitations ». Il maudit son géniteur. Il attrape son café, regarde le liquide noir, et ajoute avant de porter sa tasse à ses lèvres. « Toi qui voulait être la copine de personne, tu vas devenir la femme de quelqu’un… Quelle ironie. », Son ton est plutôt froid, il n’as aucune envie de se montrer gentil et courtois avec elle.

Il porte sa tasse à la bouche, bois quelques gorgés de sa boisson, l’esprit ailleurs. Merde, il ne faut pas qu’elle se marie, il lui interdit. Elle est à lui, rien qu’à lui. Se marier signifierait la fin de leur relation, et ça, il n’est pas prêt à l’accepter.

Il repense à ce qu’elle lui a dit, à son sourire provocateur. Quelle affreuse salope. Il pose sa tasse, plante son regard dans le sien, prêt à la défié. « Tu aurais su comment s’était passé la prison si tu avais pris la peine de m’appeler ou même de m’écrire… Oh mais attend, j’y pense, tu étais bien trop occupé à New York. ». Il fait une pause, ils se sont toujours plus ou moins chamaillé, comme des gosses. Des taquineries, des choses futiles, sans grande importances, mais aujourd’hui le ton à changer, ce sont des reproches, des regrets, des choses bien plus graves avec des conséquences bien plus tragiques. « Et ne t’inquiète pas pour mon service trois pièces, il va très bien et est en pleine formes. Tout comme mes frustrations… » Il hésite et ajoute. « Tu ne m’est plus indispensable Lily… Tout comme toi, je ne t’ai pas attendu. » Il faisait allusion à sa petite amie. Sa jolie petite amie, Alana. Il savait très bien que cette relation ne lui plairait pas, il connaissait Lily par cœur. Jalouse au plus aux points, mais après tout, c’était bien rendue, elle qui venait de se fiancé…

Il marque une nouvelle pause, se penche dans son fauteuil, confortablement installé, et tout en observant la belle blonde la questionne. « Bon, qui est ce pauvre mec ? Il sait au moins à qui il à affaire ? S’il veut quelques conseils, je pourrais lui apprendre pleins de choses sur Livia Fawkes, cette sale vipère. », On dit que l’absence est la pire des souffrances, et il en trouve toute l’illustration de cette expression aujourd’hui…

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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptyMar 27 Jan - 21:11

jagger ∞ lily
Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue... Attends deux secondes, j’ai pas fini... Dis-moi qu’tu m’aimes... Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu...
Il l’observe, intensément.  Il voit la bague à sont doigt et sans même la prévenir il lui saisit son poignet pour regarder la bague de plus près comme si de loin elle n’était pas réel. Elle avait du mal à croire de son côté aussi, parfois elle passer des heures à observer sa main et cette bague trop flash et pas du tout à son goût s’imaginant mariée à son jeune âge. Cette simple idée lui faisais peur, elle n’était pas prête à s’engager, elle n’avait jamais réussi à tenir une simple relation, la seule relation qui avait tenu était la votre et sa lui demander beaucoup trop de temps et d’effort pour qu’elle puisse s’investir dans autre chose elle n’était réellement pas capable de vivre sous le statut d’épouse, trop jeune pour prendre les responsabilités qu’engendre le mariage. Dégageant rapidement sa main de ta poigne elle inspire profondément «  Ton père à donc eu raison de toi. Félicitation. » Dit-il froidement, elle le sentait s’éloigné d’elle, le ton qu’il prenait et son regard vide sans aucun sentiments à son égard, comment pouvait-il être aussi dur avec elle. La distance avait créé un vide entre vous et même si elle était prête à tout pour te récupérer elle le ferait, elle n’était juste pas capable de vivre sans toi, une idée inimaginable « Je n’avais pas besoin d’être la copine de quelqu’un puisque j’étais déjà la tienne Jagger, et ça depuis nos 7 ans…» Dit-elle en soutenant ton regard, elle c’était radouci dans ses paroles mais ce n’était qu’une apparence, Lily retenait tous ses sentiments oubliant parfois qu’avoir des émotions et un cœur pouvait faire mal à ce point.

Alors que le silence revient entre vous, la blonde se retourne discrètement pour jeter un regard vers la vitrine du starbucks qui donner  sur la rue ou son fiancé était garé, il était encore là attendant son retour qui commencer à faire long elle le s’avait, elle devait faire vite mais ta rencontre était si soudaine qu’elle n’avait pas pus repartir sans même t’avoir parlé elle n’était pas aussi méchante. Elle revient à cet instant présent, un instant si étrange qui se passer entre vous. Croisant de nouveau ton regard, tu la regarder fixement alors qu’un sourire provocateur éclaire ton visage « Tu aurais su comment s’était passé la prison si tu avais pris la peine de m’appeler ou même de m’écrire… Oh mais attend, j’y pense, tu étais bien trop occupé à New York. ». La blonde plisse les paupières en ce mordant la lèvre inférieur doucement, elle lâche un nouveau rire nerveux, te montrant du doigt elle ajoute « Tu te fou clairement de ma gueule Jagger. Tu ne m’as pas appelé non plus après ta sorti, aucun message rien donc tu peux la fermer sur ce sujet ! Et mon voyage à New York été pour mes études, je n’ai même pas à me justifier face à toi. Tu t’intéresserais beaucoup plus à ma vie professionnel qu’à ma vie sentimental tu n’aurais rien à me reprocher. »   La blonde devait l’avouer elle devenait de plus en plus révélatrice, et son cœur commencer à parler. Se redressant sur son fauteuil elle s’installe convenablement en glissant une mèche de cheveux derrière son oreille. T’es reproches n’était pas fondé, tu lui en voulais d’être partie alors que son départ était pour ses études, son avenir rien de plus et sa tu devais le comprendre.

Cette conversation ne mener nulle part, elle avait cette impression de tourner en rond constamment vous étiez têtu et borné tout les deux, prêt à se défendre comme si votre vie en dépendait sans même laisser une chance à l’autre de pouvoir se justifié alors à quoi bon continuer ? Elle se le demander sincèrement. Elle sortit de ses pensés lorsque t’es paroles lui fît mal au cœur, un pique douloureux et profond elle n’arrive pas à croire ce que tu venais de lui dire, elle, Livia Fawkes indispensable à ta vie alors que toi tu l’étais à la sienne, elle n’en croyait pas ses oreilles, ta phrase n’avait aucun sens, quelques mois d’absence ne pouvait pas effacer des années de présence. Se penchant vers toi en croisant ses bras sur la table pour se soutenir elle te regarde avec rage, un regard noir « Comment tu ose me dire ça ? Ma vie a toujours tourné autour de la tienne j’ai juste pris les devants pour ce stage à New-York, alors que tu étais en prison Jagger, ma vie ne pouvait pas s’arrêter parce que la tienne était en pause. Tu ose me dire que je ne te suis plus indispensable. Pourquoi ? Qui est cette salope qui ose me remplacer Jagger ? Dit le moi que je me foute de sa gueule, elle ne sait pas du tout à qui elle à affaire. Je vais la détruire tu m’entends ? » C’était terminé, elle était très sérieuse et surtout capable de rendre la vie dur à cette fille qui était dans ta vie. Elle sentait mal, son cœur bat la chamade dans sa poitrine, ses mains commence à trembler sous l’effet de la colère. Tu l’avais remplacé par une pouf que tu venais à peine de rencontrer. Elle ne pouvait pas laisser sa arriver, non impossible, tu es à elle, rien qu’à elle. Livia et Jagger, depuis toujours et à jamais.

Un nouveau silence. Puis tu reprends alors la parole en la questionnant sur son fiancé. Elle sourit alors avec plaisir, elle voulait t’énerver et elle avait exactement le moyen de le faire, se tournant lentement sur son fauteuil elle pointe du doigt la vitre de la boutique « Tu vois l’Audi R8 devant ? Eh bien c’est lui. Il m’attend, on va manger chez mes parents. Mon père voulait mettre des choses au point pour nos fiançailles, enfin des choses que tu ne peu pas comprendre ! » La blonde tourne son visage vers toi, un visage doux la plus part du temps mais aujourd’hui elle avait mis son masque de la vrais garce et sa elle le jouer à la perfection.

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MessageSujet: Re: "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia "Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire" ▵ Livia EmptyMer 28 Jan - 14:15


Jagger& Lily
Dis-lui qu't'es désolé, qu't'as dû t'gourrer d'trottoir. Quand tu l'as rencontrée, t'as du t'tromper d'histoire

Se marier. Jamais il n’aurait pu prévoir qu’elle allait se marier. Lily la femme de quelqu’un ? Non il ne pouvait y croire. Elle qui n’avait jamais eu de relation « longue durée », elle s’apprêtait à épouser un homme et lui être dédié pour le restant de sa vie… Cette révélation lui fit un coup au cœur, prenant conscience peu à peu, qu’elle lui échappé. Elle n’était plus réellement à lui, si jamais elle l’avait était autrefois. « Je n’avais pas besoin d’être la copine de quelqu’un puisque j’étais déjà la tienne Jagger, et ça depuis nos 7 ans…» Alors oui, elle l’avait était. Elle le lui confirmait d’une certaine manière. Si la situation n’avait pas était aussi dramatique pour lui, il aurait surement aimé cette petite remarque. Elle le lui aurait surement décroché un sourire. C’est vrai que leur relation ne datait pas d’hier, elle avait commencé bien plus tôt que cela et ils avaient toujours cru d’une certaines manière qu’elle durerait toute une vie… Il ne dit rien, se contentant de repenser à cette phrase, cette révélation.

Il attrape sa tasse en carton, et termine sa boisson. La jeune blonde en face de lui lance un regard vers la vitrine, comme pour vérifier qu’une personne s’y trouve. Il ne peut s’empêcher de le voir. Puis elle fait cette remarque sur la prison, sur cet épisode de sa vie ou elle n’était pas présente. Elle plisse les yeux, se mord la lèvre, le montre du doigt. Qu’elle est belle cette garce. «Tu te fou clairement de ma gueule Jagger. Tu ne m’as pas appelé non plus après ta sorti, aucun message rien donc tu peux la fermer sur ce sujet ! Et mon voyage à New York été pour mes études, je n’ai même pas à me justifier face à toi. Tu t’intéresserais beaucoup plus à ma vie professionnel qu’à ma vie sentimental tu n’aurais rien à me reprocher. ». C’est vrai, d’une certaine manière c’est vrai. Il ne l’avait pas appelé quand il était sortie de prison, il n’avait pas cherché à la voir, à la contacter, à lui écrire. Mais s’il ne l’as pas fait, c’est parce qu’elle avait annoncé son départ bien avant le sien. Et si elle n’était pas partie ? Les choses aurait peut-être était différente. Il ne pouvait pas l’accuser de ce dérapages, de cet erreur qui lui a couté plusieurs mois de sa vie, et pourtant, il sait très bien que si elle avait était la, il aurait été bien plus calme, bien plus contrôlable… Il avait perdu les pédales à l’instant même où elle avait quitté Memphis. Il ne peut s’empêcher de rire à sa remarque. « C’est toi qui est partie la première et… » Il s’arrête. Impossible de lui avouer le reste, de lui dire que sa vie s’était écroulé le jour de son départ, de lui dire que son cœur s’était brisé quand, en arrivant chez elle, son père l’avait reçu pour lui dire qu’elle était partis sans même lui laisser un mot. Impossible d’ouvrir son cœur. Il se tait. Ferme sa gueule avant d’en dire trop, avant que leur relation ne change, encore une fois. Et pourtant… Pourtant il lui en veut. Il lui en veut d’être parti, sans même avoir laissé un mot, un mot, juste un seul. Il lui en veut d’avoir laissé cette relation derrière elle, comme un mauvais souvenir. Alors il ne dit rien de plus, laisse sa phrase en suspend, se perd dans ses pensées. On dirait un gosse qui accuse sa copine d’avoir fait une connerie avant lui. Merde ce qu’ils sont con.

Il relève son pique, la rassure sur la santé de son entre-jambe, et sur sa santé sentimentale. Et ça lui échappe. Une parole qu’il aurait peut-être du taire, elle est tellement pleine de haine. Elle ne lui ressemble pas… Son regard se fait noir, elle est hors d’elle. « Comment tu ose me dire ça ? Ma vie a toujours tourné autour de la tienne j’ai juste pris les devants pour ce stage à New-York, alors que tu étais en prison Jagger, ma vie ne pouvait pas s’arrêter parce que la tienne était en pause. Tu ose me dire que je ne te suis plus indispensable. Pourquoi ? Qui est cette salope qui ose me remplacer Jagger ? Dit le moi que je me foute de sa gueule, elle ne sait pas du tout à qui elle à affaire. Je vais la détruire tu m’entends ? » Il l’observe, son regard planté dans le sien. A cet instant, si elle avait pu le tué sur place, elle l’aurait surement fait. Tant mieux, il le mérite. « Ma vie à moi tourne pas autour de la tienne… Et je t’interdis de l’approcher, ou de lui adresser la parole. Tu ne l’atteindras pas. Jamais. » Son regard se veut plus noir, plus persistant. Plein de rage. Elle ne lui fait pas peur, ses menaces ne sont pas réellement prise au sérieux, bien qu’il sache de quoi elle est capable… « Elle vaut bien mieux que toi, tu ne lui arrive pas à la cheville. » Faux. Totalement faux. Aucune fille au monde ne peut remplacer Lily Fawkes malheureusement…

Puis la haine emplis son cœur, une nouvelle fois. Elle remonte dans sa gorge comme une bile, un haut de cœur d’amertume. La pensée de ses fiançailles emplie son esprit. Il ne pense qu’à cela. Qu’au fait qu’elle lui échappe. Fais quelques choses, fais quelques choses. Seul son esprit réagis. Lui ne dit rien, passible. Puis sa curiosité prend le contrôle de lui, un mélange de curiosité et de haine plutôt. Il pose des questions sur ce « pauvre garçon » comme il dit. Non, il est surement le plus chanceux de tous les hommes en fait. « Tu vois l’Audi R8 devant ? Eh bien c’est lui. Il m’attend, on va manger chez mes parents. Mon père voulait mettre des choses au point pour nos fiançailles, enfin des choses que tu ne peu pas comprendre ! » Il jeté un regard au bolide garé devant le café. Cool, un mec de son milieu. Il se lève, attrape son gobelet en carton, puis plante son regard dans le sien. « Non ta raison Lily, ce sont des choses que je ne peux pas comprendre. En fait, c’est ton monde que je ne comprends plus, puisque je n’en fait plus partie… ». Il tourne les talons, jette son gobelet dans la poubelle prévu à cet effet et s’apprête à sortir du café.

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